Pauline Pucciano

Pauline Pucciano

Ses commentaires les plus récents

  1. Cher François, je vous rassure, il me reste (je l’espère) un peu de temps et d’énergie… Autrice et narratrice ne font qu’une, et je prends donc tous vos compliments, sans partage, et vous en remercie bien sincèrement 🙂 !

  2. Merci cher Mooncol… Je suis très heureuse que cette anticipation déjà vieille de 20 ans puisse toujours fonctionner. Et j’en profite pour dire un grand merci à Daniel pour cette lecture.

  3. Votre message m’a fait très plaisir, chère Christina – bien que j’aie une pensée douloureuse pour ces deux collègues dont vous évoquez le suicide. C’est un métier aussi beau que difficile, où l’on est très seul (ce qui peut être un avantage quand on est indépendant, mais aussi un piège quand on est fragilisé), où l’on doit la plupart du temps se passer de reconnaissance, et où l’on est surtout très exposé : à l’agressivité de certains élèves, à l’arbitraire et parfois à la violence de l’institution, à la critique et parfois à la vindicte des parents. Je pense que certains enseignants de ma génération se reconnaitront dans Arsène, dans ses difficultés mais aussi dans ses convictions, dans son “esprit de service public” qui fait sans doute aujourd’hui sourire beaucoup de gens, à l’heure où on taxe si facilement les fonctionnaires en général, et les enseignants en particulier, d’absentéisme et de paresse. Si ce livre peut servir à éclairer ce métier de l’intérieur, j’en suis vraiment heureuse.

  4. Alors là, Eole, vous m’avez subjuguée et mise en votre possession ! Les corbeaux, le cri des chiens à la lune, la musique à la fois romantique et lugubre, les cloches dans la nuit… Sans parler de votre voix, de l’accent des Carpates (j’adore !) et du texte lui-même. Je rejoins Sautillant dans son appréciation, c’est de la très bonne littérature de vampire. J’aime beaucoup cette stryge, subtil mélange de vampire, de fantôme et de Méduse. Je trouve que cela renouvelle le mythe de manière originale. Le paysage normand rivalise d’horreur brumeuse avec les landes les plus désolées d’Angleterre…

  5. Je suis bien d’accord avec vous ! Ce site est merveilleux pour la diversité de ses voix, de ses styles, de ses approches de la littérature. Comparer les DDV ne peut rien apporter de bon, et il me semble mille fois préférable de se concentrer sur ce qu’on aime dans les oeuvres lues et partagées, ainsi que dans leur interprétation…

  6. Un grand merci, Eole, de m’avoir suivie en 2071 ! Vous n’êtes pas la seule à préférer Alvar, même si, à mon grand étonnement, d’aucuns m’ont avoué leur préférence pour Elzé…
    Pour la suite, vous la trouverez dans n’importe quelle librairie. 🙂

  7. Bonjour Astrid, effectivement j’ai téléchargé un fichier et il n’atteint que 79 décibels au lieu des 90 requis. Il faudrait que vous utilisiez un petit logiciel comme Gain pour retraiter vos fichiers, refaire votre archive zip, puis les renvoyer sur le serveur en changeant légèrement le nom (par exemple A_Mah_Lifax au lieu de Astrid_Mah_Lifax). Alors Vincent pourra retirer les anciens fichiers, et nous pourrons remettre en place les nouveaux fichiers amplifiés. Merci Elzbieta pour votre alerte !

  8. Non, chère Marianne, vous allez devoir rester sur votre faim, pour parfaire l’expérience artistique… C’est bien le fin du fin de la faim. Il n’y a pas de suite… 🙂

  9. Un grand merci à vous, Luc, cette oeuvre m’est chère et je suis vraiment enchantée que vous lui trouviez assez de qualités pour laisser un si généreux commentaire…

  10. Quel bonheur de trouver votre commentaire ce matin ! J’aime beaucoup savoir comment les auditeurs écoutent les livres audio – et cette “lecture” en couple, ente audio et papier, me semble fort sympathique. Merci beaucoup pour votre petit mot 🙂

  11. 1) Le rapport à l’étymologie grecque est un hasard. 2) la contrepèterie est fort signifiante et je m’en réjouis, même si je dois avouer que je n’y avais pas pensé. 3) PS : Evidemment, la référence à Rhinocéros et à Cyrano est cousue de fil blanc…
    Quant aux 5 dernières minutes, c’est un souvenir très vague 🙂

  12. Cher Sautillant, c’est drôle, cette histoire de téléfilm… Et pourquoi un téléfilm, d’ailleurs ? Pourquoi pas un film ? Ne lésinons pas ! En ce qui concerne votre question sur les noms : ce n’est pas si réfléchi que ça. Je crois que l’inconscient nous propose des choses tout à fait intéressantes “à l’insu de notre plein gré”, et je serais curieuse de savoir ce que vous supposez comme intention derrière ces noms. Force m’est de constater, en y réfléchissant, que “Arsène” pointe vers l’art et la scène. Mais, mort de mon âme, je n’y avais pas pensé en choisissant ce nom ! En réalité, j’ai failli l’appeler Alceste, mais c’était trop rare, trop marqué, too much. Je me suis rabattue sur Arsène, qui reste assez proche d’Alceste par sa consonance.

  13. Un immense merci, chère Gaëlle ! Cela me touche beaucoup de savoir que mes personnages prennent vie et qu’on puisse être triste de les quitter… Je suis contente pour Karine, qui n’était pas un personnage facile à écrire, ni facile à sauver.

  14. Merci à vous, cher Bruant. Oui, Batsheba est imprudente et impulsive et il est souvent agaçant de la voir se précipiter dans la mauvaise direction, ce qui lui arrive plus souvent qu’à son tour… mais je suis tout à fait d’accord avec vous au sujet de l’ingéniosité narrative de Hardy. Il a le don pour trouver “le bon angle” pour raconter les événements. Cet art du récit, indépendant du style, du propos ou de la psychologie des personnages, n’est pas donné à tout le monde et il le possède à un haut degré ! Cela donne des scènes fortes, marquantes…

  15. Merci beaucoup fecharles ! En principe, le problème du son est désormais réglé. Je suis heureuse de vous apprendre que le tome 2, Paraddict 2073, vient de sortir en librairie !

  16. Bonjour Philippe. Vous avez en principe une petite loupe en haut à droite de votre écran, qui vous permet d’effectuer une recherche. Vous pouvez alors entrer un nom d’auteur, ou bien un titre… Je ne sais pas si cela vous aidera.

  17. Ce livre audio, défectueux, a été réparé et optimisé pour une écoute au casque. Désolée pour tous ceux qui ont eu la patience de l’écouter avec la voix d’un seul côté !

  18. Ce livre audio, défectueux, a été réparé et optimisé pour une écoute au casque. Désolée pour tous ceux qui ont eu la patience de l’écouter avec la voix d’un seul côté !

  19. Ce livre audio, défectueux, a été réparé et optimisé pour une écoute au casque. Désolée pour tous ceux qui ont eu la patience de l’écouter avec la voix d’un seul côté !

  20. Ce livre audio, défectueux, a été réparé et optimisé pour une écoute au casque. Désolée pour tous ceux qui ont eu la patience de l’écouter avec la voix d’un seul côté !

  21. Vous êtes adorable. Je suis très heureuse d’enseigner, comme Arsène. Je suis très heureuse d’écrire et de partager ce que j’écris. Je suis très heureuse de traduire et de lire ce qui me plaît. Je suis très heureuse sur Litteratureaudio, dont je partage les valeurs : un site sur lequel toutes les littératures sont irriguées, partagées, honorées et transmises… Que demander de plus ? 😉

  22. Chère, bien chère Claryssandre… Je ne sais que répondre à tel compliment. Je vous dirai juste un immense merci, car vos mots me vont droit au coeur, et me consolent de toutes les portes fermées auxquelles mes romans ont pu se heurter – peut-être finalement pour le meilleur ! 🙂

  23. Chère Isabelle Perroulaz, cher(e?) Daniell, cher Samuel, vos petits mots trouvés ce matin ont enchanté ma journée entière. Je dois beaucoup à tous mes audio-lecteurs qui, sans s’en rendre compte peut-être, me donnent l’énergie pour continuer à écrire, contre vents et marées, ce que j’ai envie d’écrire… Savoir que vous désirez vous plonger dans mes autres récits est pour moi la plus belle reconnaissance. J’ai beaucoup hésité à partager ce livre, qui, sans être vraiment personnel, est sans doute plus engagé et plus risqué que les autres. Je suis très heureuse qu’Arsène vous ait séduits. @daniell : j’espère que votre accès de misanthropie sera bénin et de courte durée. J’avoue ne pas avoir anticipé cet effet secondaire ! 🙂

  24. Je vous adresse tous mes remerciements, chère Isabelle, pour votre retour si enthousiaste sur mon Homme de Lettres… Et j’espère avoir le plaisir de vous croiser à nouveau dans les commentaires. En ce qui concerne votre requête, sachez que la Pitié Dangereuse sera lu prochainement par un excellent donneur de voix, Christian Dousset, et que, malheureusement, l’Ivresse de la Métamorphose n’a pas de traduction libre de droit… ce qui nous interdit de le lire, pour le moment. Encore merci pour vos encouragements à toute l’équipe de notre site bien-aimé.

  25. Merci Vincent, et merci au traducteur pour sa générosité. J’ai beaucoup aimé l’idée de raccourcir les gens les plus forts et les plus beaux afin de ramener l’équilibre… 🙂

  26. Merci JSGREN… Je n’ai pas tout compris dans votre message, mais je retiens que vous me notez 15/20 – ce qui, quand Tolstoï est noté 19,5/20, me paraît déjà très généreux… Je ne peux que vous encourager à continuer sur Tolstoï – Anna Karénine, et Guerre et Paix, vous tendent les bras sur notre site !

  27. Quatre écoutes ! J’en suis baba… et tout émue. C’est formidable de savoir que nous avons dignement servi ce livre fondamental… Merci pour votre précieux retour !

  28. Je vous remercie grandement, chère Sylve, de votre commentaire. Cette traduction m’a pris, parmi d’autres travaux, quatre ans – pendant lesquels la langue de Joyce m’a accompagnée. Je suis vraiment heureuse et fière de votre compliment sur ma traduction. Le style de Joyce est le plus souvent simple et sans artifice; ce qui rend encore plus beaux ses passages poétiques. Si la traduction ne se sent pas et coule de source, c’est le meilleur hommage possible ! Quant à ma trop grande vitesse de lecture, hélas… vous n’êtes ni la première ni la dernière à me la faire remarquer. Mais ralentir davantage me fait perdre le “naturel”, et de deux maux, je choisis le moindre. 🙂
    Au plaisir de vous lire, merci encore pour votre retour qui donne tout son sens à mon travail.

  29. Vous avez raison, c’est assez typique de l’époque… Même chez Colette, par exemple. Il y a une volonté de rendre un effet primesautier, léger, avec des tournures de phrases aujourd’hui datées, des sobriquets qui vieillissent mal. Ce qui fait le plus “actuel” au moment où le roman est écrit est justement peut-être ce qui résiste le moins bien au passage du temps.

  30. Cher Léon, je vous remercie du fond du coeur pour votre message qui me fait un immense plaisir ! Profitez bien de Marsilia avant de poursuivre votre route 🙂

  31. Ah, cher Vincent, tu nous mets l’eau à la bouche avec cette nouvelle, et nous restons sur notre faim… Une atmosphère presque lovecraftienne, mais avec un héros droit dans ses bottes. Magnifique traduction, belle promenade dans les marais, et, surtout… beau clair de crâne dans la lande ! 😉

  32. Un grand bravo d’abord pour la très belle facture de ce livre audio, et pour votre interprétation impeccable à tous les deux. En ce qui concerne le texte, j’ai été charmée par les premières pages, fortes, bien écrites, intelligentes… C’est un texte de qualité, avec cependant quelques éléments qui m’ont un peu gênée par la suite… La fin un peu abrupte, et peut-être un certain manque de naturel dans l’écriture des dialogues – qui ne devaient pas être faciles à lire, d’ailleurs. Mais c’est une oeuvre très touchante, avec de beaux passages. Je suis très contente de l’avoir écoutée 🙂

  33. Merci à vous, cher Sautillant… J’espère que votre maison, qui a l’air fort gracieuse, ne m’en voudra pas de vous avoir ravi, au sens propre, à vos devoirs domestiques.

  34. Bonsoir, cher Autodidactus, et merci pour ce miroir magique qui transforme ma très humble personne en une noble et magnifique créature. Cela m’a fait sourire 🙂 L’imagination fait décidément des miracles…
    J’aime beaucoup l’idée de tisser mon oeuvre, et je vous laisse continuer à en parcourir les trames.
    Au plaisir de vous lire !

  35. Merci beaucoup, Vincent, pour ces quelques semaines passées avec moi, et pour ce long commentaire !
    Je suis très sensible à ta remarque sur le fait qu’il n’y a pas de bons et de méchants – il me semble que le texte laisse une certaine liberté de jugement aux lecteurs, et je suis d’ailleurs parfois très surprise par les verdicts qu’ils rendent : je pense à un lecteur en particulier qui a préféré largement Elzé à ses deux frères, et qui considère Léviathan comme une solution envisageable… Je suis très heureuse de cette autonomie du texte et des lectures.
    Quant à l’imbrication de l’intrigue policière avec l’intrigue politique, je suis heureuse de l’avoir réussie. C’est précisément ce que l’éditeur m’a demandé de retravailler à partir du premier jet, où les trois histoires étaient beaucoup plus séparées.

  36. Bonjour Charlotte et merci pour votre commentaire qui nous donne beaucoup de coeur à l’ouvrage ! Malheureusement, il n’y a pas à ma connaissance de traduction libre de droit de ce dernier roman inachevé d’Edith Wharton… Il faut en effet que le traducteur soit mort depuis plus de 70 ans pour que nous ayons le droit d’utiliser sa traduction.
    Si vous en connaissez une, plusieurs donneurs de voix seront ravis d’accéder à votre requête !

  37. Un grand bravo pour cette lecture impeccable (pas trop rapide pour moi non plus), avec des intonations variées et très justes, et une belle traduction. Bienvenue à bord !

  38. Cher Autididactus, je suis vraiment très honorée par votre beau commentaire, et vous en remercie. Les passages que vous citez concernent la mort, qui n’est pas le thème central, mais tout de même un des thèmes importants du livre (notamment le désir de mort de Filip Reda) … je suis très flattée aussi que vous évoquiez Mizubayashi que j’aime particulièrement. Si vous avez envie de prolonger votre voyage dans le temps, je vous invite à écouter Paraddict ! Merci encore pour ce retour enthousiaste ! Les retours des lecteurs sont essentiels pour continuer à écrire ☺️

  39. Comme je viens de finir de traduire Dubliners, je suis vraiment très émue de votre compliment, auquel je ne sais même pas comment répondre, tant il me semble énorme… Un énorme merci, Jean-Guy… Et nous allons tout de suite mettre votre suggestion de lecture dans la liste !

  40. Cher Vincent, chère Éole, j’étais moi-même très intriguée et je n’ai pas été déçue. L’exercice mental auquel nous convie l’auteur est, de fait, très pédagogique : il faut, par l’imagination, modifier ses perceptions et ses représentations de l’espace, et jongler avec les propriétés géométriques des différents objets. Je vous conseille vivement d’ailleurs un magnifique livre audio, beaucoup plus moderne, qui m’a fait comprendre beaucoup de notions physiques, par un procédé un peu similaire : L’Univers à portée de main, de Christophe Galfard, qui est un chef d’oeuvre de pédagogie.

  41. Eh bien j’ai trouvé le temps d’écouter les dix premiers chapitres, et c’est déjà un enchantement. La musique est très belle et très bien choisie; et… je ne m’explique pas cette proximité que je ressens avec ces femmes du début du vingtième siècle. Je n’ai pourtant pas vécu, ni grandi, dans les mêmes conditions qu’elles, mais leur quête de liberté, courageuse, difficile, ambivalente, mêlée d’angoisse et de regret, me parle étrangement. Ce récit n’est pas sans rappeler La Vagabonde de Colette, que je lirai dans quelques mois. Merci pour cette belle découverte et cette magnifique réalisation.

  42. Même si ce site s’adresse à tous, nous sommes toujours particulièrement heureux de rendre accessible la littérature à ceux qui en étaient privés, pour une raison ou pour une autre ! C’est très gentil à vous d’avoir pris la peine de nous écrire ces trois “merci” qui nous vont droit au coeur.

  43. Merci beaucoup chere Mireille ! Et bon anniversaire à vos nièces, mais si elles n’aiment pas lire, était-il bien raisonnable de leur offrir ce pavé ? 🤣

  44. Chère Patsy, je n’avais pas réagi à votre très gentil message sur Le Couple Désaccordé, et je vous remercie donc doublement aujourd’hui ! le tome 2, ce sera en librairie le 10 octobre, il s’intitule Paraddict 2073… Je suis vraiment très heureuse que ce roman vous ait emportée pendant ces 14 heures 😊

  45. Un grand merci à vous, Maurice ! N’hésitez pas à écouter aussi l’anthologie de la poésie de Gide (J’aime particulièrement la partie 3 )… 🙂

  46. Bonjour, vous pouvez utiliser ce livre audio à des fins non-commerciales. Veillez cependant à bien préciser que nous sommes non seulement les lecteurs mais aussi les traducteurs de cette oeuvre inédite en français.

  47. Mettre en pause Agatha Christie, c’est un crime de lèse-majesté et un sacré compliment ! Je vous souhaite une excellente écoute, et un voyage pas trop mouvementé jusqu’en 2071… Merci à vous 🙂

  48. Ah, merci Vincent, cela me fait très plaisir que tu te lances dans Paraddict… Et que tu apprécies cette immersion ! J’ai hâte d’avoir ton avis sur la suite 🙂

  49. Vous me faites rougir, chère Claryssandre… Mais je suis bien heureuse que cette pépite, amoureusement dénichée par Vincent, connaisse un si vif succès 🙂

  50. Hélas je crois que cette fonctionnalité n’est pas disponible. Pour conserver l’endroit où vous vous êtes arrêtée, il vaut mieux télécharger le fichier et le lire avec votre lecteur mp3 habituel.

  51. Il faudra attendre l’automne pour le tome 2… Que vous n’ayez “pas pu décrocher” est ma plus belle récompense, merci infiniment de votre retour !

  52. Merci à vous ! Je suis heureuse de vous raconter des histoires dans votre cuisine 😊 même si celle-ci peut difficilement se ranger dans la catégorie des feel-good… mais il faut des saveurs différentes pour stimuler nos papilles.

  53. Un grand merci à vous, chère Edwige ! Pour répondre à votre question : il est difficile de vous donner une date sûre, mais j’espère d’ici un an, à l’été 2025…

  54. Cher Sautillant, je vous aurai fait voyager, dans ma machine à remonter (ou à perdre) le temps ! De 15 ans à 101, en passant régulièrement par un retour à 30… Merci de vous plier aussi aimablement à cette gymnastique temporelle.

  55. Cher Fabien, voici mes réponses : oui, on peut lire le premier sans attendre le deuxième (il ne s’arrête pas sur un terrible cliffhanger). J’espère cependant que vous aurez envie de connaître la suite et la fin de ce récit. Et non, il n’est pas prévu pour le moment que je lise le deuxième…

  56. Bonjour mesdames ! Sur la petite flèche à la droite de la piste, vous pouvez faire un clic droit et choisir “Télécharger le fichier lié”. Chez moi, cela fonctionne pour les deux nouvelles.

  57. Eh bien, Thierry, moi je sais que je dois vous remercier d’avoir dérogé à vos habitudes. Je ne sais pas pourquoi ou pour qui les gens écrivent, mais ce que je sais, c’est que je ne parviendrais pas à continuer à écrire si je n’espérais pas être lue, s’il n’y avait pas, à l’autre bout de mon horizon, sur un rivage lointain, ces lecteurs dont je ne connais rien, et que j’espère faire vibrer à distance. C’est la réalisation de cet espoir que votre commentaire me révèle, et cela est irremplaçable ! Je garde votre commentaire comme une petite liqueur d’or dans une fiole, pour les jours sombres. Revenez faire un tour vendredi sur le site…

  58. Un grand merci à vous, Sodelolympe et Plume, c’est si encourageant pour nous de recevoir de tels commentaires ! Et nous sommes très heureux pour Emily Eden, qui trouve (grâce à Vincent qui l’a découverte) un public francophone à travers nos voix. Je me dis parfois que ces auteurs, morts depuis des lustres, seraient surpris et sûrement ravis de savoir que leurs mots ont rencontré des technologies qu’ils ne soupçonnaient pas, et qu’ils voyagent ainsi à travers le temps et le monde.

  59. Ah, Eole, vous nous comblez d’aise ! Il va être bien difficile de trouver une nouvelle traduction qui soit à la hauteur des 4 premières… mais je suis confiante, nous trouverons. Merci pour votre enthousiasme 🙂

  60. Bonjour Sautillant et merci de votre petit mot ! Votre gentil compliment, qui va dans le même sens que celui de Christian, m’a donné à réfléchir : au fond, n’est-il pas assez étrange qu’une voix de femme paraisse convenir particulièrement à des poèmes où le “je” est clairement masculin ? Et pourtant… je suis comme vous, le genre de la voix ne me dérange nullement, par exemple une voix de femme pour un texte où le narrateur est un homme, comme si la voix des donneurs de voix était en quelque sorte au-delà du genre. Comme la littérature.

  61. Très chère Gaëlle, comme ce commentaire nous est précieux… merci infiniment ! (Je suis fan également de Mrs Douglas mais je vais tâcher de ne pas trop m’inspirer d’elle dans la vie réelle 🤣)…

  62. Merci beaucoup, nicolas-robin, je suis très heureuse que vous ayez apprécié ces univers si différents… Même si l’utopie affleure dans les deux. A très bientôt j’espère pour la suite de votre découverte !

  63. Incomparable, généreuse… Lïat ! Ces qualificatifs ne vous vont-ils pas mieux qu’à moi ? En tous les cas, vous répandez beaucoup de joie dans le coeur des DDV. A très bientôt 🙂

  64. Chère EclatduSoleil, quel bonheur de vous retrouver avec ce beau commentaire ! “Un bon livre bien interprété fait partie des meilleurs moments de la vie”… Merci beaucoup et à bientôt !

  65. Un grand merci, Pastelle ! Vous avez raison, c’est de la très grande littérature… Si vous voulez rester avec notre belle équipe, et retrouver un peu de joie, je ne saurais que trop vous conseiller d’aller voir du côté d’Emily Eden. Cela vous raccommodera sans doute avec l’humanité 🙂

  66. Bonjour Katia, normalement vous devriez maintenant pouvoir télécharger le fichier zip. Excusez-nous pour le retard dans notre réaction, et n’hésitez pas à revenir vers nous si le problème persiste.

  67. Merci mille fois, Kakalake, je suis vraiment très touchée par votre compliment. “Les Artocrates” se déroule dans une cité contemporaine d’Albâtre, et oui, vous y retrouverez des personnages. Mais… Dune ! Dame ! Que penseriez-vous de Timothy Chalamet dans le rôle d’Artus ? 😉

  68. Bonjour C Chafiai Aya, le livre que vous cherchez n’est pas libre de droit et vous ne trouverez ici que des livres libres de droit ou publiés sous licence creative commons.

  69. Chère Marissa Dubois, c’est avec un immense plaisir que je découvre votre commentaire ! C’est un très beau cadeau que vous me faites, et je vous en remercie du fond du coeur.

  70. Bonjour Eldo, en général, vous avez un lien en bas de la présentation du livre audio qui vous permet d’accéder à une version numérique libre de droit de l’oeuvre que vous êtes en train d’écouter. Vous allez trouver la mention : “Consulter la version texte de ce livre audio”, et il vous suffit alors de cliquer sur le lien bleu.

  71. Cher Julien, je suis très touchée… Un seul commentaire comme le vôtre me paye de toutes les affres de la création ! (J’ai adoré l’Assassin Royal, et, si j’ai toujours trouvé que l’univers du Trône de fer était redevable à celui de Robin Hobb à plus d’un égard, je ne connaissais pas cet hommage direct de GRR Martin). À très bientôt, je l’espère, dans un autre futur ou dans un passé de fantasy…

  72. Cher Daniel, j’ai écouté votre belle lecture avec beaucoup d’intérêt. Cette nouvelle a un certain nombre de points communs avec Veiller sur Elle, le Goncourt 2023, que j’ai beaucoup aimé… Je reste cependant songeuse sur le titre, car le secret me paraît être non celui d’Edigio, mais plutôt celui de Roberto, ou même de Faustina – en tous les cas, un secret que le lecteur ne réussit pas à percer… Merci à vous.

  73. Merci beaucoup de vous intéresser ainsi à différentes oeuvres que j’ai écrites. C’est un honneur et un plaisir pour moi de savoir que vous avez eu envie “d’en écouter d’autres”.

  74. Merci Bassayaya ! L’aisance n’est qu’apparente… Ce petit livre a été difficile à construire et à écrire. Je suis d’autant plus contente qu’il ait fonctionné pour vous 🙂

  75. Merci beaucoup, chère Christiane-Jehanne, pour ce gros travail de mise à disposition de l’oeuvre de Chateaubriand, que vous menez avec tant de talent et de patience ! 🙂

  76. Merci à vous Suzen, ainsi qu’à Patrick dont je découvre seulement le message. J’ai beaucoup de chance avec ce roman : deux lectures par deux grands DDV de ce site. Daniel m’a fait l’honneur de lire plusieurs de mes textes, et c’est à chaque fois un plaisir pour moi de l’entendre lire mes récits. Quant au roman… il occupe une place à part dans mon parcours, et je suis heureuse qu’il émeuve des lecteurs, malgré toute la souffrance qu’il décrit.

  77. Merci Marion ! L’univers d’Emily Eden est frais et attachant, et nous vous invitons à y poursuivre votre visite en passant par Eskdale Castle, dans le Couple Désaccordé…

  78. Ce que j’aime dans la littérature fantastique, et ce qui est porté à un très haut degré chez Stoker, c’est le génie des atmosphères… Et les atmosphères de Dracula, du château des Carpates jusqu’à la petite station balnéaire au clair de lune, en passant par le bateau hanté, l’asile psychiatrique ou le cimetière de Londres, sont vraiment extraordinaires de poésie et de mystère. Le côté manichéen, tant qu’il ne brise pas le charme, ne me dérange pas. Et pour rendre justice à la fin du roman, je trouve que la course finale contre le soleil, avec ce cercueil voyageant à bride abattue dans la neige, est quand même très réussie… Cachez bien votre sang printanier, cher Sautillant, de peur qu’il n’aiguise l’appétit des enfants de la nuit…

  79. Nous sommes très heureux d’avoir permis à l’humour d’Emily Eden d’arriver jusqu’à des oreilles francophones… Merci pour vos encouragements précieux !

  80. On dirait qu’une sinistre malédiction frappe notre livre audio préféré… Je suis malheureusement une faible femme totalement démunie pour m’attaquer à ce problème, et il faudra que notre vaillante équipe de preux intervienne sur ce cas délicat…

  81. Oui, chère Origan, en effet, la traduction des fautes d’anglais est toujours une énorme difficulté. Nous avions d’ailleurs abandonné la traduction des fautes de langue de Van Helsing dans Dracula, pour lui donner un langage plus conventionnel, parce que le casse-tête était trop ardu. Mais ici, pour les servantes, c’est en effet plutôt un jeu… Dans la deuxième partie, il y a un personnage français qui fait sans cesse des gallicismes, en traduisant littéralement des expressions françaises et en utilisant des faux amis : ce n’est vraiment pas facile à rendre en traduction française, et nous avons essayé de nous en tirer au mieux ! Vous nous direz ce qu’il en est…

  82. Ce que Vincent ne vous dit pas, avec sa modestie habituelle, est que c’est lui et lui seul qui a déniché Emily Eden. C’est lui aussi qui fait tout le travail de montage, si délicat !

  83. Chère Eole, nous sommes très honorés par votre commentaire ! Merci beaucoup pour cette mention spéciale – même si, à titre personnel, j’ai une préférence pour la non moins perfide Mrs Douglas…

  84. J’aime beaucoup votre notion de “sosie verbal” 🙂 Mais je ne dois pas être très physionomiste en matière de voix, car cette très troublante association ne m’est jamais apparue !

  85. Bonjour Claryssandre, et merci pour votre retour. Je trouve que le livre audio nous permet de sortir de nos lectures habituelles, de nous hasarder dans des paysages littéraires un peu plus arides ou un peu plus escarpés, et je suis très heureuse de vous avoir entrainée vers ce récit expérimental, mais finalement tout à fait praticable ! Je suis d’accord, la fin nous laisse un peu… sur notre faim ! 😉

  86. C’est un joli compliment que le vôtre – il m’est arrivé bien souvent de souhaiter que les trajets en voiture durent plus longtemps pour profiter d’un livre audio… je suis donc honorée de me retrouver, pour ainsi dire, de l’autre côté de l’auto-radio ! 🙂

  87. C’est avec beaucoup de plaisir que j’écoute cette oeuvre collective, qui me permet aussi de découvrir de très belles voix que je ne connaissais pas… Hugo excelle dans ces visions grandioses, épiques, aux atmosphères surnaturelles… à consommer sans aucune modération !

  88. Merci Guilhelme… Nous sommes en train de finaliser la première partie de l’autre roman d’Emily Eden, qui s’intitule “Le couple désaccordé”. Vous devriez pouvoir vous régaler à nouveau très bientôt !

  89. Bonjour hlyotier ! Oui, c’était intéressant d’emprunter la subjectivité des générations futures pour juger de notre présent. Merci pour votre aimable commentaire !

  90. Merci chère Gaëlle ! Je n’ai pas trouvé, pour ma part, que le livre souffrait de longueurs, mais je crois que je ne suis guère objective, car Thomas Hardy m’a définitivement conquise…

  91. C’est pour moi le grand chef d’oeuvre de Thomas Hardy… À son exploration habituelle des erreurs, des contretemps et des faiblesses qui orientent les destinées humaines, il ajoute ici une touche gothique aussi émouvante qu’esthétique. J’aime infiniment la capacité de Hardy, à son époque, à adopter le point de vue de la femme, en dénonçant dans tous ses romans, infatigablement, le poids tragique du patriarcat sur des femmes qui essaient d’être libres. J’ai aussi trouvé que son titre, Tess d’Urberville, est d’une prodigieuse intelligence… D’Urberville par la volonté de son père obsédé par les tombeaux de ses aïeux, d’Urberville par la volonté d’Alec qui usurpe ce nom, d’Urberville surtout par l’atavisme obscur et tragique qui pèse sur elle – c’est pour son malheur et malgré elle que ce nom la poursuit. Votre lecture, Daniel, est parfaite, comme toujours !

  92. C’est moi qui vous remercie pour ce commentaire si précieux. Votre désespoir fait vraiment mon bonheur ! 🙂 Dans quelques semaines je commencerai à enregistrer le premier tome de Paraddict, dans sa version publiée, qui fera plusieurs longues heures d’écoute…

  93. Un double merci à vous, Nicolas, je suis ravie que mon univers littéraire vous ait plu ! Vous pouvez continuer à l’explorer sur le site, notamment avec la Cité d’Albâtre, dont les personnages principaux apparaissent dans les Artocrates. À bientôt j’espère !

  94. Merci chère Christiane-Jehanne d’avoir lu cette drôle de nouvelle de cette drôle d’autrice, que je découvre avec vous, et qui m’interpelle par sa réputation sulfureuse et sa prolixité. Il semble qu’elle ait écrit des romans gothiques et décadents, dont je suis curieuse.

  95. D’abord un grand merci pour vos mots qui me vont droit au coeur. En ce qui concerne l’inspiration libertaire, vous n’êtes pas le premier lecteur à me le dire, et pourtant, je vous confesse à mon tour que je ne m’inscris pas particulièrement dans cette mouvance, et que je n’en ai pas lu les auteurs. L’idée de l’organisation de la parole au sein du Conseil des Clés m’est venue après la lecture d’un article qui parlait du consensus comme forme alternative au vote dans la prise de décision démocratique, et qui parlait également de sa large utilisation dans les processus d’intelligence collective, comme Wikipedia par exemple, qui n’est pas modéré de manière verticale, mais horizontale, le texte “final” étant celui qui ne suscite plus de corrections. A partir de là, j’ai essayé d’imaginer ce que cela pourrait donner dans l’univers de l’Organe… Mes romans décrivent souvent une organisation sociale alternative, pour le meilleur ou pour le pire, dans l’utopie ou la dystopie, parfois entre les deux, comme dans les Artocrates. La Cité d’Albâtre, à partir du tome 2, dessine par exemple les contours d’une utopie collectiviste, très différente de celle de l’Organe …

  96. Joyeux Noël à tous ceux qui aiment, écoutent, fabriquent, partagent, et font vivre les livres audio sur ce site. Une pensée particulière pour ceux qui ne peuvent pas passer Noël avec leurs proches : que les voix amicales de ce site vous accompagnent…

  97. Bonjour Sylve et merci de votre long et intéressant commentaire… Oui, il me semble qu’il y a toujours quelque chose comme une occasion manquée, un destin raté, une erreur ou une illusion fatale, dans les récits de Hardy, même les plus optimistes. Mais je me dois de rendre à Daniel ce qui n’appartient pas à Vincent, car il me semble que c’est le premier et non le second qui a déniché la version feuilletonnée de Tess… sauf erreur (fatale?) de ma part.

  98. C’est moi qui vous remercie, chère Claryssandre ! 🙂 Eluard est un grand poète, et ce chant de deuil est particulièrement poignant. Je suis heureuse que ma lecture vous ait plu…

  99. Bonjour Geoffroy et bienvenue ! Pour devenir donneur de voix sur notre site, vous devez passer par le forum “Essais”. Vincent vous guidera jusqu’à la validation de votre essai. À très bientôt !

  100. Bonjour Agathe, pardonnez-moi cette intrusion dans votre conversation, mais Madeleine Rolland est morte en 1960 et il vous faudra donc attendre le 01/01/2031 pour entendre la belle voix de Daniel vous lire Tess… PS : j’ai moi aussi beaucoup aimé, Daniel, votre lecture d’Une Femme Imaginative !

  101. Cher Philippe, je trouve comme vous que la littérature et les bons sentiments ne font pas toujours bon ménage… Merci de vous être ainsi laissé embarquer dans la Sonde !

  102. Un grand merci à vous pour avoir pris le temps de ce commentaire, Sylve ! Les personnages de Thomas Hardy sont tout sauf convenus; forts, marquants, parfois irritants, souvent touchants… toujours humains. C’est un grand auteur, qui a aussi, comme dans cette première scène, un talent particulier pour mettre en scène ses personnages dans des situations originales et intenses. Je ne peux que vous conseiller de continuer votre découverte avec les quatre magnifiques nouvelles lues par Daniel et par Vincent, sans oublier, bien sûr, “Loin de la foule déchaînée”…

  103. Vous me permettrez, cher.e Duscyl, de ramasser ce joli mot que vous avez laissé là, et de le garder précieusement… Je suis très touchée par votre compliment sur ma plume 🙂

  104. Nous sommes vraiment heureux, Domdom, d’avoir ainsi ravi vos oreilles ! 🙂 Nous sommes en train de traduire le second roman d’Emily Eden, qui promet tout autant de plaisir que le premier…

  105. Cher Philippe, soyez triplement remercié pour vos adorables messages ! Oui, j’ai été presque embarrassée d’avoir imaginé, dans cette pure fiction, une histoire qui s’est révélée avoir tant de ressemblances (fortuites) avec les obscures théories du complot qui ont fleuri par la suite… Mon dernier livre, Paraddict, aborde la question de certaines applications de l’Intelligence Artificielle et j’espère que celui-ci ne sera pas trop prophétique, car le futur que j’imagine n’est guère désirable…

  106. Un grand merci à vous, chère âmelette Sautillelette… 🙂 Savez-vous que j’ai pensé à votre poème en lisant les derniers mots “Je dors” ? Mais puisse cette estivale villégiature n’être plus qu’un mauvais souvenir, car je vous rappelle que vous êtes absolument obligé de souffler vos 101 bougies dans quelques décennies sur Litterature Audio !

  107. Bonjour à tous,
    Nous avons créé un nouveau tag “Autrices” qui permet de filtrer les livres audio écrits par des femmes. Il vous suffit de taper “Autrices” dans le moteur de recherche.
    🙂

  108. Bonjour et merci, Claryssandre ! Je me suis posé la même question que vous. “Far from the madding crowd”… Il s’agit visiblement en anglais d’une expression lexicalisée, qui désigne la fureur et l’agitation du monde, comme lorsqu’on dit qu’il y a “un monde fou”. En français, “foule déchaînée” me fait plutôt penser à une foule révoltée, et cette nuance n’existe pas, je pense, dans le titre original. Batsheba vit retirée du monde, au sens où elle n’a pas de tuteur, pas de famille, pas de vie sociale, et cet isolement la rend vulnérable. Mais c’est aussi loin de cette agitation que se révèlent les caractères, celui de Gabriel Oak notamment, qui fuit les festivités chaque fois qu’il le peut, et leur préfère le travail et la sagesse, tandis que c’est la folie qui guette Boldwood… Cette campagne retirée est un théâtre où les passions humaines se développent en profondeur, et non superficiellement. C’est du moins ainsi que j’interprète le titre…

  109. Chapeau bas, chère Eole, c’est une lecture magistrale ! Je ne connaissais pas du tout ce texte, mais il est rare d’être déçu par Dumas, et vous avez restitué son atmosphère sanglante et gothique à la perfection ! Un grand bravo aussi pour la musique que vous avez dénichée et montée avec beaucoup de talent – et aussi pour le choix de l’ image, qui semble avoir été faite sur mesure pour illustrer le texte… Au plaisir de vous entendre à nouveau 🙂

  110. Cher ami, vous compensez très généreusement le peu d’intérêt suscité par ce livre – pourtant pétillant d’intelligence et d’humour. Je ne peux rivaliser avec vos hyperboles qui me font sourire, mais je vous remercie très sincèrement et très chaleureusement. Votre concept de “joaillerie narrative” me plaît beaucoup 🙂

  111. Cher Zorglub, je vous remercie infiniment pour votre commentaire. Les retours comme les vôtres me donnent toute l’énergie nécessaire pour créer, encore, de nouveaux horizons… En attendant, je me permets de vous conseiller ma nouvelle de SF Le Cinquante Millième jour, qui peut peut-être vous plaire.

  112. Je suis heureuse, Misklo et Ferlin, que ce beau livre soit désormais accessible à vos mères. Merci d’avoir pris la peine d’écrire un petit message pour elles !

  113. Merci pour votre commentaire, Sautillant, et bien à vous aussi 🙂 Je serai attentive à la présence éventuelle d’un étrange monolithe dans mon jardin… 😉

  114. Et mille fois merci. Je vous rassure, il y aura une suite, mais il faudra attendre un peu! Si vous ne l’avez pas encore écoutée, je vous recommande la trilogie de la Cité d’Albâtre, où vous trouverez l’histoire d’Aelenor et de Keller avant leur arrivée à Marsilia…

  115. Vous allez me faire rougir, Lïat, avec tous ces compliments immérités ! J’en conclus que vous avez apprécié le style de ce dernier roman, et j’en suis très heureuse. Merci de votre générosité en tant qu’auditrice; vos commentaires sont des rayons de soleil pour beaucoup d’entre nous.

  116. Merci infiniment, Marina ! Quel honneur que celui d’être “réécoutée régulièrement” ! Je ne vous cache pas qu’il vous faudra attendre un peu pour le tome 2 des Artocrates – mais le tome 2 de Paraddict, lui, devrait sortir en 2024 sur papier. 🙂

  117. Lïat, je ne connaissais pas vos talents de réalisatrice ! 🙂 Oui, cette vie rurale un peu idéalisée a beaucoup de charme (que nous sommes loin des paysans de Zola dans La Terre !) et Thomas Hardy excelle à la peindre, ou plutôt, comme je le suppose, à l’imaginer…

  118. Merci beaucoup Jibou, je suis ravie que vous ayez fait ma connaissance… à quelques milles de Weatherbury, commencez donc par rendre visite au maire de Casterbridge ! Cela prolongera votre expérience dans le Wessex…

  119. Quel plaisir de vous retrouver, chère Alice ! Votre compliment me fait particulièrement plaisir, car, en tant que lectrice, j’ai une prédilection pour les livres-mondes… Et je crois deviner que c’est ce qui vous a plu aussi dans mes histoires. Votre impatience pour la suite me réjouit : un grand merci à vous pour ce chaleureux commentaire !

  120. Merci beaucoup pour votre commentaire, Origan ! La grande originalité de ce roman par rapport aux autres est sans doute son optimisme, qui n’est pas si fréquent chez Hardy. L’adaptation de Vinterberg vaut vraiment le coup, autant pour la magnificence des paysages du Dorset, que pour l’incarnation des deux personnages principaux. Mais il a choisi de gommer les aspérités des caractères, et tout le monde, dans son film, est un peu moins coupable que dans le livre…

  121. Merci Thierry, je suis très heureuse que mon interprétation de ces dix poèmes plaise à leur auteur ! J’en profite pour vous signaler que la petite erreur sur le fichier est maintenant réparée.

  122. Merci Yves ! La famille est le lieu de toutes les tragédies, pour beaucoup invisibles… Je partage votre enthousiasme pour la lecture de Daniel, que je félicite au passage également pour sa très belle illustration, dans laquelle le regard se noie… fort à propos !

  123. Un grand merci à vous, Sautillant… Quelle plus belle récompense pour moi que d’avoir permis aux mots d’Eluard de ranimer l’enchantement de vos 30 ans ?

  124. Cher Sautillant, je partage votre amour pour Breton, qui ne me semble pas exclusif de celui pour Eluard – dont le verbe possède une simplicité, une transparence, et en même temps un mystère, qui n’appartiennent qu’à lui.

  125. Même si vous savez déjà combien je l’apprécie, je vous remercie à nouveau, cher Daniel, de m’avoir fait le don de votre voix pour ce texte !

  126. Votre message, chère Claryssandre, me donne envie de réagir à mon tour ! Je n’ai pas tout à fait fini l’écoute de ce roman très marquant, parfois éprouvant, dont je ne m’explique pas qu’il soit si méconnu… Je pense que la deuxième guerre mondiale a en quelque sorte brimé le travail de mémoire qui aurait dû suivre la guerre de 14-18. Les thèmes abordés ici, la collaboration, la délation, le rationnement, le délitement social et moral d’une zone occupée, l’anathème sur les femmes qui “font les allemands”, sont en général associés à l’autre guerre… C’est une magnifique découverte, portée par une lecture pleine d’émotion retenue. Un grand bravo aussi pour l’accompagnement musical, dont le montage a dû être un gros travail. La musique de Mahler apporte décidément quelque chose de plus à l’atmosphère tragique…

  127. Merci à vous, Jameel, Jimmy241, David Niaux et DarkYosh. Nous sommes heureux d’avoir contribué à la diffusion de ce chef d’oeuvre… Ce fut un vrai défi, mais Orwell méritait bien quelques efforts !

  128. Bonjour Sautillant et merci pour vos réponses et vos conseils ! J’aime aussi beaucoup certains textes d’Eluard, et j’en lirai, à coup sûr, dans les mois qui viennent…

  129. Avis aux amateurs : j’ai ajouté la très courte préface de Paul Eluard, qui inscrit joliment le Château d’Otrante au panthéon surréaliste.

  130. Quelle agréable surprise, Vincent ! Je suis très heureuse que ce conte poétique, qui a déjà plus de 20 ans, t’ait ainsi touché. Je n’avais jamais fait le rapprochement avec l’Organe et la Sonde, mais maintenant, le lien me saute aux yeux ! Un grand merci pour ce commentaire plein de délicatesse.

  131. Quelle joie de vous compter parmi mes lecteurs ! Je les aime aussi beaucoup, mes Artocrates, et je suis heureuse qu’ils vous aient séduit. Je vous remercie chaleureusement pour votre message, qui donnera peut-être envie à d’autres audio-lecteurs de s’aventurer dans ces contrées imaginaires.

  132. Votre commentaire nous va droit au coeur et nous motive pour nous atteler à un nouveau livre d’Emily Eden… Je suis très flattée que vous ayez pu croire qu’il y avait plusieurs voix féminines, cela montre que mon travail sur les différents personnages a porté ses fruits ! Merci beaucoup.

  133. Merci beaucoup, Benhaimouda ! En effet, ce roman de Charles Le Goffic est vraiment méconnu… Je vous avouerai que lorsque je suis passée à Tréguier, il y a quelques semaines, j’ai regardé d’un oeil nouveau – et quelque peu épouvanté – les nombreux remerciements à Saint-Yves…

  134. Votre témoignage, cher Roi des Gueux, est émouvant et précieux… Il suffirait à lui seul à donner tout leur sens à nos efforts. Vous avez raison, la littérature est une émancipation, elle transforme et donne des ailes. Contribuer à la transmettre est un honneur, et votre message est pour nous tous une sublime récompense. Merci à vous, ainsi qu’à Jacques Henry et Isabelle Lherminier !

  135. Le problème d’Ulysse serait de le traduire… un travail démesuré, et donc hélas incompatible avec mes autres projets. Je serai déjà heureuse d’arriver un jour au bout de ce très beau recueil de nouvelles…

  136. Chère Florence, je suis particulièrement sensible aux commentaires des auditeurs qui me font l’honneur d’écouter tous mes livres, et je vous en remercie très chaleureusement. Quant à ma cruauté, envers vous et envers mes personnages, je crains qu’il ne vous faille encore l’endurer un moment… La suite mûrit certes dans ma tête, mais je n’en ai pas encore commencé la rédaction : je travaille à la publication d’un tome 2 de Paraddict et je vais également terminer un petit roman de littérature générale avant de m’y atteler… Ou plutôt de m’y embarquer… Pour parler plus concrètement, vous ne pourrez pas mettre à la voile avant 2025 !

  137. Chère Lïat, cher Bruant, merci de votre intérêt ! Je vous souhaite une belle errance dans les bus, les pubs et les allées humides des parcs de Dublin, en compagnie des personnages de Joyce, si solitaires et si humains…

  138. Chère Gaëlle, je viens d’achever l’écoute de ce très beau livre. Votre voix, si belle et musicale, porte parfaitement ce roman qui mérite vraiment d’être découvert, pour son style autant que pour son analyse psychologique et sociale. Je ne peux m’empêcher d’y voir une sorte d’hommage ou de de variation sur le thème d’Eugénie Grandet (qui est d’ailleurs citée, à un moment, je crois).

  139. Merci beaucoup Sophie pour votre message très motivant ! Quant à vous, cher JPB, toujours fine mouche – quand vous n’êtes pas mouche du coche 🙂 – je vous avouerais que le titre a longtemps été pour nous en effet, un motif de découragement. Nous n’avons d’ailleurs pas encore résolu ce problème, que votre métaphore culinaire nous aidera peut-être à trancher… “Le couple qui accroche à moitié au fond de la Tefal”, bien que peu victorien, aurait l’avantage de rappeler la non-demande en mariage de Brassens : “Au diable les maîtresses queux / Qui attachent les cœurs aux queues /Des casseroles…”

  140. Cher Fabien, cher René-François, je me permets de vous conseiller de faire des suggestions précises de versions 2 dans le forum des suggestions de lecture : https://www.litteratureaudio.com/sujet/vos-suggestions-de-lectures. Peut-être serez-vous entendus et exaucés ?
    Cependant, les donneurs de voix ont chacun leur sensibilité, leur talent, leurs goûts et leurs disponibilités propres, et il n’est pas toujours facile de se couler dans une lecture que l’on n’a pas choisie soi-même… Il vous faudra donc probablement encore un peu de patience et d’indulgence. 🙂

  141. Il me tarde, Julie, d’entendre la Chambre de Jacob ! Et nous pourrons bientôt enrichir le catalogue des oeuvres de Colette :-). Pour rebondir sur vos propos, nous caressons le projet de créer une catégorie “autrices” afin de faciliter la recherche des oeuvres écrites par des femmes….

  142. Bonjour Mohammad, il est juste en effet que les mêmes règles s’appliquent à tous. Nous allons nous pencher sur cette irrégularité et reviendrons vers vous. Bonne journée à vous !

  143. Cher Alexandre, je suis bien contente que vos promenades vous aient mené jusqu’à l’orée de ma Cité, et je vous remercie très chaleureusement pour ce (trop) généreux commentaire. J’espère que vous tomberez aussi sous le charme d’Albâtre 🙂

  144. Voilà, cher Abel Henri Guillaume Milor, le problème est réparé, vous pouvez maintenant écouter les quelques minutes qui manquaient à ce chapitre ! Merci de votre retour 🙂

  145. Cher René-François, je m’engage à lire la dernière partie, et même si elle ne doit pas intéresser beaucoup d’auditeurs, ma foi, s’il n’en reste qu’un, vous serez celui-là ! Merci pour votre citation – il est amusant que vous l’ayez découverte par hasard ces jours-ci, mais ces petits hasards objectifs arrivent souvent – elle est très belle…

  146. Bonjour Marie-Ange, je mène l’enquête pour savoir où a disparu ce magasin d’antiquités… Et je vous fais part de mes conclusions dès que possible ! 🙂

  147. Merci beaucoup, Bruant ! Je ne vous jette pas la pierre, vous aurez compris que ma préférence va également à ce troisième tome, même si j’ai beaucoup d’affection pour La Fontaine. Oui, il est vrai que Gide coupe, qu’il ne conserve parfois que des strophes… mais c’est assez rare, car la plupart du temps les poèmes sont entiers. Je vous confesse que je n’aurais pas eu moi-même toutes les bonnes réponses au jeu : notamment pour le premier vers, pour lequel j’aurais donné ma langue au chat.

  148. Cher René-François, je vous remercie infiniment pour cet hommage, et je me réjouis que l’anthologie de Gide soit ainsi ressuscitée pour vous. J’hésitais justement à lire la quatrième et dernière partie, qui me paraît tellement plus faible que la troisième… mais si vous la voulez, je m’y attèlerai. Et je vous remercie aussi de m’avoir appris un nouveau mot – me voilà, de manière très inattendue, promue au rang de princesse byzantine, et ce n’est pas rien !

  149. Bonjour Sylvie, bonjour André. L’illustrateur de cette couverture s’appelle Kauffmann (cette indication a été rajoutée au billet). Excellente journée à vous !

  150. Cher Renegrandjean, aucune oeuvre n’est prise en otage sur le site et nous sommes et avons toujours été ouverts aux versions multiples… La diversité des interprétations est appréciable pour les livres audio comme pour la musique, et vous prêchez des convaincus. Chaque donneur de voix est parfaitement libre de proposer ses lectures tant qu’elles sont libres de droits – ne vous inquiétez pas ! Il y a de la place pour tous, et pour toutes les versions. 🙂

  151. Merci Zinnarath, pour votre curiosité ! Attention, il n’y a pas de suite à cette nouvelle. Les autres volumes sont une réécriture moins tragique pour la jeunesse 😌.

  152. Un grand merci pour votre commentaire. Comme vous en êtes à la partie 1, vous avez encore de belles heures d’épouvante devant vous. Bon voyage dans les Carpathes !

  153. Merci ! Il est vrai que Henchard suscite chez le lecteur, et d’ailleurs c’est également vrai, dans une moindre mesure, pour les autres personnages, des sentiments mitigés. C’est là toute la subtilité de Hardy !

  154. Chère Michèleemilie, nous voilà bien récompensés par vos messages à tous. C’est un véritable honneur que vous nous ayez écoutés plusieurs fois, merci du fond du coeur !

  155. Cher Bruant, merci beaucoup pour votre commentaire ! Nous nous sommes plutôt efforcés d’être victoriens que contemporains, mais la modernité et la théâtralité de l’oeuvre ont dû faire le reste…

  156. Merci à vous ! Oui, c’était un vrai plaisir, en effet, que ce quatre mains pizzicato avec Vincent – et si le plaisir est contagieux, eh bien, que demander de plus ?

  157. Merci chère Gaëlle ! C’était la première fois que nous traduisions un livre sans filet, c’est-à-dire sans traduction existante, et je suis vraiment contente que nous nous en soyons si bien sortis ! Heureuse aussi de vous avoir tenu compagnie dans votre voyage – je profiterai moi-même de votre compagnie très bientôt, dès que j’aurai fini mon livre en cours, car l’évocation de Jane Austen et de Balzac pour parler de La Vigne et la Maison a achevé de me donner envie de l’écouter ! À très bientôt, donc, sur votre page…

  158. Je suis vraiment très heureuse, Marianne, que mes histoires résonnent ainsi dans votre imaginaire… Les commentaires comme le vôtre sont inestimables pour continuer à écrire, merci beaucoup !

  159. Chère Claryssandre, c’est un bonheur de lire votre commentaire ce matin. Cela valait la peine d’attendre ! Un immense merci à vous, ainsi qu’à Vincent qui a non seulement découvert ce roman mais aussi pris en charge l’énorme travail de montage !

  160. Un grand merci à vous, Suzen ! Le texte était si vivant que nous n’avions pas d’autre choix que de l’interpréter : une simple lecture n’était quasiment pas possible. Nous sommes vraiment très heureux que cela ait si bien fonctionné pour vous. 🙂

  161. Merci EclatduSoleil, heureuse de vous retrouver… Oui, c’est un texte très frais et très léger ! Emily Eden a, de fait, écrit un deuxième roman intitulé “The Semi Detached Couple”… Mais nous avons l’un et l’autre beaucoup d’autres projets sur le feu pour le moment. 🙂

  162. Que vous n’ayez pas pu décrocher avant la fin, alors qu’il ne se passe finalement pas grand chose, est sans doute pour moi la plus belle récompense !

  163. Bonjour Oscar, merci mille fois pour vos très beaux compliments ! Je suis très heureuse que mes personnages vous semblent si vivants. Vous pouvez trouver la Cité d’Albâtre et Titania sur papier ;-)…

  164. Bonjour Galilée, je me permets de prendre part à la conversation pour vous dire que Vincent vous a, je crois, déjà répondu sur la page d’Orgueil et Préjugés… Encore quelques semaines de patience, le projet est déjà bien avancé ! 🙂

  165. Oui, Rutebeuf est incroyable ! Je regrette l’absence des Derniers vers de Ronsard, que je préfère à tous les autres… Mais créer sa propre anthologie est un tel travail que je préfère me reposer sur Gide. Pour le 17ème, il fait la part belle à La Fontaine, ce qui me réjouit. Mais je regrette un peu qu’il ait choisi de ne pas faire figurer d’extraits de théâtre en vers…

  166. Un grand merci à vous, Paul ! Oui, ce texte est très intéressant. Quant à savoir si Gide l’emporte sur Sartre… Je n’irais pas jusque là, peut-être… Je voue un culte à l’auteur de l’Idiot de la Famille, notamment, et des Chemins de la Liberté…

  167. Heureusement, René nous laisse une caverne d’Ali Baba dans laquelle nous pouvons puiser presque sans fin. Régulièrement, je m’y replonge (en ce moment avec Tolstoï…)

  168. Avec grand plaisir ! Pippo mérite tous les égards et toutes les publicités ! 😉 Je vous remercie pour ce retour si chaleureux, et me permets de vous conseiller d’aller faire un tour du côté d’Albâtre…

  169. Chère Soa, votre dernier commentaire m’a surprise et touchée. Je n’avais jamais envisagé mes histoires sous cet angle de la féminité… Merci beaucoup pour ce retour ! Toutefois, je tiens à préciser qu’il n’est nécessaire ni d’être une femme ni d’avoir lu la cité d’Albâtre pour écouter ce livre audio 😉

  170. Vous avez eu la primeur de Marsilia, Claryssandre, vous êtes la toute première lectrice à vous aventurer là-bas ! Et je vous remercie chaleureusement pour votre enthousiasme, qui me va droit au coeur.

  171. Je vous remercie Graellsia, pour ce commentaire adorablement excessif, dont je ne mérite pas le quart de la moitié du commencement, mais qui me touche infiniment !

  172. Chère Ribambelle, ravie de vous retrouver, même si Hardy ne vous a pas emballée… Vous avez piqué ma curiosité : je me demande ce que vous entendez par une lecture “fort Pauline”…

  173. Chère Lïat, je vous remercie ! Cela nous encourage pour nous atteler à la suite, qui représente un gros travail de traduction pour nous deux, et de montage pour Vincent… Encore un grand merci à lui de m’avoir proposé de participer à ce projet, qui, comme vous le dites, est particulièrement stimulant ! 🙂

  174. Cher Oscar, je suis très émue d’avoir été votre première fois ! Merci pour votre beau commentaire, j’espère que vous n’êtes qu’au début de votre aventure audio…

  175. Chère Sophie, je suis très heureuse d’apprendre que des collégiens vont se plonger dans Titania… si vous souhaitez que je réponde à leurs questions ce sera avec grand plaisir.

  176. Je suis heureuse que ma lecture vous ait permis de renouer avec Thomas Hardy, Dominique Abel ! Hélas, il n’existe pas de traduction libre de droits de Tess d’Urberville, et cela supposerait donc de le traduire, ce qui représente un travail énorme… d’autant plus que j’ai déjà deux traductions sur le feu !

  177. Je vous remercie infiniment, Joël, de votre compliment. Quant à votre attrait pour ce texte, je le partage tout à fait ! Ce moment où la raison l’emporte sur l’idéologie, où le souci de la vérité éclipse toutes les autres considérations, me paraît, au sens fort, exemplaire…

  178. Les livres de Gracq ont déjà leur version audio commercialisée avec la voix d’illustres lecteurs… Je suis flattée par les pouvoirs quasi surnaturels que vous me prêtez – hélas, cher Jean-Pierre, les Editions Corti sont pour moi une citadelle tout aussi imprenable que pour vous, je le crains…

  179. Gracq est l’un de mes auteurs préférés. Mais son saisissant château d’Argol ne ressemble pas vraiment à celui d’Otrante : plus de style, plus de descriptions, moins de dialogues et moins d’humour, sans doute…

  180. Un grand merci, cher Sautillant, pour votre écoute attentive et avertie ! Le traducteur me disait justement que Voltaire, piqué par cette épigramme, était en grande partie responsable du fait que cette oeuvre n’ait pas été traduite et publiée en France comme elle aurait dû l’être, et qu’elle soit donc restée très longtemps dans l’obscurité, en fait jusqu’à ce que les surréalistes la dénichent. Eluard en a fait une préface, et Julien Gracq s’y réfère dans sa préface du château d’Argol…

  181. Vous avez le droit de vous attendre à quelque chose d’extraordinaire, Fraise Sauvage… Pour ma part, Zola, Germinal et Pomme (je ne sais dans quel ordre) ont réussi à me faire pleurer ! Je ne suis pas sûre, donc, qu’il soit bien raisonnable pour moi d’écouter Anna Karénine… 😉

  182. Eh bien, je suis conquise par votre message, qui me fait un immense plaisir ! Je suis en train d’enregistrer mon dernier roman, et vous dis donc à bientôt…

  183. Merci à vous chère Gaëlle, j’ai moi aussi beaucoup aimé cette histoire cruelle. J’ai jeté un oeil aux autres textes de Le Goffic, mais rien ne me paraît comparable à ce premier roman. Peut-être dénicherez-vous une pépite en regardant plus avant ?

  184. Par Krom ! J’en suis au chapitre 7 et je suis déjà conquise ! Certes, on ne niera pas que c’est un peu chargé en testostérone, mais une fois ce parti pris accepté, quel art du récit ! quel régal ! Et une très belle traduction, soit dit en passant… Merci beaucoup pour ce très beau livre audio…

  185. Un grand merci, Christian. Je pense assez souvent à ces nouvelles, dont le sens me semble faire son chemin lentement dans le cerveau du lecteur… Je reprendrai la traduction de la suite un peu plus tard, mais je n’y manquerai pas.

  186. Pour les amateurs d’archéologie, de surnaturel, et même d’horreur… J’ai pensé à Indiana Jones, au personnage d’Akasha, la Reine des Damnés d’Anne Rice, et j’ai été tenue en haleine jusqu’au bout par ta lecture, rendue plus envoûtante encore par la musique (très bien choisie)! Bravo 🙂

  187. Merci beaucoup Vincent ! Le livre, en plus d’être gothique, est par moments très drôle – il n’oublie pas d’être anglais – et je me suis bien amusée à le lire.

  188. Chère Claryssandre, si j’avais un conseil à vous donner, je vous dirais d’essayer ces deux nouvelles pour achever la réconciliation : le Bal de Sceaux et La femme abandonnée…

  189. Cher Sautillant, votre remarque sur le Narrateur est intéressante… Parlez-vous de Marcel jeune, le personnage qui vit les événements ? Ou de Marcel le Narrateur qui les écrit ? Car si le personnage peut avoir ses travers, ses insuffisances, ses manies agaçantes, il me semble que c’est finalement au Narrateur, si éblouissant d’intelligence et de sensibilité, que le lecteur s’attache, à tel point même qu’il ne peut parfois plus s’en passer…

  190. Bonjour Flo4233, et merci pour votre commentaire ! Après vérification, il semble pourtant que le chapitre 27 soit bien présent dans le zip indiqué… Pouvez-vous vérifier à nouveau ?

  191. Chère Pomme, je suis en train d’écouter cette histoire fascinante. Je me suis souvent dit que, en dehors des guerres, les pires sévices, les plus grandes épouvantes, se passaient dans le huis clos des familles… Je suis servie ! J’ai trouvé une photo de cette malheureuse du temps de sa jeunesse. Sa grande beauté (à laquelle JPB rendra hommage) rend l’histoire encore plus tragique.
    https://www.geneastar.org/celebrite/monnierblan/blanche-monnier

  192. Merci Eric. J’en profite pour faire une petite remarque : il paraît que ce roman est actuellement un gros succès de librairie en… Russie (j’ai lu qu’il s’en était vendu presque 2 millions d’exemplaires depuis le début du conflit), ce qui prouve assez son actualité, et celle des clés qu’il propose pour comprendre les dérives totalitaires.

  193. Un vrai plaisir de retrouver ta voix et ta finition parfaite (bravo pour les petits bruits d’ordinateur qui donnent presque l’impression que tu lis en duo avec R2D2)… La nouvelle est très drôle et très bien menée – et, bien qu’elle soit parfaitement logique, la chute a réussi à me surprendre !

  194. Plaisir partagé, chère Claryssandre… James Joyce est sans doute plus accessible à travers ce recueil de nouvelles qu’à travers le “monument” qu’est Ulysse.

  195. Merci Augustin pour la réparation, et merci à vous François ! Il vous faudra attendre un peu pour écouter The Dead, car il s’agit de la dernière nouvelle du recueil…

  196. Merci Ahikar, je vais probablement poster les 4 prochaines avant l’été… J’ai été assez déçue par le film de Houston, mais je serais heureuse d’en parler avec vous si vous le voyez ! Je vais également corriger le son sur “Une rencontre”, merci pour votre vigilance et pour votre écoute. Bonne journée à vous aussi 🙂

  197. Bonjour Alice et merci. Oui, ces nouvelles sont belles, pénétrantes, pleines de détails humains qui ouvrent à la réflexion. Joyce aime suggérer plutôt que dire; il donne l’apparence des choses et nous laisse essayer de percer leur fond. Je prends plaisir à cette traduction – pas toujours très facile d’ailleurs…

  198. Ce poème est assez marquant, et très sensuel, c’est vrai. Et Maupassant excelle dans ces poèmes narratifs… Mon préféré demeure sans doute la Dernière Escapade, car il est d’un goût presque gothique…

  199. Je plaide coupable, Françoise… Ce sont bien des grenouilles de Martinique ! J’essaie aujourd’hui de ne plus enregistrer le soir. Tess d’Urberville est encore, hélas, à l’état de très lointain projet…

  200. Ces pigeons parisiens n’ont décidément aucun respect, cher JPB, et je compatis à cet outrage répété… Salut à vous, Sautillant – Brassens est en effet, en plus d’un grand poète, un DDV inégalable !

  201. Bonjour Alice, ravie de vous retrouver ! Ce poème “Les oies Sauvages” rappelle “les oiseaux de passage”, de Jean Richepin, chanté par Brassens (je vous avoue d’ailleurs que c’est l’une de mes chansons préférées).

  202. Bonjour à tous ! Cher Christian, j’ai une question pour vous. En regardant l’excellent film de Giannoli, j’ai repéré une phrase qui n’est pas de Balzac mais de Musset, dans Lorenzaccio (Acte III Sc3) : “L’humanité souleva sa robe et me montra, comme à un adepte digne d’elle, sa monstrueuse nudité”. Dans le film, il est dit “Paris souleva ses jupes et lui montra… etc”. La question que je me pose est la suivante : cette phrase figure-t-elle dans le roman de Balzac (auquel cas il s’agirait d’un emprunt à Musset) ou, plus probablement, Giannoli fait-il une intéressante et discrète comparaison entre la pureté prostituée de Lucien et celle de Lorenzo ? Je n’ai écouté que le début de votre version, mais elle semble magnifique !

  203. Bonjour cher Sautillant. En vérité, JPB n’a fait que réactiver un projet ancien, dont nous avions déjà parlé – et j’ai d’ailleurs déjà enregistré le premier chapitre… Ce n’était qu’un pied à l’étrier pour remonter sur ce fougueux cheval barbare…

  204. Si vous insistez, Jean-Pierre, et malgré tout le respect que j’ai pour la merveilleuse lecture de René Dépasse, je saute le pas… Rendez-vous à Mégara, faubourg de Carthage, dans les jardins d’Hamilcar…

  205. Cher Kmchen, j’ai malheureusement plus d’années et moins de cerveaux que vous ne m’en prêtez ! Mais cela ne m’empêche pas de vous remercier pour votre très gentil commentaire. Je constate que beaucoup de mes récits tournent autour de l’idée d’utopie, comme la Cité d’Albâtre ou le Cinquante-Millième Jour… J’ai dû être femme politique dans l’une de mes sept vies antérieures !

  206. Merci pour ces tutoriels très clairs ! J’ai une question qui intéressera peut-être certains DDV qui aiment publier les livres au fur et à mesure de leur enregistrement : sera-t-il possible d’ajouter des pistes à une playlist au fur et à mesure ? Ainsi, nous ne multiplierions pas les livres audio, nous ajouterions simplement les chapitres à la playlist existante ?

  207. Merci à vous, Melio ! Si vous êtes patient, vous aurez peut-être l’an prochain quelques nouvelles d’Aelenor et de Keller… 🙂

  208. Bonjour Vincent, je ne connaissais pas cette auteure et cette très belle lecture m’a donné envie de la connaître mieux… Cette Desirée est une lointaine ancêtre de Beloved… Ta voix instille admirablement l’atmosphère de malaise – et quelle chute ! J’aime beaucoup aussi l’accompagnement musical.

  209. Chère Alice, merci pour votre tristesse à la fin de la fable – être en deuil d’un récit lorsqu’il s’achève est le plus beau compliment qu’on puisse lui faire !
    Cher Artus, tout d’abord je dois dire que votre pseudo me plaît beaucoup ;-)… Votre message m’a beaucoup, beaucoup touchée !

  210. Chère EclatDuSoleil, quel beau compliment… Nous sommes ravis de vous avoir accompagnée en vacances et d’avoir partagé avec vous ce moment de littérature.

  211. Chère Alice, en effet la réflexion politique est vraiment le fil rouge de cette trilogie; révolution, tentative d’utopie, et éternel retour…

  212. Vous avouerai-je, Julien, que j’ai été la première étonnée ? Quand ce sujet s’est mis à me trotter dans la tête avec insistance, je me suis vraiment demandé si j’arriverais à écrire quelque chose d’aussi éloigné de mon univers, et surtout de mon ton, habituels…

  213. Mille fois merci, Marco, pour votre généreux commentaire… Et merci aussi à Julien Lebbihi : je suis très touchée que vous fassiez ainsi le tour de mon jardin !

  214. Un grand merci à vous, Catherine (ou Pétale ?), pour ce retour enthousiaste ! En effet, le choix du nom n’est pas expliqué… et à en juger par les commentaires, c’est un choix qui questionne ! Le mot m’évoque quelque chose qui ne fonctionne pas seul, qui n’est que la partie d’un tout plus vaste, à l’inverse par exemple d’un atome. Et évidemment quelque chose de vivant. Le futur décrit dans Paraddict sera peut-être moins réconfortant… mais je vous donne malgré tout rendez-vous en 2071 !

  215. Chère Alice (que je reconnais bien!) vous pouvez acquérir le livre sur les grandes librairies en ligne (que je ne nommerai pas)… Je vous remercie infiniment pour votre commentaire et vous dis donc à bientôt !

  216. Cher Julien, vous avez raison, j’ai fait beaucoup de progrès techniques – notamment au contact de Vincent! Je suis heureuse que cette moindre qualité n’altère pas trop l’intérêt de ce livre audio, qui était particulièrement long. Pour répondre à votre question, je suis désolée de vous décevoir, mais non, point de rocking-chair ni de balancelle pendant la lecture… On m’a dit souvent qu’on entendait les grenouilles en fond sonore : peut-être leur chant grince-t-il ?

  217. Il faudra nous dire ce que vous y avez découvert ! Excellente écoute à vous 🙂

  218. Oui, en effet, Myril… C’est une version vraiment améliorée, avec une enquête enrichie (et un meurtrier différent!) et davantage de passerelles entre les trois histoires. Un ensemble toujours foisonnant mais avec plus de tenue il me semble !

  219. Eh bien Patrick, je vous souhaite bon voyage ! Et si votre équipée ne vous plaît pas, vous n’aurez qu’à vous en prendre à Vincent… mais pas trop cruellement, si possible. 😉

  220. Chère Myril, vous battez à nouveau tous les records du nombre d’écoutes… Et je vous remercie de votre fidélité. Un grand et chaleureux merci à vous aussi, Marko, pour votre enthousiasme. Je suis vraiment heureuse que ce texte ait rencontré tant d’audio-lecteurs… Et je me permets de vous donner rendez-vous à tous les deux aujourd’hui même en librairie pour une version enrichie de Paraddict ! 😉

  221. Merci encore Julien, Thomas Hardy est un grand auteur et ce livre vaut le détour…

  222. Je vous remercie, Altoviti, pour votre appréciation – même si je l’eusse préférée moins comparative… Je pense que beaucoup d’auditeurs sont touchés par des oeuvres plus intimistes, plus réalistes, plus autobiographiques, et qu’il y a, et c’est ce qui fait la beauté de ce site, de la place pour tous les genres… et pour tous les goûts !

  223. Merci beaucoup cher Vincent ! Comme nous partageons beaucoup de goûts et de références littéraires, ton compliment me va droit au coeur… PS : J’ai hésité pour le titre (qui aura décidément fait beaucoup parler de lui), non pas à cause des sous-entendus scabreux que d’aucuns, à l’esprit ô combien mal tourné, y ont vus, mais à cause justement de sa ressemblance avec La source et la Sonde – j’ai finalement conservé ces deux mots, avec leur symbolique chirurgicale, invasive, et aussi leur connotation “biologique” et “technologique”.

  224. Merci beaucoup Patsy, je suis très heureuse que mon travail plaise à quelqu’un qui a appelé sa fille Alice… 🙂

  225. Bonjour Franky… En effet Titania 3.0 est sorti sur papier et vous pouvez donc vous procurer le livre, le pdf n’est pas mis à la disposition du public. Bonne continuation !

  226. Merci Edwige, vous êtes bien aimable… J’ai un livre qui sort en librairie fin août, et je suis en train d’écrire le premier tome d’une nouvelle trilogie – mais ce ne sera pas pour tout de suite !

  227. Bonsoir Sautillant ! Eh oui, les feux se couvrent tôt dans mon île charmeuse de serpents… Mais la comparaison avec 1984 me semble à tout le moins excessive !

  228. Cette phrase, et particulièrement cette comparaison avec les géants, m’a profondément marquée lors de ma lecture du Temps Retrouvé… Il est unique, dans toute mon expérience de lectrice, de me souvenir, après une seule lecture, de métaphores ou de comparaisons précises – mais certaines images de Proust, comme lorsqu’il compare l’aube de Balbec à une momie découvrant son masque d’or, ou lorsqu’il compare le rabâchage de Françoise à une cantate de Bach, se sont imprimées dans ma mémoire pour ne plus jamais s’effacer… Et cela même est tellement proustien !

  229. Merci beaucoup chère Fée Coupaille. Vincent sera sensible à vos compliments sur l’illustration musicale qu’il a incorporée avec beaucoup de soin et de pertinence… C’est un livre marquant, inégalable, prodigieusement intelligent. Ce fut un honneur de le traduire et de le lire avec Vincent.

  230. Ma chère Alice, il y a un livre de John Irving qui s’intitule “À moi seul bien des personnages”, et je me hasarde à le transposer pour dire que vous êtes à vous seule bien des lecteurs… Merci infiniment pour votre intérêt constant et manifestement contagieux !

  231. Avec un jour de retard, je crois, tous mes voeux d’anniversaire à notre cher René Dépasse…

  232. Cher Sautillant, n’ayez crainte… Je peux dormir encore longtemps sous votre coude, le spot est tout à fait confortable…

  233. Chère Alice Lym, votre dernière phrase est très touchante pour moi – car elle prouve que j’ai réussi à écrire cette mort très douce, cette mort heureuse, qui était un pari difficile. Merci !

  234. Merci Olivier Roman, vous me faites beaucoup d’honneur car j’adore ce que vous faites… Et merci à vous Damien, je suis très touchée que ce livre vous ait ainsi embarqué !

  235. Chère, chère, chère Claryssandre, vous êtes une bonne fée, qui répandez des perles et des fleurs à chacun de vos messages… En ce qui concerne une suite à Albâtre : je suis en train d’écrire une autre saga, qui se passe dans une autre Cité, contemporaine d’Albâtre. Il y aura des passerelles. Des nouvelles. Des éléments de suite. Mais ce n’est pas une suite, les personnages retrouvés seront des personnages secondaires car la saga se concentrera sur de nouveaux personnages dans un univers social différent…

  236. Chère Alice Lym, vous êtes bien la même et fidèle lectrice à travers vos différents baptêmes… Je suis heureuse que cette histoire vous ait plu !
    @Sautillant : 😉 Ne vous laissez pas déborder !

  237. Chère Carole, un grand merci à vous ! Je partage totalement votre admiration pour cette oeuvre.

  238. C’est la première fois qu’on utilise le nom d’un de mes personnages comme pseudonyme, ça se fête… Merci du fond du coeur, Major Strauss, et longue vie à vous !

  239. Merci chère Marion pour votre fidélité. Je suis heureuse de savoir que vous me faites suffisamment confiance pour vous laisser guider dans une direction où vous n’aviez pas envie d’aller… C’est un beau compliment.

  240. Merci Franky, je vous souhaite de belles évasions ! J’admire nos audio-lecteurs qui font l’effort d’écouter les livres dans une langue étrangère… Bravo !

  241. Merci, Xavier Daniel… J’ai la mémoire qui flanche et je ne me souviens pas de Mme Madou, mais je sais que j’avais trouvé ce roman truculent ! Balzac, comme Proust, et Zola (au moins dans Pot-Bouille) sont aussi de grands humoristes…

  242. Chère Carole, merci beaucoup pour toutes ces réflexions si justes ! Elles me sont très précieuses.

  243. Merci beaucoup Anaïs ! Mais c’est moi qui suis très reconnaissante à ce site de m’offrir un espace de rencontre avec les audio-lecteurs.

  244. Merci Dimitri et Alain ! Je me suis bien amusée, ce qui est déjà merveilleux…

  245. Merci à vous deux, Annie et Douros. Je suis ravie que ma voix résonne dans des ateliers, et dans tous ces lieux où l’on façonne des choses… Douros, il n’y a rien de plus facile : la Cité d’Albâtre est disponible au format papier.

  246. Bonjour Maryse, le découpage correspond aux chapitres du livre. Pour tout écouter à la suite, vous devez mettre tous les fichiers dans une liste de lecture, et votre lecteur lira automatiquement le fichier suivant…

  247. Merci à vous Paul-André ! Chère Lïat, j’ose espérer que les sombres tendances de Lewis Carroll auront trouvé dans l’art une sublimation – ses textes, indépendamment de sa biographie sulfureuse, que je ne connais d’ailleurs pas précisément, demeurent pour moi parmi ces météores après lesquels on n’a plus jamais rêvé tout à fait de la même manière, qui ont ouvert l’imaginaire collectif d’une manière radicale et irréversible…
    @JPB : Impossible de ne pas vous croiser parmi ces personnages hauts en couleur et férus de poésie !

  248. Encore une fois merci, chère Carole… Je suis heureuse que cette oeuvre de jeunesse (écrite au siècle dernier, rendez-vous compte!) suscite encore de l’intérêt. Je n’ai pas lu la réécriture d’Amélie Nothomb… En tout cas je crois que vous aurez bientôt fait le tour complet de mon travail, et je vous en remercie très chaleureusement !

  249. Un grand merci, lmervaillie et Sophie, pour avoir fait l’effort de poster vos commentaires, que j’ai trouvés avec beaucoup de joie à mon réveil !

  250. Je vous remercie Sylvie. Ces affaires sont en effet fascinantes !
    Je suis heureuse d’avoir pu vous “passer” ce texte – ce site tout entier est d’ailleurs un formidable passeur de littérature…

  251. Chère Carole, vous me faites beaucoup d’honneur (j’ai une grande admiration pour Joyce Carol Oates)… “Par le fond” est un roman auquel je suis très attachée, et je suis vraiment très touchée de votre commentaire. Merci à vous !

  252. Chère AmaltheaBidi, nous vous remercions de votre retour! Bram Stoker est un grand maître en effet! et nous caressons l’idée de nous lancer dans un autre de ses romans, pour une dose supplémentaire de frissons…

  253. Chère Claryssandre, j’ai regardé avec plaisir ce mignon petit film d’animation… Il m’a fait penser à cette citation de Valéry : “Deux dangers ne cessent de menacer le monde : l’ordre et le désordre.”

  254. Cher Justamon, je vous remercie pour votre très aimable commentaire !
    Quant au petit peuple de trolls, de fées et autres gobelins qui s’ébattent joyeusement dans l’orbite de mon livre, je les remercie aussi (car on n’est jamais trop prudent avec ces créatures :-); mieux vaut ne pas s’attirer leurs foudres).

  255. Sibyllin Sautillant… Je devine que vous n’avez convoqué les Moaï que pour répondre à JPB…

  256. Merci Agnès! Je vous souhaite beaucoup d’autres belles heures d’audition sur notre site.

  257. Chère Natacha, je vous conseille vraiment de réessayer car c’est un livre captivant et doté d’une atmosphère très singulière. Je le vois comme une tragédie, celle du combat perdu d’avance de l’individu contre le système totalitaire. La machine infernale. Mais comme dans toute tragédie, la terreur et la pitié n’empêchent pas le plaisir – bien au contraire!

  258. Eh bien nous sommes vraiment ravis que ce livre audio vous ait plu – il nous a tenu compagnie pendant de nombreux jours à nous aussi…

  259. Merci infiniment, Marc : votre compliment me touche beaucoup car la profondeur est une des qualités que je prise le plus chez les autres, et dans les livres en particulier. Quant au nombre de commentaires, divisez-le par deux (pour le moins!) pour les nombreux messages qui ne parlent pas du tout du texte, et encore par deux pour mes propres réponses… Et nous reviendrons à une quantité plus modeste !

  260. Merci beaucoup Carole, vous êtes très aimable comme toujours! Et une grande dévoreuse de livres, à ce qu’il me semble !
    @Sautillant : La rêverie du serpent solitaire n’était qu’un jeu de mots sur le titre de Rousseau, et une allusion à la “charmeuse de serpents”. Je ne renie aucune interprétation, étant bien convaincue que c’est justement la polysémie des textes qui fait l’intérêt de la littérature… La dimension christique existe bel et bien, même si je n’en étais pas consciente en écrivant. C’est tout le sel de la chose.

  261. Voici un bien joli baptême, cher Sautillant… Un grand merci pour vos premières impressions, ainsi que pour vos rêveries (de serpent solitaire) sur les symboles du texte.

  262. Merci Claryssandre pour le partage de votre “pharmacopée littéraire” (j’aime beaucoup le concept) – il est vrai que ces contes d’Yvonne Gaudeau sont enchanteurs.

  263. Chère Fa, chère Griselda, un grand merci pour votre enthousiasme !
    @Sautillant : à bientôt et… n’oubliez pas 1984!

  264. Merci à vous Gwen, et à vous aussi, Lucia, pour cette saillie poétique. Vous pardonnerez la petite pointe d’humour potache…

  265. 😀 😀
    J’avoue, Jean-Pierre, que je comptais un peu sur vous… Car le poème de Malcolm de Chazal se trouve dans un rapport sémantique évident avec votre commentaire initial !

  266. Merci beaucoup Gégé pour ce commentaire très chaleureux ! On est toujours surpris : je pensais que ce livre était lent et contemplatif, et j’avais même peur qu’il le soit trop, et je me rends compte que ce n’est pas ce qui ressort de vos expériences de lecture ou d’écoute…

  267. Envoûtant… Hypnotique… Rien à rajouter sur la diction incomparable de Vincent pour suggérer ce que le texte ne dit pas, ni sur l’effet de cette superbe musique – j’ai beaucoup aimé la forme narrative complexe, et l’épouvante qui préfigure en effet beaucoup Lovecraft… Pan ne serait-il pas l’oncle par alliance de Nyarlathotep ?
    Je suis bien heureuse de n’avoir pas eu d’accident en écoutant tout cela dans ma voiture… car je n’étais guère concentrée sur la route !
    😉

  268. Le mot qui me vient à l’écoute de ce très beau livre audio est : “élégance”. Le texte, vos voix, la musique, et jusqu’à l’image que vous avez choisie… Bravo !

  269. Un immense merci à tous ! Je vous assure Lïat que la fée des défauts s’est également généreusement penchée sur mon berceau – et je m’émerveille, quant à moi, de votre niveau en français dont je n’aurais jamais soupçonné qu’il ne fût pas votre langue maternelle ! Merci aussi au site qui nous permet, en ces jours de confinement, de continuer à échanger autour de notre passion commune de manière aussi cordiale…

  270. Loin de moi l’idée de vous décourager, chère Gaëlle, mais je ne pense pas que nos amis Sautillant et JPB aient réellement donné leur avis sur l’oeuvre… leurs considérations – ô combien sympathiques et facétieuses – portaient en fait d’abord, et à ce qu’il me semble, exclusivement, sur le titre !
    @Gilval : Merci beaucoup pour tous vos commentaires si encourageants.

  271. Merci Carole ! J’ai beaucoup aimé monter ce projet collectif, avec tous ces donneurs de voix de grand talent.

  272. C’est moi qui vous remercie, Nathalie et Léa, du fond du coeur. Ce livre ne sortira pas en librairie, mais vous pourrez offrir à vos amies la version définitive de Paraddict qui sortira fin août…

  273. Je suis très touchée, Patsy, Sylvie, et Claryssandre. Très heureuse que ce texte vous ait embarquées !

  274. Cher Jean-Pierre, vous avez toujours l’esprit joyeusement tourné… Quant à vous, Sautillant, je vous pardonne bien volontiers de préférer Orwell, dont la suprématie dans la galaxie futuriste ne fait aucun doute ! C’était un plaisir et un honneur de contribuer à le traduire.

  275. Merci aussi à vous, Gilval et daniell (heureuse de vous retrouver), pour votre intérêt… J’espère que vous apprécierez la balade jusqu’au bout !

  276. Merci chère Claryssandre, vous êtes une vraie aficionada et je vous en remercie !

  277. Merci Natacha pour ce beau compliment. Je partage un nouveau texte dans quelques jours, j’espère qu’il vous accompagnera lui-aussi…

  278. Chère Carole, je vous remercie pour votre grand appétit d’écoute, et pour vos commentaires toujours si positifs. Parfois, je ne suis pas d’accord avec l’étiquette “jeunesse”, mais ici, j’ai vraiment réécrit ma nouvelle d’origine, plus sombre et plus individualiste, dans les directions attendues par cette catégorie éditoriale… Comme vous dites : l’optimisme, le côté engagement politique, mais aussi le jeune âge des personnages, les scènes d’action… Il n’y avait pas tout ça au départ.

  279. Un immense merci, Arhus… Nous nous sommes beaucoup investis dans ce livre audio en particulier, et nous sommes vraiment heureux d’avoir votre retour positif au terme de l’écoute !

  280. Merci à vous, Sylvie ! Je vois que ma Juliette qui était au tombeau depuis quelques années semble toute ressuscitée… Et, chère Claryssandre, ce que vous dites sur les versions différentes est très intéressant, et me fait réfléchir. Il est vrai que nous essayons la plupart du temps, je crois, en tant que donneurs de voix, d’agrandir le catalogue plutôt que de multiplier les versions. Mais nous arriverons sans doute à un moment où ces versions multiples s’imposeront de toutes façons, pour le plus grand plaisir de ceux qui aiment écouter des versions différentes…

  281. Pas libre de droits, Daniel, mais sous licence Creative Commons… N’oubliez pas de mettre cette mention sur votre site :
    Creative Commons, BY NC ND. En effet, les oeuvres diffusées sous cette licence peuvent être utilisées à des fins non commerciales, avec attribution et sans modification, en toute légitimité… Je n’ai en fait pas vraiment d’autorisation à donner !

  282. Cher Daniel, vous pouvez bien sûr lire une version 2 d’un autre texte, et j’ose même vous proposer de faire une exception pour la publier sur les deux sites…

  283. Merci beaucoup, Claryssandre, je suis très sensible à votre compliment sur l’écriture – surtout sur ce texte-ci, que je considère comme un texte poétique. La version de Daniel est très belle… J’avais également été très heureuse que Monsieur Dépasse me fasse l’honneur de lire mon roman intitulé Par le Fond.

  284. Merci Carole ! C’est un texte un peu marginal et je suis ravie qu’il vous ait touchée.

  285. Cher Luc, un grand merci pour votre magnifique commentaire, très touchant. Un petit conseil : vous pouvez, lorsqu’un donneur de voix vous plaît, taper directement son nom dans le moteur de recherche. Ainsi, vous aurez accès à tous les livres qu’il a lus..
    Vous pouvez aussi nous retrouver tous les deux ici, pour une épouvante d’un autre style :
    https://www.litteratureaudio.com/index.php?s=1984&sbutt=Ok

  286. Merci Carole pour ce long commentaire ! Titania 2.0 est en fait la version pour adultes, plus courte et plus sombre. Les deux autres sont la version jeunesse de la même histoire.

  287. Oui, la dictature numérique existe déjà dans certains pays. Je trouve que la question de la réécriture idéologique du passé (et des oeuvres) est aussi très actuelle, ainsi que celle de l’appauvrissement de la langue – et plus généralement celle de l’abandon et du mépris de la vérité…

  288. Merci Wendigo, nous sommes heureux que notre travail vous ait plu.
    Merci aussi à Trollus (ravie de vous retrouver!)

  289. Désolée Carole, mais mes petites vieilles sont des créatures 100% numériques ! Il n’existe pas de livre papier.

  290. Diable… Vous savez, Jean-Pierre, que je n’avais tout d’abord pas compris cette allusion à votre date de départ à la retraite… Et que j’ai naïvement cherché 3416 dans mon moteur de recherche, pour me rendre compte qu’il s’agissait d’un astéroïde…ce que j’ignorais totalement jusqu’à ce jour. 😉

  291. @Jean-Pierre Baillot : votre “souvenir du futur” m’évoque beaucoup de choses… Chaque époque a sa vision du futur, et c’est tout le charme de l’anticipation et de la SF que de mélanger subtilement un futur non-advenu avec un passé plus ou moins lointain – sans que le récit puisse jamais coïncider tout à fait avec le présent.
    J’ai découvert 1984… aux alentours de 1984, et c’était un univers qui me paraissait à l’époque, bien que parallèle, assez peu éloigné dans le temps… Quand je le relis aujourd’hui, ce futur me semble, à moi aussi, suranné : les années 40, les années 80 imaginaires d’Orwell, et mes propres années 80, se superposent étrangement dans cette lecture (qui va finir par être un peu vertigineuse à force de remonter le temps dans tous les sens… )

  292. Chers audio-lecteurs, un petit mot pour vous signaler qu’à la demande de Masque de Chair, que je remercie de cette initiative utile, j’ai découpé tous les fichiers afin que les poèmes soient séparés les uns des autres et accessibles isolément…

  293. Ah… Van Helsing ! Il nous a donné beaucoup de fil à retordre, d’abord au niveau de la traduction. Car son langage, en anglais, est émaillé de fautes grammaticales très étranges, et produit donc un mélange d’érudition et de maladresse, qui était réellement trop difficile à traduire en français. Nous avons opté pour ce léger accent, mais nous avons rétabli la grammaire, comme nombre de traducteurs avant nous je crois. En tout cas merci pour votre chaleureux commentaire !

  294. Pour écrire un message personnel à un DDV, il vous suffit d’aller dans votre espace personnel, dans la rubrique “boîte de réception” puis “écrire un message privé” : ensuite, vous choisissez parmi la liste des destinataires celui que vous voulez. À bientôt !

  295. Voilà levé le mystère des féeries baudelairiennes… Merci pour cette intéressante réponse !

  296. J’ai été ravie de découvrir ce livre, que je voulais lire depuis longtemps sans jamais avoir trouvé l’occasion de le faire… C’est d’une incroyable modernité ! Et votre lecture est parfaite. Merci !

  297. Merci beaucoup chère Claryssandre !Et à très bientôt en effet pour de nouvelles lectures…

  298. Merci Atlantic 44, et à très bientôt pour la décadence de ce pauvre César…

  299. Chère Florence, vous me faites bien plaisir ! Je suis très heureuse que ce petit roman vous ait touchée et je vous remercie de le diffuser autour de vous… En ce qui concerne une édition sur papier, bien sûr j’en serais ravie, mais j’ai décidé une fois pour toutes de limiter mes efforts dans ce domaine : j’envoie mes manuscrits à quelques maisons, puis je passe à d’autres projets!
    A bientôt : vous me direz ce que vous avez pensé de la Cité d’Albâtre…

  300. Merci Johann !
    Je vous remets ici les références musicales, présentes sur le billet de la partie 1. Je pense qu’il s’agit du requiem de Fauré, pour le journal de Mina…

    Références musicales :

    Journal de Jonathan Harker et générique :
    Hector Berlioz, Symphonie Fantastique, Op. 14, « Songe d’une nuit du sabbat », interprété par Colin Davis et l’ensemble London Symphony Orchestra (1963, domaine public).

    Lettres de Mina Murray, lettres de Lucy Westenra, Coupures de presse :
    Johannes Brahms, Rhapsodie Op. 79 n°2 in G minor , interprété par Nico De Napoli (domaine public).

    Journal de Mina Murray :
    Gabriel Fauré, Requiem, Op. 48 (European Archive, domaine public).

    Journal du Dr. Seward :
    Johann Sebastian Bach, The Well Temprerd Clavier, Book I, BWV 846-869 – Prélude in Fugue un C minor (European Archive, domaine public).

  301. Hello John… The music may sound raspy because, as volunteers, we have to pick some royalty-free pieces. I am glad it did not ruin the whole experience !

  302. Merci beaucoup, Juliette, votre témoignage me touche. J’étais moi-même assez émue en écrivant la fin de ce texte.
    @Jacqueline : vous devez d’abord obtenir l’autorisation de l’éditeur, la transmettre à Litteratureaudio.com, et ensuite trouver un donneur de voix prêt à vous… donner sa voix ! Pour les livres édités, il n’y a pas d’autre démarche.

  303. Merci à vous Daouda ! Je suis ravie que ce texte ait réussi à faire sourire.

  304. @Balibar88 : Merci à vous aussi pour votre commentaire très encourageant ! J’ai quelque peu malmené cette pauvre Gloria et j’espère que vous ne m’en tenez pas rigueur…

  305. @Jake : Il est très étrange et très touchant de se dire qu’on a apporté, sans le savoir, un réconfort à quelqu’un, surtout quelqu’un de si éloigné par l’espace et la langue…
    @Carole : Merci beaucoup Carole, c’est bien aimable à vous ! J’ai longuement hésité à proposer un projet collectif pour la lecture, mais j’avais trop envie de faire toutes les voix…

  306. Cher Jake, merci pour ce parfum lointain de Steinbeck ! Je vous souhaite une bonne écoute, mais vous risquez d’être moins dépaysé cette fois-ci…

  307. Merci tontonzark pour votre commentaire et pour vos réflexions très humanistes.

  308. Merci beaucoup Sarah, et bienvenue sur notre site… Vous allez y découvrir beaucoup d’auteurs et de lecteurs ! Et merci aussi à vous, Marcelle pour ce chaleureux commentaire. Vous pouvez trouver une version texte de mon livre (en ebook, mais en effet pas sur papier…) Je suis très heureuse que mes petites vieilles vous aient plu !

  309. Chère Carole, vous ne pouvez savoir à quel point je suis sensible à votre commentaire. Merci beaucoup !

  310. C’est une joie de découvrir vos commentaires. Merci à vous, Boet et Cécile… Pour le moment, malheureusement, aucune publication sur papier n’est au programme. Mais j’ai d’autres projets plein mon chapeau !

  311. Merci Daniell ! Je me suis beaucoup amusée à écrire les lettres d’Arlette, et suis heureuse qu’elles vous plaisent. Et non, je n’ai pas du tout passé de temps dans ces lieux – c’est une oeuvre d’imagination…

  312. Un grand merci Claudia pour votre commentaire… Je suis heureuse que vous fassiez un éloge de la structure, car écrire un roman épistolaire n’est pas si facile – c’était une première, pour moi. Ce petit texte m’a donné du fil à retordre !

  313. Vous avez parfaitement choisi vos mots qui me vont droit au coeur, Claryssandre ! Et merci à vous aussi, Lïat ! C’est vous qui êtes toutes deux très généreuses…

  314. Chère Claryssandre, chère Louisette, cela me fait vraiment très plaisir que vous vous réjouissiez à l’avance de l’un de mes romans – et j’espère ne pas vous décevoir !
    Cher Jean-Pierre, j’avais bien compris que votre humour anglais avait encore frappé – et j’ose dire que vous êtes dans le ton !
    Chère Pomme, cher Ahikar, merci pour vos commentaires – l’histoire de Nasreddine est juteuse, comme toujours… Et je suis bien d’accord avec vous, Pomme, sur l’emploi des euphémismes généralisés… Mon texte n’est pas très politiquement correct, je le crains, mais assurément, il a été écrit avec un grand souci de l’humain… ce qui sera à mettre à ma décharge le moment venu !

  315. Merci à vous, Desrousseaux… Le plus difficile n’était pas tant la forme théâtrale, que les noms propres dans cette langue inconnue, que j’ai probablement allègrement écorchés !

  316. Merci beaucoup, Moal, pour vos encouragements ! C’est un beau roman, que je suis heureuse d’avoir lu.

  317. Merci Wolmar! Votre commentaire me fait très plaisir. J’entends le bémol général sur la vitesse de lecture et essaierai d’en tenir compte à l’avenir.

  318. Merci à vous, Pierre ! Nous sommes heureux que notre travail soit apprécié.

  319. Merci Ma1, je suis heureuse d’avoir pu vous apporter quelque fraîcheur, et d’avoir su honorer ce joli texte d’Yvonne Gaudeau.

  320. Merci à vous, Natty… Il n’est pas prévu de suite pour Titania, mais d’autres livres sont en préparation !

  321. Ravie d’avoir passé ce week-end avec vous, Oreilles attentives ! Et merci beaucoup d’avoir pris le temps de m’écrire ce mot très encourageant.

  322. Nous voulons dire “traduction” de l’anglais au français.
    Les textes deviennent libres de droits 70 après la mort de leur auteur. Lorsqu’il s’agit d’un texte traduit, il faut également attendre 70 ans après la mort du traducteur (en France)… Donc, le texte anglais de Stoker est libre de droits depuis longtemps, mais il suffit qu’aucun de ses traducteurs ne soit mort avant 1950 pour que les traductions ne le soient pas…

  323. Bonjour Sautillant, et merci pour ce commentaire… Il est vrai qu’il y a peut-être une baisse de l’intensité après la mort de Lucy – d’ailleurs, Vincent et moi avons redécouvert des passages que nous avions totalement oubliés, ce qui est peut-être un signe de leur moindre intérêt. Et oui, il y a certainement un excès de bons sentiments, mais ce “manichéisme” absolu fait aussi le charme suranné du roman, et il est parfois tempéré par un peu d’humour… Quant à la forme épistolaire, je la trouve dans l’ensemble très réussie. Ce que vous décrivez, cependant, à savoir une mise en place très prenante, suivie d’un dénouement un peu décevant ou artificiel, est un défaut récurrent à mon sens dans la littérature fantastique. Il est rare que les auteurs tiennent jusqu’au bout l’intensité des débuts – quand le surnaturel est suggéré, mais pas expliqué, et qu’on se trouve dans une menace vague, et non pas dans un affrontement classique. D’où la force des auteurs qui n’expliquent pas, comme Lovecraft, et qui restent éternellement sur le fil du rasoir.

  324. Merci Dominique pour votre aimable retour… Je vous souhaite beaucoup de découvertes, de paix et de bonheur sur Litterature Audio !

  325. Merci du fond du coeur, Pascalette… Voici une belle récompense pour ces mois de travail, même s’ils ont été très agréables !

  326. Cher Arnaud, je me souviens du bonheur que j’ai éprouvé en tombant dans les livres audio…. On dirait que je ne me suis jamais relevée de cette chute délicieuse. Je vous souhaite de très belles heures d’écoute et de découvertes sur notre site !

  327. Merci beaucoup Louthrax, nous sommes heureux de vous avoir fait découvrir ce grand roman. Et oui, ce site est une pure merveille !

  328. Merci à vous, Bernadette… En lisant votre message, je suis tombée sur celui de Catherine, que je n’avais pas lu, et qui m’a beaucoup touchée, car la voix de Victoria est pour moi un modèle indépassable et ô combien regretté.

  329. Alors il nous reste à vous souhaiter une excellente soirée en notre compagnie, sans oublier le vieil ami Bram…

  330. Aah… moi aussi j’adore ce passage, et je réitère toutes mes félicitations à Vincent pour cette brillante réussite !

  331. Merci Pascale ! C’est très touchant de savoir que certains d’entre vous se sont précipités sur la dernière partie… Ce fut un très bon moment pour nous aussi !

  332. Un grand merci à vous, Emilieemilie et Claire-Marie ! J’ai beaucoup de plaisir à lire la façon dont les audiolecteurs écoutent le roman – volets fermés, volets ouverts, il semble y avoir deux écoles ! certains ont la chance de bénéficier de chapelles en ruines, de la pleine lune ou d’éclairs zébrant le ciel… Je dirais que le diable (ou le Comte) s’en mêle parfois…

  333. Merci à vous chers audio-lecteurs ! Nous sommes presque tristes que ce soit fini…

  334. Merci Natacha pour ce partage… J’ai vu que des textes de Shmuel Retbi et de Carole Detain étaient également conseillés : la personne chargée de cette liste doit être un auditeur ou une auditrice de LA ! Merci à lui ou à elle.

  335. Merci à vous, Prince et Maikijo. Comme le disait Vincent, ce projet de livre audio a été très enthousiasmant du début à la fin, et c’est aussi grâce à vos nombreux retours positifs… Vous n’avez plus que 3 jours attendre !

  336. Merci beaucoup Noémie… C’est un regret de ne pas avoir pu utiliser la musique du film de Coppola, que j’aime particulièrement… Avez-vous noté cette différence majeure entre le Dracula audio-visuel et le Dracula de Stoker ? ce dernier sent particulièrement mauvais, et cette notation revient souvent dans le roman. On imagine mal que cela puisse être le cas de Gary Oldman…
    Jean-Pierre, le buffet ne rouvre que dans une semaine…

  337. Merci beaucoup Kylian pour ce gentil message, et n’oublie pas de me donner ton avis sur cette version !

  338. Chère Blandine, merci ! Vous n’aurez pas longtemps à attendre, rassurez-vous. La fin sera livrée assez bientôt !

  339. Pascalette, Patricia, prenez patience, car il ne nous reste “que” deux chapitres à traduire… quelques semaines et vous serez délivrées de Dracula !

  340. Je vous remercie Fraise Sauvage, et vous souhaite de passer un bon moment avec Béatrix… N’oubliez pas l’excellent César Birotteau !

  341. Merci Emilieemilie, je me sens beaucoup mieux, prête à mordre ma traduction à pleines dents…

  342. Chère Murielle S, merci ! voici un compliment immérité mais qui me réjouit par son enthousiasme ! Quand j’étais petite, j’avais pour ma part la version française de Mary Poppins, qui chantait : “supercalifragilisticexpidelilicieux”… Vous m’avez remis la chanson en tête !

  343. Merci mes chers amis, pour votre sollicitude et votre esprit ! Comme je le disais à Vincent, mon état languide et légèrement hagard n’est pas sans rappeler celui des victimes du Comte… un draculavirus, en somme – je compte sur toute votre indulgence pour ce mauvais jeu de mots auquel seule ma fièvre pourra donner quelques circonstances atténuantes…

  344. Merci beaucoup, Fabrice, emilieemilie et daniell ! J’espère que vous avez été sensibles aux dernières minutes du dernier chapitre… La traduction, l’accompagnement musical et l’interprétation de Vincent ont été particulièrement soignés pour votre plaisir !
    Vos commentaires me réconfortent particulièrement car j’ai une fièvre bien suspecte… et je vais essayer de profiter de mon oisiveté doublement forcée pour avancer dans ma traduction…

  345. Merci beaucoup, Caroline et Liena, nous sommes très heureux de partager ce grand texte avec vous !

  346. Bonjour Kmc et merci ! Oui, moi aussi j’ai une préférence pour la v2.0… Le passage dont vous parlez est un passage de la Cité d’Albâtre, où les Spiritualistes définissent les âges de la vie comme l’âge du Devenir, l’âge du Jouir, l’âge du Bâtir et l’âge du Donner, en effet ! Votre mémoire est en fin de compte très fidèle !

  347. Merci à vous, Carole et Pascalette ! Nous sommes heureux que cette lecture vous plaise et vous tienne en haleine…

  348. Merci Liena… Je dois cependant tous vous prévenir à l’avance que vous resterez sur votre soif à la fin de la troisième partie…

  349. Cher Jean-Pierre, bien entendu, non seulement nous l’avons cherché mais nous nous en délectons. Emilie Emilie, nous ne savons pas quand la suite sera disponible – nous avons déjà traduit plusieurs chapitres, mais je ne pense pas que cela puisse être avant quelques semaines malgré tout…

  350. Vincent, nous sommes cernés ! Les audio-lecteurs réclament leur dose de sang !

  351. Chère Emilie Emilie, nous vous remercions chaleureusement pour votre appréciation ! Pour ce qui est de notre traduction, elle est je crois aussi fidèle que possible au texte original… peut-être s’agit-il là d’un tour de votre mémoire ? Ou d’un coup du Comte ?

  352. Chère Claire-Marie, je me joins à Vincent pour vous remercier. La traduction est en effet un gros travail, et ce compliment nous va droit au coeur. Nous n’oublierons pas de penser à vous pour un éventuel futur projet de traduction collective !

  353. Merci à tous pour votre enthousiasme… Jean-Pierre semble avoir raison : Dracula donne soif ! Ces libations hivernales et nocturnes seront sans doute de nature à réchauffer les os de vos voisins, qui ne dorment probablement que d’un oeil…

  354. Merci beaucoup Kiwik8… J’espère que vous apprécierez vos autres audio-lectures, à bientôt !

  355. Cher Ernesto, un auteur d’origine irlandaise du dix-neuvième siècle, un roman qui se passe en Roumanie et à Londres, des donneurs de voix français au 21ème siècle, vivant sur deux continents différents, et un auditeur mexicain, voilà la République des Lettres !

  356. Je prends modestement ma petite part de remerciements… et vous en remercie !

  357. Merci Coraline ! J’avoue que mon coeur me porte vers Dracula plus que vers Julie – ce qui témoigne sans doute de ma noirceur… Moi aussi, j’adore écouter Vincent dans les récits fantastiques, et celui-ci manquait à l’appel !

  358. Cher Frederik, il se peut que la suite n’arrive pas trop tardivement… vous remarquerez que je reste savamment évasive.
    Mais s’il est vrai que vous nous écoutez dans la chapelle d’un petit château, je veux absolument une photo du décor!

  359. Quel beau compliment, Sudy… Je suis très heureuse que vous appréciiez notre collaboration ! J’ajoute que je vous imaginerai non seulement blotti sous votre couette, mais de surcroît par une nuit de pleine lune, avec un bruissement d’ailes obstiné à votre fenêtre…

  360. Merci Rebecka, je suis toujours très heureuse d’avoir de nouveaux lecteurs de la Cité d’Albâtre…

  361. Quel bonheur, Delphine, de commencer l’année avec un si beau commentaire ! Merci du fond du coeur.

  362. Nous espérions, Carole, que ce livre audio comblerait les amateurs comme vous… Je suis également fan du film – les acteurs, la musique, la photographie. Cependant, je n’ai pas eu le sentiment, comme devant certaines adaptations – notamment Le Seigneur des Anneaux – que le réalisateur avait matérialisé comme par magie les images-mêmes que je m’étais formées à la lecture… Je n’imagine pas Dracula si monstrueux dans son château, et sans doute pas si séduisant à Londres. L’aspect polymorphe du personnage est très présent dans le roman – homme, nuée, loup, il rajeunit mystérieusement à certains moments – mais les choix de Coppola à cet égard sont plus radicaux que ma propre et humble imagination… Je me figure également Lucy plus douce, plus jeune, plus enfant…et plus blonde !

  363. Je me rends compte que je ne vous ai pas remerciées pour vos gentils commentaires… Il n’est pas trop tard pour bien faire : merci à vous !

  364. Meilleurs voeux à tous ! Je profite de ce moment pour remercier tous les auditeurs qui font vivre le site par leur intérêt et leur enthousiasme, tous les donneurs de voix que je me régale souvent à écouter moi-même, et surtout, surtout, les adorables contributeurs qui facilitent le travail de tout le monde ! Je voudrais rendre hommage à l’esprit de ce site. Qu’on puisse y dénicher tant de perles rares, que tant d’auteurs presque oubliés par les siècles renaissent ainsi, retrouvent un public… Que les auditeurs viennent de toute la francophonie… Que toutes les voix puissent se cotoyer sans (presque) jamais de cacophonie… C’est un bel exemple de ce que devrait être, mais n’est pas toujours, internet, un formidable outil libéré du monde marchand, au service d’une culture humaniste. Voilà, c’est dit ! Excellente année 2020 !

  365. Merci beaucoup ! Oui, l’atmosphère de ce roman est incomparable, et bien qu’il s’agisse d’un gros travail, la traduction est vraiment un plaisir… Avec un peu d’avance, je souhaite une excellente année 2020 à tous les vampires, gothiques et autres enfants de la nuit !

  366. Je suis très heureuse d’avoir régalé vos oreilles, Thomas, et vous remercie chaleureusement pour votre impatience, qui, comme le dit Vincent, est une excellente source de motivation ! Nous sommes nous-mêmes assez impatients, je dois dire, de vous proposer la suite… A très bientôt, donc !

  367. Merci Pascalette, nous avons hâte de lire vos retours après l’écoute !

  368. Et j’oubliais : merci à vous Daniell pour avoir ouvert le bal… l’entracte devrait prendre un peu de temps à cause de la traduction, vous avez le temps de vous désaltérer.

  369. Mais non, voyons, Jean-Pierre… Nous n’avons aucune dent contre vous, au contraire…

  370. Chère EclatduSoleil, je vous remercie ! J’ai prévu de lire la suite à la rentrée, donc peut-être sera-t-il publié aux alentours de la Toussaint… Et oui, j’ai visité la Villa Cimbrone, qui m’a procuré une intense émotion esthétique. Je suis heureuse que cette évocation ait fait écho à votre propre expérience…

  371. Merci Clémentine, Simon et Laura… Le livre a été publié en 2017… il n’est donc plus d’actualité dans les librairies mais vous pouvez le commander.

  372. Très bonne écoute à vous, Claryssandre… Le tome 2 devrait sortir en audio à l’automne !

  373. Merci Gaëlle ! J’ignorais également jusqu’à très récemment que Maupassant avait écrit de la poésie…

  374. Merci pour votre gentillesse inlassable et votre efficacité, chère Carole !

  375. Je vais essayer de régler ce fâcheux problème… Toutes mes excuses.

  376. Excellent, cher Vincent, tout simplement excellent ! Depuis la traduction toujours aussi impeccable, jusqu’à l’interprétation et au choix de la musique… Encore une fois, un sans faute !

  377. Votre touchant message est arrivé à un moment où je me sentais un peu découragée… Aussi, je vous remercie chaleureusement, et vous souhaite de belles heures d’écoute avec mes autres histoires…

  378. Oui, Françoise, j’essaie de lire plutôt en journée, avant que les enfants de la nuit ne se mettent à chanter… Mais le soir tombe tôt sur mon île et parfois je me laisse aller à oublier les grenouilles, qui, il est vrai, font fort peu couleur locale à Casterbridge… J’en suis désolée !

  379. Par ma page facebook, cela me semble le plus simple… Vous me direz quel est votre sujet ?

  380. Je serais très heureuse d’en avoir une copie quand vous l’aurez fini !

  381. Bonjour et merci de votre intérêt… Je ne sais pas trop quoi vous répondre, car mes textes correspondent rarement à des cases éditoriales. Ce n’est pas spécifiquement écrit pour la jeunesse en tout cas…

  382. Merci à vous, Reginalda et à vous,
    Claryssandre… C’est un très beau compliment qui me va droit au coeur !

  383. Merci beaucoup, Claryssandre, pour votre aimable commentaire ! Je viens à peine de le voir et il me réjouit en ce mois de janvier…

  384. Oui, continuez cher René, car nous sommes nombreux à aimer vos lectures… Que l’année vous soit douce.

  385. Meilleurs voeux à tous les auditeurs, contributeurs et donneurs de voix de notre site bien-aimé… Une résolution pour 2019 : revenir à une lecture plus régulière, notamment la Sorcière de Michelet qui est à moitié terminée depuis presque six mois…

  386. Chère Lenaëlle, j’espère également que les portes d’Albâtre resteront ouvertes… En tous cas je suis heureuse que de nouvelles personnes continuent à y pénétrer par le magnifique portail de Litteratureaudio…

  387. Cher Jean-Pierre, la solution à ce mystère est simple… Je lis moi-même très vite, comme me l’ont fait remarquer plusieurs auditeurs… Merci Daniel pour cette V2 synchrone !

  388. Bonjour Olivier et merci pour votre commentaire… Pardonnez-moi, mais j’avoue ne pas bien comprendre votre question : voulez-vous connaître les oeuvres auxquelles je me réfère, en un mot, mes lectures ? ou bien les oeuvres que j’ai écrites ?

  389. Chère Eleanor, je vous remercie pour votre message qui me va droit au coeur… En effet, si je devais un jour reprendre Albâtre, ce serait sans doute pour me plonger un peu plus dans Port-Kharys. Mais ce n’est pas au programme pour l e moment, car je dois finir mon roman en cours et j’ai déjà l’idée du prochain, qui sera, je l’espère, tout au aussi dépaysant…

  390. C’est moi qui vous remercie, Véronique… C’est un vrai plaisir de pouvoir partager de telles oeuvres – j’ai un attachement tout particulier pour celle-ci.

  391. Merci beaucoup Véronique… Malheureusement, je n’ai pas trouvé d’autre traduction de Thomas Hardy libre de droits…

  392. Merci Lyne pour votre long commentaire. Cette oeuvre est en effet aussi belle que profonde et énigmatique… J’ai, à titre personnel, une préférence pour La Pythie et Ebauche d’un Serpent.

  393. Quel morceau de choix ! Ces dames rivalisent avec Mme Verdurin ! Pour une fois, je me suis réjouie de mon ignorance, qui m’a permis de me poser les mêmes questions que ces décentes dames du Lunch Club…
    Et, encore une fois, bravo pour vos talents de traducteur. Vous avez une très belle prose (que j’avais particulièrement appréciée dans la Couleur dans le Météore).

  394. Bonjour Georges. Vous n’avez pas tort sur le fond – ce petit texte est sans prétention, croyez-le bien. Je pensais qu’il pourrait aisément se prêter, par son format court, son thème moral et sa facilité, à un spectacle scolaire au collège ou au lycée, par exemple. Il m’arrive souvent d’écrire pour la jeunesse…J’aurais sans doute dû le préciser.

  395. Merci à vous Sarah… Vous avez raison, j’avais avec moi d’excellentes voix. Manipuler ces voix amies, les mixer, organiser leur dialogue, était d’ailleurs très amusant. Un seul regret : qu’il n’y ait pas eu plus de rôles, pour demander à d’autres donneurs de voix de participer…

  396. Oreilles attentives, vous méritez bien votre pseudonyme… En effet le personnage d’Henchard m’a touchée malgré ses excès et ses terribles injustices… Merci pour votre commentaire.

  397. Veuillez pardonner mon intrusion dans votre conversation, mais comme j’ai lu un roman de Thomas Hardy dernièrement pour LA, je me permets de signaler qu’il est mort en 1928 et qu’il est libre de droits. Malheureusement, peu de ses traductions le sont également…

  398. Je suis très flattée par votre comparaison, Thierry, et vous en remercie ! “Homme libre, toujours tu chériras la mer…”

  399. Je vous présente toutes mes excuses… Il semble que je sois incapable, malgré mes efforts, de rendre un travail parfait. Le chapitre 37 est amplifié et vous pouvez le récupérer dans la liste des chapitres. Je vais m’occuper de ce pas de modifier également le troisième fichier zip. Merci de votre vigilance : l’intelligence collective fait encore une fois ses preuves !

  400. Cher Ezk,

    Je suis profondément touchée par votre témoignage. Merci du fond du coeur…

  401. Merci à vous, Lyse, Jean-Pierre, Alain, Marie-Ange et le sibyllin Nestor Plasma… Je suis heureuse de contribuer à la diffusion de ce beau roman !

  402. “Ne sous-estimons pas les jeunes lecteurs !!” : Je suis absolument d’accord avec vous !

  403. Merci Jean-Pierre, pour vos bons mots toujours obligeants et renouvelés…

  404. Merci beaucoup, Nicolas B… Pour répondre à votre question, je ne sais pas si je visais un public en particulier – j’ai beaucoup de mal avec les catégories éditoriales bien définies… Mes deux points de départ sont toujours des personnages et des univers – le récit trouve ensuite son chemin, presque nécessairement, à partir des caractéristiques des uns et des autres. La Cité d’Albâtre n’est pas écrite spécifiquement pour la jeunesse ( les codes
    de la littérature jeunesse sont très stricts : âge des personnages, fin heureuse, pas d’érotisme) mais je dirais malgré tout que c’est une histoire “tout public”…

  405. Cher Grumpf,
    Que vous ayez pensé à Herbert est pour moi un très grand honneur… je ne connais pas Vance et vais m’en enquérir. Sinon, votre commentaire m’a amusée car j’ai moi-même été rôliste dans mon jeune temps… et je n’avais jamais pensé à l’univers d’Albâtre sous cet angle ! Je serais curieuse de voir ce que donnerait une telle adaptation…
    Merci et bonne écoute de la suite.

  406. Maintenant que votre vilaine conjonctivite vous a permis de découvrir ce site merveilleux, et mes livres par la même occasion, je vous souhaite un prompt rétablissement ! C’est moi qui vous remercie, car le travail de création est un travail plein de doutes, et des commentaires comme le vôtre sont le meilleur antidote que je connaisse !

  407. Chère Natacha, je vous suis infiniment reconnaissante de votre message… Ce qui m’importe avant tout, c’est de rencontrer des lecteurs ou des auditeurs, comme vous.

  408. Merci beaucoup, oreillesattentives… Cela me fait très plaisir de savoir que ma lecture a bien servi cette oeuvre brillante et méconnue.

  409. Je suis très touchée, Nathalie… Tout le plaisir et tout l’honneur étaient pour moi.

  410. Merci Colin pour votre commentaire. Il est vrai que ce roman est surprenant… Avec des “scènes” assez extraordinaires au niveau de l’intensité dramatique, et des personnages touchants dans leur imperfection même.

  411. Merci Martin pour votre chaleureux commentaire !Je suis heureuse que ce moment vous ait plu.

  412. Une remarque qui m’est venue à la lecture : alors que Baudelaire fait tant de diérèses, il utilise toujours une synérèse pour “féerique”, comme si le mot, au 19ème siècle, se prononçait “férique”, et non, comme aujourd’hui’hui, “féérique”… Quelqu’un peut-il m’éclairer sur ce point ?

  413. Merci pour cette lecture, Pomme, que j’ai particulièrement appréciée : le mélange de réalisme et de surnaturel, qui n’est pas étranger à Balzac, est ici dosé de manière intéressante. Ursule est une jeune fille pure, digne d’Eugénie Grandet, et l’on se demande jusqu’au bout quel destin Balzac lui réserve… J’avais eu la velléité de faire la lecture de ce livre, et finalement je l’ai écouté, lu par vous et… je m’en réjouis !

  414. Oui, j’espère que votre mère pourra l’écouter dans un mois à peu près… Il me reste cinq chapitres à lire et je vais essayer de faire vite. Merci à vous pour ce commentaire qui me touche beaucoup.

  415. Et pardon aussi pour cette féminisation intempestive et bien involontaire, CHER Ahmed…

  416. Chère Ahmed, mille excuses… Ce défaut est réparé, ainsi que dans le zip.

  417. Merci beaucoup, chers amis… Cela faisait un moment que j’en avais envie et je suis heureuse de l’avoir fait…

  418. Intéressante nouvelle… On pense à Dorian Gray, bien sûr, mais également (je reste dans le cinéma) à l’aventure de Mrs Muir de Mankiewicz… Très belle lecture (on hésite à le répéter encore une fois !)

  419. Je vous remercie Luciole… Vous êtes la première à me poser la question de cette fin ouverte. Je ne sais pas si je reviendrai à Albâtre, pour l’instant mes projets me portent ailleurs pour longtemps, mais qui sait ?

  420. Puis-je me permettre encore une remarque futile ? Qui n’entache en rien ni la qualité extraordinaire de votre lecture, ni l’admiration et l’amour sans bornes que je porte à Edith Wharton… Mais il me semble que tous les personnages rougissent sans cesse, même Archer n’est pas épargné par ce ridicule… Cette rougeur atteint souvent des extrémités inhabituelles – gorge, oreilles… Les romanciers abusent-ils de ce signe physique commode pour leur narration ? Ou bien les gens rougissaient-ils vraiment à tout propos dans ce milieu et à cette époque ? C’est la question que je me pose.

  421. Je me délecte, cher Vincent, et vous en remercie …Une chose cependant me tracasse : j’ai vu, il y a une vingtaine d’années, la belle adaptation de Scorsese… où May est brune, et Helen blonde!

  422. Merci à vous, Yves ! Hirondelle, je ne sais si je suis désolée ou ravie d’avoir été la cause de votre insomnie…

  423. Merci à vous tous, St3r3o, EclatDuSoleil, Benoît, Thierry, Koukoumani, Caroline…Vos retours me donnent beaucoup d’énergie pour continuer !

  424. C’est vrai, vous n’êtes pas la première (ou le premier ?) à me le dire et je m’en rends compte… J’essaie souvent de ralentir le débit, mais le naturel finit toujours pas revenir… au galop.

  425. Merci Thierry, il est bien sûr un peu difficile de passer après Balzac… Et j’espère avoir toute votre indulgence !

  426. Chère Anik,
    Je vous remercie pour votre commentaire. Les trois tomes sont disponibles depuis peu au format papier (il vous suffit de suivre le lien ci-dessus : version texte du livre audio)… Quant à une rencontre avec le public d’une médiathèque, ce ne sera malheureusement pas possible car je vis très loin de l’hexagone ! Bien à vous

  427. Chère Hirondelle, j’espère que vous trouverez bientôt le temps et que vous reviendrez à tire-d’aile… Bien à vous

  428. Voilà… Grâce à la vigilance de Trollus, ce tome 3 est à nouveau disponible, avec des fichiers rechargés et vérifiés. Excellente audio-lecture à tous !

  429. Bonjour Trollus, je me demande s’il ne vaudrait pas mieux supprimer le billet, vérifier tous les fichiers et le publier un peu plus tard… Je laisse les contributeurs en décider. Bien à vous…

  430. Bonsoir Trollus… Je plaide coupable. C’est moi qui ai probablement oublié d’amplifier le son du chapitre 17. Je le renvoie donc, ainsi que l’archive zip de la seconde partie. Et je vous présente toutes mes excuses pour ce désagrément ! J’espère que tout ira bien à présent…

  431. Merci chère Carole pour votre action toujours prompte sur les fichiers endommagés… Et merci à vous Trollus, d’ avoir essuyé les plâtres de ce troisième tome.
    Votre message, ainsi que celui de Cécile, m’ont beaucoup touchée : et me voilà partagée entre la joie de savoir ce livre attendu, et la crainte, toujours vive, de ne pas être à la hauteur de cette attente…

  432. Eh bien… très prochainement, en fait ! La lecture est en cours d’enregistrement.

  433. Un travail aussi monumental que délicat dans sa facture : un excellent livre audio ! Merci à vous…

  434. Merci beaucoup Maribel pour votre commentaire sensible et chaleureux… Le tome 2 vous attend, et vous n’aurez pas beaucoup à attendre pour le tome 3, que je suis en train de lire, et qui sera peut-être publié sur le site aux alentours de la rentrée…

  435. Merci Céline… Vous pourrez retrouver les personnages pour le dernier opus assez bientôt…

  436. Je suis très heureuse, François, que ma cité imaginaire continue à attirer des visiteurs, et qu’ils y prolongent même leur séjour…

  437. Ma rareté sur le site n’a rien à voir avec mes activités littéraires… mais est due, cette année, à une parenthèse professionnelle particulièrement agitée. J’espère être de nouveau opérationnelle dès l’automne et reprendre le rythme de mes lectures bien-aimées… Amitiés à vous, Trollus !

  438. Une fois n’est pas coutume, je profite de cet espace pour donner rendez-vous à mes auditeurs, le samedi 19 mars à 19h à la librairie Le Comptoir des Mots, à Paris… pour le lancement en librairie de Titania 2.0.

  439. Merci Colin… Comme j’ai enrichi le texte, dans le cadre de la publication, je vais probablement réenregistrer le livre audio… Alors si vous avez des suggestions pour la musique, n’hésitez pas !

  440. C’est votre commentaire qui est un superbe cadeau, Cécile, et je vous en remercie !

  441. Merci chers amis ! Je vous adresse à mon tour mes meilleurs vœux pour 2016…

  442. Bonjour Fedorifor… Hélas non, vous n’aurez pas la suite pour Noël… Je diffuse les chapitres au fur et à mesure de leur écriture sur mon site, et j’en suis pour l’instant au chapitre 15… C’est-à-dire à la moitié à peine. Titania 2.0., mais aussi quelques autres nouvelles, m’ont fait prendre du retard sur le tome 3. Mais je vous rassure :celui-ci est revenu en tête de mes priorités et je devrais pouvoir le terminer en 2016. J’espère que vous ne m’en voudrez pas trop ! Bien à vous et joyeuses fêtes de fin d’année à tous

  443. J’ai la joie de vous annoncer que Titania 2.0. va naître sur papier ( et aussi en anglais)… J’ai en effet gagné le Grand Prix de la Journée du Manuscrit. J’avais cependant précisé que je souhaitais que les versions audio et numérique demeurent gratuites et restent sur le site… Merci à tous les auditeurs qui m’ont encouragée à continuer à écrire !

  444. Merci à tous… J’espère que les amis et la famille d’Yvonne Gaudeau apprécieront également ce travail de lecture qui m’a procuré beaucoup de plaisir.

  445. Merci Christine… Les grandes oeuvres résonnent en nous, et la problématique de l’adaptation et de l’interprétation m’a toujours intéressée. J’aimerais moi aussi connaître votre Juliette !

  446. Merci encore une fois , Trollus pour votre fidélité! Et merci à vous, cher Alain, pour ce beau compliment. On doute de chaque idée, de chaque texte, et les commentaires comme le vôtre aident à se dire qu’on ne s’est pas trop égaré en chemin !

  447. Lyse, je suis très touchée par votre commentaire et espère que vous aimerez également mes autres récits.

  448. Vous avez raison au sujet du prénom, il a été modifié en cours de route ( en partie parce que plusieurs auditeurs m’avaient fait remarquer la trop grande ressemblance de certains noms), et je n’ai corrigé que la version texte, et pas la version audio…
    Merci, en tout cas, pour vos encouragements !
    La suite est en cours de rédaction…

  449. En effet, Benoît, la traduction de Philippe Néel est libre de droit, mais n’existe pas au format numérique… J’ai dû lire l’oeuvre avec un livre-papier…

  450. Lancez-vous, Cécile ! Je suis heureuse de vous avoir inspiré la confiance et l’envie d’écrire…

  451. C’est, comme toujours, impeccablement lu ! Bravo Vincent. Le roman est intéressant, surtout pour les affres de ce personnage si lâche, si complaisant envers lui-même, si plein de mauvaise foi… affres rarement dépeintes en littérature. Je trouve les personnages vertueux moins intéressants, et certains, comme monsieur Owen, trop dépourvus d’épaisseur psychologique. Mais le tour de force ici est de montrer une vertu brutale, et un vice faible et larmoyant…

  452. Cher Ragil, merci pour votre enthousiasme ! Bien sûr, vous ne me décevez pas… C’est touchant de savoir que vous me suivez dans différents univers, et que vous faites le lien entre des histoires si différentes. A bientôt !

  453. Merci Plume ! Pour être tout à fait honnête, je partage votre indécision… Ce que j’aime, surtout, c’est la langue de Rousseau, et sa philosophie. Mais ce grand personnage a quelque chose d’invinciblement irritant – les Confessions restent une oeuvre dérangeante même après plus de deux siècles. Et la confrontation des Confessions et de Julie laisse également à méditer…

  454. Merci Amanda, d’avoir préféré mon histoire à votre sommeil… Vous pouvez tout de suite écouter le tome 2 qui est sur le site. Vous portez justement le nom d’une de mes heroïnes !

  455. Je ne sais quelle est votre langue maternelle, mais j’aimerais la parler comme vous parlez le français ! Merci du fond du coeur, Ragi, c’est vraiment merveilleux d’avoir des audio-lecteurs presque à l’autre bout de la Terre…

  456. Comme Jean-Pierre Baillot, je me réjouis d’apprendre par votre entremise, Christiane, ce beau mot d’aliboron, trop peu usité à mon avis… Ces aliborons en troupeau ont des airs d’alligators… La bêtise et l’ignorance sont-elles aussi dangereuses que la férocité ?

  457. Merci chère Christiane d’avoir pris le temps de réécrire ce message perdu ! Il nous touche beaucoup…

  458. Chère Hirondelle, votre interêt me fait très plaisir… Non, il n’y a pour le moment pas de suite à l’Archipel… Je ne l’exclus pas, car c’est univers “paranoïaque ” intéressant, mais il me faut d’abord finir Albâtre !

  459. Chère Elodie, c’est une chance que vous ayez eu ces longs trajets à faire… Je suis heureuse que vous ayez apprécié Albâtre et je suis sûre que vous trouverez beaucoup d’autres bonheurs sur le site en attendant le tome 3 !

  460. J’espere bénéficier de toute votre indulgence pour le piano qui n’est pas ma spécialité… 🙂 Merci Hirondelle !

  461. C’est un magnifique compliment, Simon, je suis heureuse d’avoir su servir Balzac… A bientôt !

  462. Avec un peu de retard mais beaucoup de chaleur, merci, cher Trollus ! Vos commentaires généreux sont de ceux qui apaisent les doutes, et c’est un don précieux…

  463. C’est à mon tour de tomber sous le charme de ce superbe livre audio ! Bravo Christine.

  464. Merci à vous Aymeric ! Mes journées n’ont pas assez d’heures pour réaliser tous mes projets…

  465. Merci pour ces sympathiques marques d’intérêt… J’espère que le voyage vous plaira !

  466. Je suis très touchée de savoir que ma voix et mes histoires vous accompagnent dans vos trajets… Merci pour votre enthousiasme !

  467. Bravo Christine, autant pour l’interprétation que pour le choix de vos lectures, toujours fondamentales !

  468. Votre nouvelle est aussi épicée et savoureuse que son sujet : on ne sait pas ce qu’elle renferme avant d’en avoir croqué la fin ! Bravo à vous Shmuel, ainsi qu’à Cocotte pour son interprétation.

  469. Chère Milane ! Je craindrais de m’essouffler et de vous lasser… Mais j’ai bien l’intention de ne pas laisser mes personnages en plein milieu de leur histoire – même si je fais, avant de poursuivre, un petit détour par le futur, du côté de la SF… Merci beaucoup à tous pour vos encouragements qui sont un carburant précieux et indispensable !

  470. Merci à vous Sarah, je vous souhaite beaucoup de découvertes sur le site ! Si vous aimez Henry James, je me permettrai de vous conseiller les différentes lectures de Edith Wharton…

  471. Je vous remercie, Christine et Durandal… J’avais peur que le deuxième tome paraisse plus terne, et je suis vraiment contente de savoir que certains lecteurs le préfèrent au premier. Cela m’encourage à continuer !

  472. Ce compliment, venant d’un auteur et d’un érudit tel que vous, me va droit au coeur… Merci à vous.

  473. Merci EclatDuSoleil… C’est très gentil de me faire parvenir cet aimable retour !

  474. Je suis très heureuse de ne vous avoir pas déçue… C’est merveilleux de se dire que cette Cité d’Albâtre existe aussi dans l’imagination des lecteurs ! Je pense, pour rebondir sur vos propos, que l’écriture d’aujourd’hui est nécessairement influencée par le cinéma, et que le découpage des scènes, par exemple, est (inconsciemment) induit par nos habitudes de spectateur… Est-ce un défaut ou une qualité, je ne sais, mais en tout cas, cela ne paraît pas vous déranger et je m’en réjouis !

  475. Merci chère Plume ! Je tenterai de mettre plus d’action dans la suite… Le dosage entre aventures, univers et personnages est toujours un peu délicat !

  476. Merci Hirondelle…La situation finale me paraissait difficile à faire comprendre, ou admettre, au lecteur, et je suis très contente que vous trouviez cela “vrai”. C’est un beau compliment pour un roman de fantasy.

  477. Merci Durandal ! Je suis ravie que vous ayez découvert la Cité d’Albâtre et j’espère que vous apprécierez la suite. A très bientôt !

  478. Merci Mireille pour votre fidélité ! Il est très touchant de savoir que des audiolecteurs ont attendu le tome 2 et l’ont aimé. Vos commentaires chaleureux me donnent bien sûr envie d’écrire la suite, je me laisse quelques semaines pour souffler, travailler un peu un autre projet, et réfléchir au tome 3, qui sera peut-être le dernier, ou l’avant-dernier, je ne sais pas encore. @Trollus : merci pour votre sollicitude… Mais rassurez-vous, j’ai repris, comme beaucoup de gens je crois, du poil de la bête.

  479. Un grand merci pour votre commentaire, Elisabeth. Beatrix est en effet un très beau roman, où Balzac utilise toute sa palette…

  480. Votre commentaire est un rayon de soleil dans cette semaine noire ! Merci du fond du coeur chère Marie-Hélène.

  481. Tout en finesse, en sous-entendus, en demi-teintes… Un petit bijou très joliment serti par vos voix ! Merci pour ce moment 🙂

  482. Voilà qui me récompense d’une année de travail ! Merci d’avoir été si rapide cher Trollus !

  483. Merci beaucoup Christiane pour votre enthousiasme qui nous soutient et nous motive dans ce travail de longue haleine ! À très bientôt pour la suite et meilleurs vœux !

  484. Merci Hélène ! Confidence pour confidence, j’ai le trac et j’espère ne pas vous décevoir… Excellente année à vous !

  485. Je me joins au choeur des anges (?) pour vous souhaiter à tous une très belle année 2015, et souhaite que la Littérature, qui nous rassemble, trouve encore longtemps dans ce site une fontaine de jouvence ! Merci à l’administrateur et aux contributeurs si dévoués…

  486. J’aime beaucoup l’univers de cet artiste – poétique, doux, fantaisiste, onirique… C’est un grand compliment que vous me faites ! Merci du fond du coeur, Colin.

  487. Cher Colin,
    Je vous conseillerais personnellement la lecture du roman d’abord, car vous apprécierez mieux la correspondance en sachant de quoi il retourne…

    Bien à vous !

  488. Merci Luc, vous êtes bien aimable. Je retournerai bientôt à Balzac, après une petite escapade avec Rousseau…

  489. Chère Esperiidae, ce mystère est expliqué à la page “Forneret Xavier, Rien”… Vous n’êtes pas la seule victime de ces terribles Bots…

  490. Ou bien à une spéculation boursière sur nos livres audio … Inflations galopantes, fluctuations du marché… Tout cela ne me dit rien qui vaille !

  491. Le film de Jane Campion m’a plu aussi, bien qu’il soit moins riche que le livre, et je trouve que John Malkovich excelle dans le rôle d’Osmond, comme dans celui du Valmont des Liaisons dangereuses, d’ailleurs…

  492. Une vraie perle que ce chapitre… dont je conseille vivement l’écoute à tous ceux qui pensent que Montaigne est un auteur austère !

  493. Il se trouve caché entre le chapitre 12 et le chapitre 13… Mea culpa, je l’ai mal étiqueté et je ne sais pas trop comment rattraper cette erreur…

  494. Merci Joëlle et Minou – c’est un récit un peu atypique et je suis heureuse qu’il vous ait plu…

  495. Chère Pomme, je termine à peine l’écoute des deux premiers chapitres, et je suis déjà captive. J’en profite pour vous remercier et vous féliciter, car j’ai écouté il y a plusieurs années tous les Rougon-Macquart, et vous êtes pour moi la voix de Zola… J’ai beaucoup de plaisir à vous retrouver tous les deux en grande forme!

  496. Votre interprétation est très, très belle ! L’amour n’est-il donc jamais le plus fort chez Edith Wharton ? Comme Lily Bart et Halo Tarrant, Charity est autant victime de l’étroitesse de la société que de la lâcheté et de l’inconséquence des hommes – la fin est très troublante, comme le personnage de Mr Royall…c’est un bien beau livre audio que vous nous avez offert ! Merci

  497. Le roman avance, chère Caroline… Il est toujours prévu pour début 2015 si tout se passe bien… Excellente écoute !

  498. Merci beaucoup chère Cocotte, pour ce compliment de spécialiste ! Espérons que les petits audio lecteurs d’aujourd’hui apprécieront Madame d’Aulnoy autant que nous dans notre enfance…

  499. Merci !!! J’ai hâte de vous écouter et de découvrir ce livre que je ne connais pas…

  500. Voilà qui complète admirablement la sublime lecture de Victoria… Merci pour ce choix !

  501. Merci beaucoup Jean-Pierre et Christine ! Je vais commencer l’enregistrement de César Birotteau et renouer avec Balzac…

  502. @Christine :Merci beaucoup, je suis comme vous et j’ai eu du mal à quitter Isabelle à la fin… On aimerait la suivre jusqu’au bout !
    @Luc : vous avez parfaitement raison, la langue de James est difficile ( rançon de sa justesse et de sa finesse ?) et je vous promets d’essayer de ralentir le débit une prochaine fois…

  503. Merci à vous, Bouchon et Lyse, je suis très heureuse d’avoir pu contribuer à diffuser ce roman que j’aime tant…

  504. Merci à Diane et à Mireille d’avoir surmonté la difficulté du sujet. Vos remarques positives me sont particulièrement précieuses.

  505. Bonjour Didier, le problème technique dont vous faites part est peut-être dû à une erreur de téléchargement ? Les autres auditeurs ont-ils le même problème ? Je sais que je lis un peu trop vite, mais normalement la voix n’était pas déformée…

    A vous, et à Claire, merci pour vos retours, toujours très agréables à recevoir !

  506. Merci beaucoup ! Comme le disait récemment un “confrère”, les retours des auditeurs sont très importants pour nous. Excellente écoute à vous.

  507. Il me semble que tant que la démarche est gratuite et non commerciale, c’est une bonne idée ! Les feuilletons radiophoniques avaient du succès… Mais les administrateurs du site vous en diront sans doute plus…

  508. J’aime beaucoup ce roman, injustement méconnu, qui soutient la comparaison avec les meilleurs romans satiriques de son époque, qui n’en est pourtant pas avare…Je me ferai une joie de le redécouvrir grâce à vous ! Merci.

  509. Je viens d’écouter L’Epaule Cassée et cela m’a donné envie d’écouter tous vos titres… J’aime votre ton à la fois distancié et très humain. Et merci à Cocotte que j’ai écoutée aussi, et avec grand plaisir, pour la première fois.

  510. Merci pour vos témoignages, P’tit Guy, Dee et Prevoteau. Ils m’aident à continuer !

  511. Un grand merci à René Dépasse pour avoir offert à ce texte sa voix inimitable et son immense talent.

  512. Merci EclatDuSoleil pour ce double encouragement, vous êtes très aimable. J’avais un petit doute sur la prononciation de ce mot que j’ai plus souvent lu qu’entendu… Désolée pour ce flagrant délit…d’amateurisme!

  513. Merci Xavier et Jacques.C’est bien sûr un immense honneur que de ranimer quelques heures la “compagnie de Balzac”…

  514. Merci Muriel, je suis en train d’écrire la suite et j’espère pouvoir la proposer à L.A. d’ici 2015…

  515. Merci Vincent pour ce beau moment d’horreur au clair de lune…Cela me rappelle des soirées lointaines où, jeune et rôliste, je jouais à l’Appel de Cthulhu… Très belle traduction.

  516. Merci Mesdames Agnès, Odile et MicheleEmilie… Vos remerciements me vont droit au coeur.

  517. Merci pour cette lecture extraordinairement fluide et agréable ! Votre talent de conteur se conjugue à celui de Dumas…

  518. Merci beaucoup Thierry… Je me rends compte que j’ai en effet complètement oublié de corriger la version zip… Je le ferai dès que possible !

  519. Merci Sandrine, P’tit Guy et Alezanne, c’est un grand plaisir pour moi de savoir que vous avez apprécié mon histoire, et que certains d’entre vous l’ont écoutée d’une traite !

  520. Merci pour ce beau texte, à la fois précis et universel, entre émotion et réflexion… Un bel hommage à tous ces sacrifiés de nos grandes villes, qui sont passés de l’autre côté de la vitre, et dont on n’entend plus la voix.

  521. Merci EclatDuSoleil, Roger, Mireille et Plume… La suite mûrit dans ma tête pour le moment ! Plume, je vous répondrai personnellement plus longuement, mais au sujet du chapitre 1, la fin du chapitre/texte n°1 est en fait lue dans le chapitre/audio n°2… Les numérotations ne concordent pas, j’en suis désolée… J’essaierai de faire ça de manière plus rationnelle la prochaine fois.
    Merci encore pour tous vos commentaires !

  522. Merci Maline pour votre commentaire – qui est lui aussi d’une précision diabolique ! – et pour vos voeux. Meilleurs voeux à vous aussi…

  523. Merci mille fois, Trollus et Sergio, pour votre enthousiasme !

    PS : Non, le nom de Keller n’est pas un clin d’oeil ( je n’ai pas le plaisir de connaître cet autre écrivain…)

  524. Merci Bibi pour vos commentaires. J’y penserai si j’écris le tome 2…

  525. Merci Vincent et Hélène pour vos commentaires ! J’en suis très touchée. Ce livre a dormi dans un tiroir plusieurs années et je suis heureuse de l’avoir réveillé…

  526. Et merci à vous Lucie pour votre soutien, mais la critique fait partie du jeu…

  527. Bonjour Lattentif. J’ai immédiatement corrigé cette faute inexcusable, inexpiable, cet attentat contre la conjugaison… Merci pour votre vigilance !

  528. Merci Lucie pour ce commentaire chaleureux ! Je vais corriger au plus tôt le défaut du chapitre 18… Pour ce qui est de la numérotation, celle des fichiers audio ne correspond pas, en effet, aux chapitres du texte, et je vous demande de m’excuser pour cet inconvénient.
    Y aura-t-il une suite ? Peut-être, car vos commentaires me donnent envie de l’écrire !

  529. Je vous remercie Véronique de ce commentaire qui me touche beaucoup… Le livre n’est pas publié et n’est disponible qu’au format numérique.

  530. Merci Isabelle pour cet agréable commentaire ! Je ferai de mon mieux pour vous en redonner…

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