Pauline Pucciano

Pauline Pucciano

Ses commentaires les plus récents

  1. Merci cher Sautillant, je viens de le télécharger… Et je considère que c’est vous qui me l’offrez. Soyez donc remercié pour ce joli cadeau de Noël ! Le prochain livre de poésie que je lirai est Hélène ou le règne végétal de René-Guy Cadou. Il vous faudra donc attendre un peu, mais l’amour la poésie va directement sur ma liste !

  2. Merci beaucoup, Sylve 🙂 J’aurai, comme toujours, beaucoup de plaisir à lire vos prochains commentaires. Gide est un auteur étonnant, qui aura exprimé son talent dans des genres très variés, sans peut-être jamais trouver – ou chercher ? – ce qui ferait l’unité de son oeuvre. Entre ce roman au second degré, très drôle, et remarquablement écrit, et les Nourritures Terrestres, ou des pages plus sages, comme La Porte Etroite ou Isabelle, sans compter ses écrits politiques très lucides, les faits divers dont il s’empare, etc. on sent toujours quelqu’un prêt à penser à contre-courant, y compris à contre-courant de lui-même.

  3. Je n’ai pas encore le temps de me mettre à l’écoute de ce Trou de l’Enfer, mais je vous félicite d’ores et déjà pour cette magnifique illustration ! On reconnaît là votre griffe personnelle d’artiste, inimitable 🙂

  4. Les “Veillées de Noël” correspondent à la 2ème partie du livre “Vieilles Histoires du Pays Breton”, que Christiane-Jehanne lira un peu plus tard… En attendant, excellente écoute !

  5. Merci Pomme ! Le “cherche, cherche” est ce que semble dire Phasie post-mortem à son coquin de mari en quête du magot… J’ai réfléchi à cette conversation, chère Fraise, et j’ai trouvé ce qui me fait trouver La Terre très violent. C’est que Zola, qui a d’habitude tant de tendresse pour ses personnages – pour les mineurs, pour les ouvriers, pour les soldats, et même pour les cheminots – ne semble pas en avoir pour les paysans de La Terre. Ils sont représentés de manière plus dure, sans aucun personnage vraiment lumineux. Il n’y a pas d’espoir dans ce milieu. Je crois que c’est ce qui rend ce livre particulier pour moi. Bonnes fêtes à toutes les deux également… Je me réjouis d’avance de tous ces livres de Colette à écouter 🙂

  6. Bonsoir Fraise, oui le docteur Pascal décrit une belle histoire d’amour… entre un oncle et sa nièce ! J’ai toujours été surprise par la complaisance qu’on avait jusqu’au 19eme siècle pour ce genre d’inceste (il me semble que Voltaire a vécu en concubinage avec une nièce également), qui ne paraît pas du tout choquer Zola. Il me semble me souvenir que ce n’est même pas un sujet dans le livre – par ailleurs très intéressant pour clôturer la saga.

  7. Ah, ce “cherche, cherche !”… Il m’avait marquée aussi. Pomme lui donne une saveur toute particulière ! Pardonnez-moi de m’immiscer… mais que reprochez-vous à La Bête Humaine ? Je le trouve admirable dans sa construction, dans sa dénonciation des violences faites aux femmes, dans son âpreté… Mais ce n’est pas encore le plus terrible – La Terre reste pour moi le plus violent de tous les Zola. Et le Docteur Pascal, le plus dérangeant…

  8. J’ai écouté avec beaucoup de plaisir et d’intérêt ce merveilleux livre audio, retrouvant la belle écriture de Jean Balde qui m’avait déjà beaucoup plu dans La Vigne et la Maison (et je salue Gaëlle au passage). Votre lecture est parfaite !
    Spoiler alert : Je suis visiblement la seule à avoir aimé Lucien… Ce personnage m’a fait penser au professeur Rogue dans Harry Potter – amoureux dès l’enfance d’une jeune fille promise à un garçon à succès… Je trouve que le livre, qui s’articule sur l’absence de Georges à l’intérieur du récit, nous fait ressentir en tant que lecteur toute l’ambiguïté et toute l’idéalisation possible de ce personnage. Les rares éléments que nous en avons laissent penser qu’il n’était pas si amoureux que cela; et que le veuvage sublime d’Elisabeth est davantage une posture narcissique qu’autre chose. L’exaltation du chaste sentiment familial, à travers le “couple” du frère et de la soeur, et la note finale sur l’accord du père et de la fille, va ici avec l’amour de la terre, de la nature, de la religion, et d’une certaine manière de la Province – en contrepoint de Paris, lieu de la prostitution (elle vend les tableaux sacrés), lieu du désir qui “salit” (cf le vieux député qui représente un père symbolique plutôt incestueux), lieu aussi de la modernité, où le temps avance et provoque des changements. Le roman est donc, à mon sens (je rejoins Gaëlle sur ce point), assez conservateur. Et ce pauvre Lucien, qui irrite tant notre chère Lïat, est bien celui qui vient, par sa passion inconvenante, par son livre scandaleux, par ses vérités qui ne sont pas bonnes à dire, par sa lucidité, par sa solitude, par son irrévérence envers les morts, bousculer l’ ordre social et moral.

  9. Cher François, je vous rassure, il me reste (je l’espère) un peu de temps et d’énergie… Autrice et narratrice ne font qu’une, et je prends donc tous vos compliments, sans partage, et vous en remercie bien sincèrement 🙂 !

  10. Merci cher Mooncol… Je suis très heureuse que cette anticipation déjà vieille de 20 ans puisse toujours fonctionner. Et j’en profite pour dire un grand merci à Daniel pour cette lecture.

  11. Votre message m’a fait très plaisir, chère Christina – bien que j’aie une pensée douloureuse pour ces deux collègues dont vous évoquez le suicide. C’est un métier aussi beau que difficile, où l’on est très seul (ce qui peut être un avantage quand on est indépendant, mais aussi un piège quand on est fragilisé), où l’on doit la plupart du temps se passer de reconnaissance, et où l’on est surtout très exposé : à l’agressivité de certains élèves, à l’arbitraire et parfois à la violence de l’institution, à la critique et parfois à la vindicte des parents. Je pense que certains enseignants de ma génération se reconnaitront dans Arsène, dans ses difficultés mais aussi dans ses convictions, dans son “esprit de service public” qui fait sans doute aujourd’hui sourire beaucoup de gens, à l’heure où on taxe si facilement les fonctionnaires en général, et les enseignants en particulier, d’absentéisme et de paresse. Si ce livre peut servir à éclairer ce métier de l’intérieur, j’en suis vraiment heureuse.

  12. Alors là, Eole, vous m’avez subjuguée et mise en votre possession ! Les corbeaux, le cri des chiens à la lune, la musique à la fois romantique et lugubre, les cloches dans la nuit… Sans parler de votre voix, de l’accent des Carpates (j’adore !) et du texte lui-même. Je rejoins Sautillant dans son appréciation, c’est de la très bonne littérature de vampire. J’aime beaucoup cette stryge, subtil mélange de vampire, de fantôme et de Méduse. Je trouve que cela renouvelle le mythe de manière originale. Le paysage normand rivalise d’horreur brumeuse avec les landes les plus désolées d’Angleterre…

  13. Je suis bien d’accord avec vous ! Ce site est merveilleux pour la diversité de ses voix, de ses styles, de ses approches de la littérature. Comparer les DDV ne peut rien apporter de bon, et il me semble mille fois préférable de se concentrer sur ce qu’on aime dans les oeuvres lues et partagées, ainsi que dans leur interprétation…

  14. Un grand merci, Eole, de m’avoir suivie en 2071 ! Vous n’êtes pas la seule à préférer Alvar, même si, à mon grand étonnement, d’aucuns m’ont avoué leur préférence pour Elzé…
    Pour la suite, vous la trouverez dans n’importe quelle librairie. 🙂

  15. En principe, c’est en lançant la lecture d’un autre livre audio que la piste précédente cède la place… J’espère que vous avez trouvé une solution.

  16. Bonjour Astrid, effectivement j’ai téléchargé un fichier et il n’atteint que 79 décibels au lieu des 90 requis. Il faudrait que vous utilisiez un petit logiciel comme Gain pour retraiter vos fichiers, refaire votre archive zip, puis les renvoyer sur le serveur en changeant légèrement le nom (par exemple A_Mah_Lifax au lieu de Astrid_Mah_Lifax). Alors Vincent pourra retirer les anciens fichiers, et nous pourrons remettre en place les nouveaux fichiers amplifiés. Merci Elzbieta pour votre alerte !

  17. Non, chère Marianne, vous allez devoir rester sur votre faim, pour parfaire l’expérience artistique… C’est bien le fin du fin de la faim. Il n’y a pas de suite… 🙂

  18. Un grand merci à vous, Luc, cette oeuvre m’est chère et je suis vraiment enchantée que vous lui trouviez assez de qualités pour laisser un si généreux commentaire…

  19. Quel bonheur de trouver votre commentaire ce matin ! J’aime beaucoup savoir comment les auditeurs écoutent les livres audio – et cette “lecture” en couple, ente audio et papier, me semble fort sympathique. Merci beaucoup pour votre petit mot 🙂

  20. 1) Le rapport à l’étymologie grecque est un hasard. 2) la contrepèterie est fort signifiante et je m’en réjouis, même si je dois avouer que je n’y avais pas pensé. 3) PS : Evidemment, la référence à Rhinocéros et à Cyrano est cousue de fil blanc…
    Quant aux 5 dernières minutes, c’est un souvenir très vague 🙂

  21. Cher Sautillant, c’est drôle, cette histoire de téléfilm… Et pourquoi un téléfilm, d’ailleurs ? Pourquoi pas un film ? Ne lésinons pas ! En ce qui concerne votre question sur les noms : ce n’est pas si réfléchi que ça. Je crois que l’inconscient nous propose des choses tout à fait intéressantes “à l’insu de notre plein gré”, et je serais curieuse de savoir ce que vous supposez comme intention derrière ces noms. Force m’est de constater, en y réfléchissant, que “Arsène” pointe vers l’art et la scène. Mais, mort de mon âme, je n’y avais pas pensé en choisissant ce nom ! En réalité, j’ai failli l’appeler Alceste, mais c’était trop rare, trop marqué, too much. Je me suis rabattue sur Arsène, qui reste assez proche d’Alceste par sa consonance.

  22. Un immense merci, chère Gaëlle ! Cela me touche beaucoup de savoir que mes personnages prennent vie et qu’on puisse être triste de les quitter… Je suis contente pour Karine, qui n’était pas un personnage facile à écrire, ni facile à sauver.

  23. Merci à vous, cher Bruant. Oui, Batsheba est imprudente et impulsive et il est souvent agaçant de la voir se précipiter dans la mauvaise direction, ce qui lui arrive plus souvent qu’à son tour… mais je suis tout à fait d’accord avec vous au sujet de l’ingéniosité narrative de Hardy. Il a le don pour trouver “le bon angle” pour raconter les événements. Cet art du récit, indépendant du style, du propos ou de la psychologie des personnages, n’est pas donné à tout le monde et il le possède à un haut degré ! Cela donne des scènes fortes, marquantes…

  24. Merci beaucoup fecharles ! En principe, le problème du son est désormais réglé. Je suis heureuse de vous apprendre que le tome 2, Paraddict 2073, vient de sortir en librairie !

  25. Bonjour Philippe. Vous avez en principe une petite loupe en haut à droite de votre écran, qui vous permet d’effectuer une recherche. Vous pouvez alors entrer un nom d’auteur, ou bien un titre… Je ne sais pas si cela vous aidera.

  26. Ce livre audio, défectueux, a été réparé et optimisé pour une écoute au casque. Désolée pour tous ceux qui ont eu la patience de l’écouter avec la voix d’un seul côté !

  27. Ce livre audio, défectueux, a été réparé et optimisé pour une écoute au casque. Désolée pour tous ceux qui ont eu la patience de l’écouter avec la voix d’un seul côté !

  28. Ce livre audio, défectueux, a été réparé et optimisé pour une écoute au casque. Désolée pour tous ceux qui ont eu la patience de l’écouter avec la voix d’un seul côté !

  29. Ce livre audio, défectueux, a été réparé et optimisé pour une écoute au casque. Désolée pour tous ceux qui ont eu la patience de l’écouter avec la voix d’un seul côté !

  30. Vous êtes adorable. Je suis très heureuse d’enseigner, comme Arsène. Je suis très heureuse d’écrire et de partager ce que j’écris. Je suis très heureuse de traduire et de lire ce qui me plaît. Je suis très heureuse sur Litteratureaudio, dont je partage les valeurs : un site sur lequel toutes les littératures sont irriguées, partagées, honorées et transmises… Que demander de plus ? 😉

  31. Chère, bien chère Claryssandre… Je ne sais que répondre à tel compliment. Je vous dirai juste un immense merci, car vos mots me vont droit au coeur, et me consolent de toutes les portes fermées auxquelles mes romans ont pu se heurter – peut-être finalement pour le meilleur ! 🙂

  32. Chère Isabelle Perroulaz, cher(e?) Daniell, cher Samuel, vos petits mots trouvés ce matin ont enchanté ma journée entière. Je dois beaucoup à tous mes audio-lecteurs qui, sans s’en rendre compte peut-être, me donnent l’énergie pour continuer à écrire, contre vents et marées, ce que j’ai envie d’écrire… Savoir que vous désirez vous plonger dans mes autres récits est pour moi la plus belle reconnaissance. J’ai beaucoup hésité à partager ce livre, qui, sans être vraiment personnel, est sans doute plus engagé et plus risqué que les autres. Je suis très heureuse qu’Arsène vous ait séduits. @daniell : j’espère que votre accès de misanthropie sera bénin et de courte durée. J’avoue ne pas avoir anticipé cet effet secondaire ! 🙂

  33. Je vous adresse tous mes remerciements, chère Isabelle, pour votre retour si enthousiaste sur mon Homme de Lettres… Et j’espère avoir le plaisir de vous croiser à nouveau dans les commentaires. En ce qui concerne votre requête, sachez que la Pitié Dangereuse sera lu prochainement par un excellent donneur de voix, Christian Dousset, et que, malheureusement, l’Ivresse de la Métamorphose n’a pas de traduction libre de droit… ce qui nous interdit de le lire, pour le moment. Encore merci pour vos encouragements à toute l’équipe de notre site bien-aimé.

  34. Merci Vincent, et merci au traducteur pour sa générosité. J’ai beaucoup aimé l’idée de raccourcir les gens les plus forts et les plus beaux afin de ramener l’équilibre… 🙂

  35. Merci JSGREN… Je n’ai pas tout compris dans votre message, mais je retiens que vous me notez 15/20 – ce qui, quand Tolstoï est noté 19,5/20, me paraît déjà très généreux… Je ne peux que vous encourager à continuer sur Tolstoï – Anna Karénine, et Guerre et Paix, vous tendent les bras sur notre site !

  36. Quatre écoutes ! J’en suis baba… et tout émue. C’est formidable de savoir que nous avons dignement servi ce livre fondamental… Merci pour votre précieux retour !

  37. Je vous remercie grandement, chère Sylve, de votre commentaire. Cette traduction m’a pris, parmi d’autres travaux, quatre ans – pendant lesquels la langue de Joyce m’a accompagnée. Je suis vraiment heureuse et fière de votre compliment sur ma traduction. Le style de Joyce est le plus souvent simple et sans artifice; ce qui rend encore plus beaux ses passages poétiques. Si la traduction ne se sent pas et coule de source, c’est le meilleur hommage possible ! Quant à ma trop grande vitesse de lecture, hélas… vous n’êtes ni la première ni la dernière à me la faire remarquer. Mais ralentir davantage me fait perdre le “naturel”, et de deux maux, je choisis le moindre. 🙂
    Au plaisir de vous lire, merci encore pour votre retour qui donne tout son sens à mon travail.

  38. Vous avez raison, c’est assez typique de l’époque… Même chez Colette, par exemple. Il y a une volonté de rendre un effet primesautier, léger, avec des tournures de phrases aujourd’hui datées, des sobriquets qui vieillissent mal. Ce qui fait le plus “actuel” au moment où le roman est écrit est justement peut-être ce qui résiste le moins bien au passage du temps.

  39. Cher Léon, je vous remercie du fond du coeur pour votre message qui me fait un immense plaisir ! Profitez bien de Marsilia avant de poursuivre votre route 🙂

  40. Ah, cher Vincent, tu nous mets l’eau à la bouche avec cette nouvelle, et nous restons sur notre faim… Une atmosphère presque lovecraftienne, mais avec un héros droit dans ses bottes. Magnifique traduction, belle promenade dans les marais, et, surtout… beau clair de crâne dans la lande ! 😉

  41. Un grand bravo d’abord pour la très belle facture de ce livre audio, et pour votre interprétation impeccable à tous les deux. En ce qui concerne le texte, j’ai été charmée par les premières pages, fortes, bien écrites, intelligentes… C’est un texte de qualité, avec cependant quelques éléments qui m’ont un peu gênée par la suite… La fin un peu abrupte, et peut-être un certain manque de naturel dans l’écriture des dialogues – qui ne devaient pas être faciles à lire, d’ailleurs. Mais c’est une oeuvre très touchante, avec de beaux passages. Je suis très contente de l’avoir écoutée 🙂

  42. Merci à vous, cher Sautillant… J’espère que votre maison, qui a l’air fort gracieuse, ne m’en voudra pas de vous avoir ravi, au sens propre, à vos devoirs domestiques.

  43. Bonsoir, cher Autodidactus, et merci pour ce miroir magique qui transforme ma très humble personne en une noble et magnifique créature. Cela m’a fait sourire 🙂 L’imagination fait décidément des miracles…
    J’aime beaucoup l’idée de tisser mon oeuvre, et je vous laisse continuer à en parcourir les trames.
    Au plaisir de vous lire !

  44. Merci beaucoup, Vincent, pour ces quelques semaines passées avec moi, et pour ce long commentaire !
    Je suis très sensible à ta remarque sur le fait qu’il n’y a pas de bons et de méchants – il me semble que le texte laisse une certaine liberté de jugement aux lecteurs, et je suis d’ailleurs parfois très surprise par les verdicts qu’ils rendent : je pense à un lecteur en particulier qui a préféré largement Elzé à ses deux frères, et qui considère Léviathan comme une solution envisageable… Je suis très heureuse de cette autonomie du texte et des lectures.
    Quant à l’imbrication de l’intrigue policière avec l’intrigue politique, je suis heureuse de l’avoir réussie. C’est précisément ce que l’éditeur m’a demandé de retravailler à partir du premier jet, où les trois histoires étaient beaucoup plus séparées.

  45. Bonjour Charlotte et merci pour votre commentaire qui nous donne beaucoup de coeur à l’ouvrage ! Malheureusement, il n’y a pas à ma connaissance de traduction libre de droit de ce dernier roman inachevé d’Edith Wharton… Il faut en effet que le traducteur soit mort depuis plus de 70 ans pour que nous ayons le droit d’utiliser sa traduction.
    Si vous en connaissez une, plusieurs donneurs de voix seront ravis d’accéder à votre requête !

  46. Un grand bravo pour cette lecture impeccable (pas trop rapide pour moi non plus), avec des intonations variées et très justes, et une belle traduction. Bienvenue à bord !

  47. Cher Autididactus, je suis vraiment très honorée par votre beau commentaire, et vous en remercie. Les passages que vous citez concernent la mort, qui n’est pas le thème central, mais tout de même un des thèmes importants du livre (notamment le désir de mort de Filip Reda) … je suis très flattée aussi que vous évoquiez Mizubayashi que j’aime particulièrement. Si vous avez envie de prolonger votre voyage dans le temps, je vous invite à écouter Paraddict ! Merci encore pour ce retour enthousiaste ! Les retours des lecteurs sont essentiels pour continuer à écrire ☺️

  48. Comme je viens de finir de traduire Dubliners, je suis vraiment très émue de votre compliment, auquel je ne sais même pas comment répondre, tant il me semble énorme… Un énorme merci, Jean-Guy… Et nous allons tout de suite mettre votre suggestion de lecture dans la liste !

  49. Cher Vincent, chère Éole, j’étais moi-même très intriguée et je n’ai pas été déçue. L’exercice mental auquel nous convie l’auteur est, de fait, très pédagogique : il faut, par l’imagination, modifier ses perceptions et ses représentations de l’espace, et jongler avec les propriétés géométriques des différents objets. Je vous conseille vivement d’ailleurs un magnifique livre audio, beaucoup plus moderne, qui m’a fait comprendre beaucoup de notions physiques, par un procédé un peu similaire : L’Univers à portée de main, de Christophe Galfard, qui est un chef d’oeuvre de pédagogie.

  50. Eh bien j’ai trouvé le temps d’écouter les dix premiers chapitres, et c’est déjà un enchantement. La musique est très belle et très bien choisie; et… je ne m’explique pas cette proximité que je ressens avec ces femmes du début du vingtième siècle. Je n’ai pourtant pas vécu, ni grandi, dans les mêmes conditions qu’elles, mais leur quête de liberté, courageuse, difficile, ambivalente, mêlée d’angoisse et de regret, me parle étrangement. Ce récit n’est pas sans rappeler La Vagabonde de Colette, que je lirai dans quelques mois. Merci pour cette belle découverte et cette magnifique réalisation.

  51. Même si ce site s’adresse à tous, nous sommes toujours particulièrement heureux de rendre accessible la littérature à ceux qui en étaient privés, pour une raison ou pour une autre ! C’est très gentil à vous d’avoir pris la peine de nous écrire ces trois “merci” qui nous vont droit au coeur.

  52. Merci beaucoup chere Mireille ! Et bon anniversaire à vos nièces, mais si elles n’aiment pas lire, était-il bien raisonnable de leur offrir ce pavé ? 🤣

  53. Chère Patsy, je n’avais pas réagi à votre très gentil message sur Le Couple Désaccordé, et je vous remercie donc doublement aujourd’hui ! le tome 2, ce sera en librairie le 10 octobre, il s’intitule Paraddict 2073… Je suis vraiment très heureuse que ce roman vous ait emportée pendant ces 14 heures 😊

  54. Un grand merci à vous, Maurice ! N’hésitez pas à écouter aussi l’anthologie de la poésie de Gide (J’aime particulièrement la partie 3 )… 🙂

  55. Bonjour, vous pouvez utiliser ce livre audio à des fins non-commerciales. Veillez cependant à bien préciser que nous sommes non seulement les lecteurs mais aussi les traducteurs de cette oeuvre inédite en français.

  56. Mettre en pause Agatha Christie, c’est un crime de lèse-majesté et un sacré compliment ! Je vous souhaite une excellente écoute, et un voyage pas trop mouvementé jusqu’en 2071… Merci à vous 🙂

  57. Ah, merci Vincent, cela me fait très plaisir que tu te lances dans Paraddict… Et que tu apprécies cette immersion ! J’ai hâte d’avoir ton avis sur la suite 🙂

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