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Jean-Pierre Baillot

Ses commentaires les plus récents

  1. Pauline, vous me faites regretter mon syndrome de Bartleby car si je devais écouter un seul livre audio… ce serait celui-ci.

  2. Bonjour Sandrine, je suis très heureux de vous avoir accompagnée. Merci à vous.

  3. Probablement mal réveillé, je me suis demandé pourquoi vous suiviez un buffle chinois. Sénèque ne le conseille en rien !

  4. Bonjour Esperiidae,
    Je connais que trop bien le sentiment que vous évoquez… Mais, n’ayez aucun doute sur la qualité et l’utilité de votre duo avec Vincent. Bon courage. Mes amitiés, Jean-Pierre

  5. Ivan Morane est, en effet, très bon. André Dussollier est également excellent.

  6. Le train a sifflé trois fois avant de repartir en 2024. Très belle année, Fran !

  7. Le lien entre Proust et Bonetto ? “Et le duc (de Guermantes) se présentait naïvement pour l’aider, sans en avoir l’air, à réussir son tour, comme, dans un wagon, le compère inavoué d’un joueur de bonneteau”.

  8. La madeleine se rappelle à votre bon souvenir : le même est condamné en seconde instance.

  9. Oui, Jacquot, la machine à explorer le temps ! Mais, cela serait dommage : Vincent est si bon !!!

  10. Merci à vous, mais je voyais plutôt garde du corps bénévole. Cela dit, le risque d’agression est probablement moins réel sur vos lectures que sur vos chansonnettes !

  11. J’ai eu peur que la bergère ne laisse traîner un téton dans votre lecture. Mais, heureusement, il n’en est rien. Ça ira bien pour cette fois-ci, Alain !

  12. Je ne supposais aucune innocence. Avec Marcel, c’était du lourd, du brutal (comme dirait Pauline) … pas du monoxyde d’azote comme en bas de chez moi !

  13. Vous dites fumigations ? La rue Hamelin en a vu d’autres !!!

  14. Il semblerait, d’après les premiers éléments de l’enquête, qu’il s’agisse de la réaction (légitime) d’un audio-lecteur pas heureux du travail d’un ddv !

  15. Ce n’est pas pour me vanter, mais j’ai connu une polonaise qui en prenait au petit déjeuner !

  16. Les commentaires des tontons flingueurs de LA, c’est du brutal !

  17. Au tout début, Christiane-Jehanne, ça assèche les tissus, stimule la salivation et évacue la bile. Puis, ça élimine les toxines, relâche les muqueuses, enflamme l’épiderme et aiguillonne l’ardeur. Enfin, ça stimule tout le reste.
    Bref, comme dirait Alain, une astringente, carminative, cholagogue, dépurative, emolliente, rubéfiante, stimulante et tonique lecture.
    A votre place, je déposerais, vite fait, le brevet de lecture accderst… avant que d’autres vous piquent l’idée.

  18. Vous avez raison. J’envoie mon dentier seul à Venise… pour le glamour !

  19. Voilà qui pourrait donner l’envie de revoir la lumière d’Italie… même aux vieux !

  20. Bonjour Cocotte,
    On dit plutôt “avoir une aventure” (avec un policier), même si elle a été envoyée !

  21. Merci pour votre commentaire, Vincent.
    Il mérite le grand prix de l’élégance.

  22. Contrairement à ce que vous semblez penser, on végète parfois plus et mieux dans l’ombre de Monique Vincens (ou d’autres DVD) que dans celle de René Depasse. Ma lecture de “Bouvard et Pécuchet” a eu beaucoup plus de succès que celle des “jeunes filles en fleurs” ! C’est la vie !

  23. Non, Christian n’a pas donné suite à ma proposition de lire le titre !

  24. Salut Ahikar,
    Suis parti comme vous au bord de l’eau.
    Pourvu que ça morde !

  25. valas est probablement un insomniaque notoire en plein bonheur ! Merci à Victoria.

  26. Avez-vous pensé au ruban adhésif Téflon ? Il présente, d’après sa notice d’utilisation, “une remarquable combinaison d’adhésion à des surfaces antiadhérentes ou quasi inertes (souvent présentes dans le couple), de résistance à la température et d’antiadhérence”. Bref, il adhère sans adhésion, c’est le “couple téflon” !

  27. Première grosse difficulté de traduction dès le titre. Surtout pour ceux et celles (bien plus âgés que nos deux com-pères/mères) qui ont connu la vraie TEFAL !

  28. J’avoue que vous me donnez, toutes deux, grande envie de caresser les « autrices » à mon tour

  29. Parfaitement, un peu de patience et d’indulgence comme dirait Pauline !

  30. 100h, bravo Gustave !!!
    Cela représente combien d’heures de travail 100h d’enregistrement ?

  31. Température à enregistrer dans sa baignoire, façon Claude François !

  32. Cela dit, Proust n’était pas totalement insensible à la belle voix de baryton de Reynaldo Hahn.

  33. Bonjour chère Bruissement, vous écrivez à Sautillant : “vous êtes, comme tout un chacun, parfaitement unique”. Or, il me semble que Sautillant est plus unique que les autres !

  34. Bruant, vous prononcez « baldringham » mieux que Walter Scott. Bravo !

  35. Après tout, n’était-il pas passé à côté de Proust ? Au fait, avez-vous fait la connaissance de Cripure ?

  36. Je viens en voisin, barbuss. Il ne manque rien. Il y a même trop 😉 L’œuvre commence au chapitre 01 … « Longtemps je me suis couché de bonne heure ».

  37. Perso, ai trouvé la lecture fort Pucciano, voire puccianisimo ! Ne changez rien, Pauline !

  38. On n’ose pas vous suggérer Du Côté de chez Swann ! Une bien belle histoire, pourtant !

  39. Mario Vargas Llosa sous la coupole : “Le plus important, peut-être, c’est d’avoir découvert en France Gustave Flaubert, qui a été et sera toujours mon maître, depuis que j’ai acheté un exemplaire de Madame Bovary, le soir même de mon arrivée, dans une librairie aujourd’hui disparue, du Quartier latin, qui s’appelait La Joie de Lire”.

  40. Sympa de recevoir des bisous de l’auteur. Trop rare avec Chateaubriand !

  41. Diable, Christiane-Jehanne ! Re-Mémoires. C’est énorme ! Sisyphe n’est qu’un joyeux plaisantin à côté de vous.

  42. Le commentaire de Sylvie me met sur la piste de ces aventures. C’est, en effet, très bon comme toujours ! Bravo María !

  43. Certes la citadelle est solide, mais non insensible. Une de nos collègues qui se présentait à pied au fossé, a même vu le pont-levis s’abaisser aimablement devant elle. Pas belle la vie ?

  44. Bonjour Pauline, je ne connais pas Walpole. En revanche, je connais et aime profondément toute l’oeuvre de Gracq et suis heureux d’apprendre que vous êtes du fan-club. J’ai même tenté, en son temps, une danse du ventre auprès des Editions Corti pour être autorisé à le lire ici. En vain, malheureusement. Vous devriez essayer… je vous sens plus habile et mieux dotée que moi pour cet exercice ! Je serais très honorée si, en cas de succès, vous aviez la bonté de me réserver un petit rôle dans votre super-production. Cordialement, Jean-Pierre

  45. C’est amusant. Otrante m’avait d’abord précisément fait penser à Argol. D’un château l’autre, comme dirait l’autre.

  46. Le bar dites-vous, Christiane-Jehanne ? Ne lui trouvez-vous pas un petit air de famille avec les Catacombes des Capucins de Palerme ?

  47. D’accord avec vous, Jean-Luc. Jean-Luc Fischer est un admirable donneur de voix. Chapeau l’artiste !

  48. Vous me donnez, Pauline, envie de relire Louis Guilloux, l’admirable auteur du Sang Noir, qui était du voyage.

  49. 10 juillet 1871 – 18 novembre 1922 : une vie, une oeuvre. Bravo et merci, Marcel Proust !

  50. En effet, André et Sylvie, on est toujours très bien accompagné chez Dickens. Il sait être irrésistible !

  51. 10 juillet 1871 – 18 novembre 1922 : une vie, une oeuvre. Bravo et merci, Marcel Proust !

  52. Je propose, Pauline, que vous meniez l’enquête sur le fait divers le plus pointu de la semaine : le maire d’une petite bourgade, bien de chez nous, crucifié dans la Manche !!!

  53. Toujours autant de doigté dans les commentaires littéraires de Pauline !

  54. Humour et violoncelle ? Je ne vois que les Mémoires de Saint Simon !

  55. Vous vous exposez là, Sautillant, à un sévère retour de flageolets de la part d’Enzo !

  56. Allons donc, Cocotte ! Vous avez tellement de succès que vous ne savez plus où donner de la tête. Il est temps de descendre de cheval. Bien le bonjour à Boston !

  57. “Une voix comme la musique d’un violoncelle” disait Michael Lonsdale à propos de celle de Delphine Seyrig.

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