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Jean-Pierre Baillot

Ses commentaires les plus récents

  1. Bonjour Alain, vous me donnez envie de retourner à Segovie. La ville est magnifique, le cochinillo asado y est succulent et le Hay Festival de Littérature (chaque septembre) plutôt sympathique. Merci à vous et Ahikar de réveiller tant de bons souvenirs.

  2. D’abord Eole a signalé la décision qu’elle avait prise dans son billet. C’est honnête vis-à-vis des audio-lecteurs. Chacun est alors libre d’écouter ou pas, en connaissance de cause. Ensuite, la liberté des ddv me semble respectée puisque LA ne leur impose pas ce type de “formatage”. Ayant à lire ce texte, j’aurais personnellement lu intégralement le texte original. Je n’aurais pas, pour cela, cru devoir m’en excuser dans le billet. Bref, je comprends la position d’Adamantine et respecte la démarche de Eole.

  3. Merci à vous, Yves. J’espère vivement vous retrouver dans “A l’Ombre des Jeunes Filles en Fleurs” et/ou “Le Côté de Guermantes”. Très bonne continuation.

  4. Bonjour Pauline,
    Je comprends aisément que, dans ces circonstances, vous ayez commencé par la fin pour vous éviter un nouveau « tour de piste »… de près de 29h, tout de même, chez les Guermantes. J’aimerais, cependant, mettre en garde ceux dont ce serait le premier contact avec l’oeuvre contre cette méthode à la hussarde qui les ferait passer à côté du charme de Marcel Proust.
    Votre aimable comparaison de « mon duc » avec celui de Guillaume Galienne est fort flatteuse. Ce personnage au verbe haut (tout comme un Charlus ou un Legrandin) est l’un de mes préférés. Mais, il présente le double danger pour le ddv d’en faire « trop » ou de n’en faire « pas assez ». Votre commentaire me rassure sur le dosage. Merci infiniment.

  5. Vous m’avez trouvé, Emilie. Oserais-je penser que c’est l’essentiel ?! Merci pour votre gentil compliment et bien le bonjour à Pauline.

  6. Merci, Sylve. Bouvard et Pécuchet est, en effet, très drôle. J’ai pris énormément de plaisir à cette lecture. La faisant à ma prise de retraite, j’ai été emporté par la belle énergie de nos deux compères retraités (et par celle de Flaubert qui a produit là un travail considérable).

  7. La détente dont j’avais besoin après la triste performance de MM. Trump et Vance. Merci.

  8. Un peu de patience, Pauline ! Le Premier Ministre, lui-même, vient de faire appel aux vocations… au beau milieu de son discours de politique générale !

  9. Nous étions avec la duchesse, cet après-midi même. Il s’est mis à ronfler (légèrement)… sous le micro. Trop de papillons !

  10. Personnellement, j’avais cru à un (aimable) retour de Napoléon le Petit.

  11. Tout DVD parisien sait qu’on ne peut pas enregistrer dans la nuit de la Saint Sylvestre pour cause de Klaxons. Eh bien, cette nuit, mon pote Max et moi avons gentiment enregistré notre auteur préféré sans aucune interruption. Pas belle la vie derrière le micro par ses temps de morosité généralisée ?

  12. Je salue la mémoire d’André Rannou dont j’ai toujours apprécié l’extrême gentillesse, la grande sensibilité et le bel accent anglais.

  13. J’ai du mal à comprendre pourquoi cette pub gratuite pour le Grand Hôtel de Cabourg. J’ai récemment tenté de négocier leur forfait canin journalier (une fortune !) en arguant du caractère exceptionnellement littéraire de Max… circulez, il n’y a rien à voir !!!

  14. Max a dû suivre la recommendation de lecture de Ahikar. Il pèse désormais 11,4 Kg !

  15. Là, Bruno… vous poussez la bienveillance trop loin ! Flaubert est le seul artiste à bord.

  16. Grand merci Elodie pour votre commentaire. Les retours des jeunes gens découvrant les oeuvres et les auteurs sont (de loin) les plus émouvants pour les donneurs de voix.
    Je me souviens qu’au début de ma propre lecture (à voix basse) des Mémoires d’outre-tombe, j’avais trouvé l’auteur insupportable de suffisance. Cependant, j’ai compris bien avant la fin de l’ouvrage qu’il avait quelques raisons… d’être content de lui.
    J’espère votre visite chez Proust un de ces quatre !!!

  17. Merci à Elodie. Dommage que vous n’ayez pas porté votre commentaire (qui me fait si plaisir) chez nos amis Bouvard & Pecuchet eux-mêmes. On passe, quelques fois, à côté du bonheur… sans le savoir !

  18. Pauline, vous me faites regretter mon syndrome de Bartleby car si je devais écouter un seul livre audio… ce serait celui-ci.

  19. Bonjour Sandrine, je suis très heureux de vous avoir accompagnée. Merci à vous.

  20. Probablement mal réveillé, je me suis demandé pourquoi vous suiviez un buffle chinois. Sénèque ne le conseille en rien !

  21. Bonjour Esperiidae,
    Je connais que trop bien le sentiment que vous évoquez… Mais, n’ayez aucun doute sur la qualité et l’utilité de votre duo avec Vincent. Bon courage. Mes amitiés, Jean-Pierre

  22. Merci de pas oublier de remonter les bretelles du chef de gare !

  23. Ivan Morane est, en effet, très bon. André Dussollier est également excellent.

  24. Le train a sifflé trois fois avant de repartir en 2024. Très belle année, Fran !

  25. Le lien entre Proust et Bonetto ? “Et le duc (de Guermantes) se présentait naïvement pour l’aider, sans en avoir l’air, à réussir son tour, comme, dans un wagon, le compère inavoué d’un joueur de bonneteau”.

  26. La madeleine se rappelle à votre bon souvenir : le même est condamné en seconde instance.

  27. Oui, Jacquot, la machine à explorer le temps ! Mais, cela serait dommage : Vincent est si bon !!!

  28. Merci à vous, mais je voyais plutôt garde du corps bénévole. Cela dit, le risque d’agression est probablement moins réel sur vos lectures que sur vos chansonnettes !

  29. J’ai eu peur que la bergère ne laisse traîner un téton dans votre lecture. Mais, heureusement, il n’en est rien. Ça ira bien pour cette fois-ci, Alain !

  30. Je ne supposais aucune innocence. Avec Marcel, c’était du lourd, du brutal (comme dirait Pauline) … pas du monoxyde d’azote comme en bas de chez moi !

  31. Il semblerait, d’après les premiers éléments de l’enquête, qu’il s’agisse de la réaction (légitime) d’un audio-lecteur pas heureux du travail d’un ddv !

  32. Ce n’est pas pour me vanter, mais j’ai connu une polonaise qui en prenait au petit déjeuner !

  33. Les commentaires des tontons flingueurs de LA, c’est du brutal !

  34. Au tout début, Christiane-Jehanne, ça assèche les tissus, stimule la salivation et évacue la bile. Puis, ça élimine les toxines, relâche les muqueuses, enflamme l’épiderme et aiguillonne l’ardeur. Enfin, ça stimule tout le reste.
    Bref, comme dirait Alain, une astringente, carminative, cholagogue, dépurative, emolliente, rubéfiante, stimulante et tonique lecture.
    A votre place, je déposerais, vite fait, le brevet de lecture accderst… avant que d’autres vous piquent l’idée.

  35. Vous avez raison. J’envoie mon dentier seul à Venise… pour le glamour !

  36. Voilà qui pourrait donner l’envie de revoir la lumière d’Italie… même aux vieux !

  37. Bonjour Cocotte,
    On dit plutôt “avoir une aventure” (avec un policier), même si elle a été envoyée !

  38. Merci pour votre commentaire, Vincent.
    Il mérite le grand prix de l’élégance.

  39. Contrairement à ce que vous semblez penser, on végète parfois plus et mieux dans l’ombre de Monique Vincens (ou d’autres DVD) que dans celle de René Depasse. Ma lecture de “Bouvard et Pécuchet” a eu beaucoup plus de succès que celle des “jeunes filles en fleurs” ! C’est la vie !

  40. Non, Christian n’a pas donné suite à ma proposition de lire le titre !

  41. Salut Ahikar,
    Suis parti comme vous au bord de l’eau.
    Pourvu que ça morde !

  42. valas est probablement un insomniaque notoire en plein bonheur ! Merci à Victoria.

  43. Avez-vous pensé au ruban adhésif Téflon ? Il présente, d’après sa notice d’utilisation, “une remarquable combinaison d’adhésion à des surfaces antiadhérentes ou quasi inertes (souvent présentes dans le couple), de résistance à la température et d’antiadhérence”. Bref, il adhère sans adhésion, c’est le “couple téflon” !

  44. Première grosse difficulté de traduction dès le titre. Surtout pour ceux et celles (bien plus âgés que nos deux com-pères/mères) qui ont connu la vraie TEFAL !

  45. J’avoue que vous me donnez, toutes deux, grande envie de caresser les « autrices » à mon tour

  46. Parfaitement, un peu de patience et d’indulgence comme dirait Pauline !

  47. 100h, bravo Gustave !!!
    Cela représente combien d’heures de travail 100h d’enregistrement ?

  48. Température à enregistrer dans sa baignoire, façon Claude François !

  49. Cela dit, Proust n’était pas totalement insensible à la belle voix de baryton de Reynaldo Hahn.

  50. Bonjour chère Bruissement, vous écrivez à Sautillant : “vous êtes, comme tout un chacun, parfaitement unique”. Or, il me semble que Sautillant est plus unique que les autres !

  51. Bruant, vous prononcez « baldringham » mieux que Walter Scott. Bravo !

  52. Après tout, n’était-il pas passé à côté de Proust ? Au fait, avez-vous fait la connaissance de Cripure ?

  53. Je viens en voisin, barbuss. Il ne manque rien. Il y a même trop 😉 L’œuvre commence au chapitre 01 … « Longtemps je me suis couché de bonne heure ».

  54. Perso, ai trouvé la lecture fort Pucciano, voire puccianisimo ! Ne changez rien, Pauline !

  55. On n’ose pas vous suggérer Du Côté de chez Swann ! Une bien belle histoire, pourtant !

  56. Mario Vargas Llosa sous la coupole : “Le plus important, peut-être, c’est d’avoir découvert en France Gustave Flaubert, qui a été et sera toujours mon maître, depuis que j’ai acheté un exemplaire de Madame Bovary, le soir même de mon arrivée, dans une librairie aujourd’hui disparue, du Quartier latin, qui s’appelait La Joie de Lire”.

  57. Sympa de recevoir des bisous de l’auteur. Trop rare avec Chateaubriand !

  58. Diable, Christiane-Jehanne ! Re-Mémoires. C’est énorme ! Sisyphe n’est qu’un joyeux plaisantin à côté de vous.

  59. Le commentaire de Sylvie me met sur la piste de ces aventures. C’est, en effet, très bon comme toujours ! Bravo María !

  60. Certes la citadelle est solide, mais non insensible. Une de nos collègues qui se présentait à pied au fossé, a même vu le pont-levis s’abaisser aimablement devant elle. Pas belle la vie ?

  61. Bonjour Pauline, je ne connais pas Walpole. En revanche, je connais et aime profondément toute l’oeuvre de Gracq et suis heureux d’apprendre que vous êtes du fan-club. J’ai même tenté, en son temps, une danse du ventre auprès des Editions Corti pour être autorisé à le lire ici. En vain, malheureusement. Vous devriez essayer… je vous sens plus habile et mieux dotée que moi pour cet exercice ! Je serais très honorée si, en cas de succès, vous aviez la bonté de me réserver un petit rôle dans votre super-production. Cordialement, Jean-Pierre

  62. C’est amusant. Otrante m’avait d’abord précisément fait penser à Argol. D’un château l’autre, comme dirait l’autre.

  63. Le bar dites-vous, Christiane-Jehanne ? Ne lui trouvez-vous pas un petit air de famille avec les Catacombes des Capucins de Palerme ?

  64. D’accord avec vous, Jean-Luc. Jean-Luc Fischer est un admirable donneur de voix. Chapeau l’artiste !

  65. Vous me donnez, Pauline, envie de relire Louis Guilloux, l’admirable auteur du Sang Noir, qui était du voyage.

  66. 10 juillet 1871 – 18 novembre 1922 : une vie, une oeuvre. Bravo et merci, Marcel Proust !

  67. En effet, André et Sylvie, on est toujours très bien accompagné chez Dickens. Il sait être irrésistible !

  68. 10 juillet 1871 – 18 novembre 1922 : une vie, une oeuvre. Bravo et merci, Marcel Proust !

  69. Je propose, Pauline, que vous meniez l’enquête sur le fait divers le plus pointu de la semaine : le maire d’une petite bourgade, bien de chez nous, crucifié dans la Manche !!!

  70. Toujours autant de doigté dans les commentaires littéraires de Pauline !

  71. Humour et violoncelle ? Je ne vois que les Mémoires de Saint Simon !

  72. Vous vous exposez là, Sautillant, à un sévère retour de flageolets de la part d’Enzo !

  73. Allons donc, Cocotte ! Vous avez tellement de succès que vous ne savez plus où donner de la tête. Il est temps de descendre de cheval. Bien le bonjour à Boston !

  74. “Une voix comme la musique d’un violoncelle” disait Michael Lonsdale à propos de celle de Delphine Seyrig.

  75. Merci Dominique pour votre aimable remerciement que chacun peut légitiment s’approprier !

  76. Le compliment se voulait collectif, en hommage à la Pomme de qualité.

  77. Une Albertine disparue, une Pomme découverte ! Je viens d’entendre pour la première fois (j’ai une tendance naturelle à avoir mes “premières fois” assez tard) la chanteuse Pomme. Chansons sympa, très belle voix, … une petite soeur ?

  78. Effectivement, Pauline toujours prête à aider ses petits camarades à se faire les dents !

  79. Votre capacité à vous marrer in petto comme un diable en goguette, vous honore, Marc. Ne lâchez rien !

  80. D’accord avec Anonyme. Bravo à Jean-François… et au grand Jules !

  81. Allons, Pauline ! Vous en avez beaucoup des “nouveaux adeptes” ayant lu, comme nicolas, l’oeuvre à pleines dents… sur les lieux mêmes de l’action ?

  82. Chère Domi, si j’en crois Ahikar il vous suffirait d’introduire un axolotl dans l’aquarium pour tout régler d’un coup, d’un seul !

  83. Bonjour Isabelle,
    Regardez sous “Splendeurs et Misères”.
    Bonne journée

  84. En effet, une conscience probablement claire obscure car Carole Bouquet et Angela Molina n’étaient pas, contrairement à d’autres, des soeurs jumelles !

  85. Parfaitement, ces femmes dont tous les Jean-Pierre rêvent… sans oser (d’habitude) en parler à quiconque.

  86. Halluciné, probablement… mais en partie seulement. L’enquête de Max a révélé la nature de la confusion. La lectrice était, en fait, l’actrice Yaël (Elhadad). Un tréma peut facilement, par de telles chaleurs, en cacher un autre à une ouïe défaillante. Je vous salue Gaëlle.

  87. Bonjour Gaëlle, vous ai-je entendu lire Simone de Beauvoir sur France Inter ce jour ou l’ai-je rêvé ? Dans les deux cas, bravo pour vos lectures.

  88. Je vous conseille NINA ET MILO – JOURNÉE À LA PÊCHE de Marianne Dubuc
    aux Éditions Album.

  89. Quel dommage de ne plus entendre Cyprien dont le talent et les choix de lecture étaient des atouts pour ce site.

  90. Hommage à Peter Brook qui a fait tant de belles choses aux Bouffes du Nord… et ailleurs.

  91. Je ne suis aucunement jalouse, Marie. Ce n’est pas mon genre. Juste un peu dubitatif sur les conséquences de l’absence de majorité absolue. Mais, on va s’y faire. D’ailleurs, ce n’est pas totalement de votre faute et vos poupées sont très sympa.

  92. Puis-je vous suggérer, YanDaOne, contre la douleur qui vous accable le mot de Raphaël Enthoven : “Les joues d’Albertine ne sont, en fait, que les fesses d’Alfred (Agostinelli)”.

  93. Les fantasmes littéraires meurent aussi : l’homme suspecté d’avoir étouffé sa crédirentière nonagénaire à l’aide d’une madeleine… a été acquitté ce jour.

  94. Bonjour Ahikar,
    Merci pour ce texte d’une grande actualité. La réforme en cours de la Préfectorale devrait, en effet, permettre de proposer des “parcours de carrière individualisés à partir de l’expérience et des compétences de chacun”. Vivement les Préfets-Crocodiles !

  95. Max et moi avons longuement hésité. Les clochettes du muguet ne seraient-elles pas trop suggestives pour des jeunes filles de bonnes familles ?

  96. Ahicar, enfin du nouveau pour les avaleurs de papier bible : la Pléiade proposera d’ici quelques jours, dans un coffret magique de 2 volumes seulement, le texte intégral et nu de la Recherche. Le texte, tout le texte, rien que le texte en nu intégral ! Pas belle la vie ?

  97. Bonjour michel3342,
    Pour information : une de nos donneuses de voix (parmi les plus talentueuses) a déjà la première phrase bien en bouche. Elle hésite encore à attaquer la seconde, mais pourrait craquer si vous insistiez !

  98. La collection de la Pléiade proposera d’ici quelques jours, dans un coffret magique de 2 volumes seulement, le texte intégral et nu de la Recherche. Le texte, tout le texte, le texte seul !

    Pas belle la vie avec des rubans de pub aux pommes ?

  99. Non vous ne me ferez pas chanter, Lïat.
    J’ai abandonné cette activité de bonne heure après qu’un prof de musique m’eût fait savoir que j’avais “une belle voix… sauf quand je chantais”.
    C’était avant l’avénement de la pédagogie positive !

  100. Oui, beaucoup de charme, Béatrix. Avec Pauline, cela doit être tout bonnement formidable !

  101. Désolé, Sautillant, pour la fin des phrases. Cela dit, comme elles sont longues… elles finissent rarement.

    Je partage votre goût pour Philippe Noiret.

  102. « Proust, un roman parisien » au Musée Carnavalet : derniers jours pour visiter l’expo avec 4 nocturnes en bouquet final.

  103. Je vous conseille, Sautillant, de “déconner” au plus vite. Il ne sert à rien de tergiverser !

  104. Good God ! Geneviève is back in town ! Probablement, un coup de clim prolongé 😉

  105. Peut-être dab ne connait-il pas la contrainte « œuvres libres de droits » qui est la nôtre. Cela ne rend pas son propos plus sympa… mais permet de le comprendre. Allez, dab, dites-nous tout ! 😉

  106. J’attire l’attentIon des élèves des préparatoires scientifiques sur le fait que la traduction lue ici n’est pas celle de Luc Brisson (mentionnée dans les programmes des concours). Cette dernière est probablement excellente, mais je ne pouvais y avoir recours pour des raisons de droits d’auteur. Désolé de ce « décalage » et bon courage !

  107. A bluenaranja,
    Vous prenez le risque de faire chavirer le coeur des DDV qui l’ont le moins solide ! 😉

  108. A Yassir,

    « Comment fait-on pour écrire une histoire ? »

    En attendant qu’André (et pourquoi pas une des plumes du site) essaye(nt) de répondre à cette belle et difficile question, je te suggère une première piste fournie par le comédien François Byzantin.

    https://www.youtube.com/watch?v=zd3LiD_K4mU

    En ce qui me concerne, je suis bien incapable de te conseiller. Sauf, peut-être, sur deux points. D’abord, il faut qu’écrire ton histoire t’amuse. Si ce n’est pas le cas, l’histoire ne sera pas bonne. Ensuite, il faut commencer par des histoires très simples et s’armer de persévérance pour aller plus loin, voire beaucoup plus loin. Le plus dûr, c’est de commencer.

    Qui a dit « fastoche » ? Pas moi !
    Très bon courage à toi, Yassir.

  109. Je propose que l’on finisse là notre débat des vessies et des lanternes, car René Depasse exige (avec raison) que nous rendions cet espace aux lecteurs de l’Enigme de Givreuse.

  110. Ne vous plaignez pas René Depasse, c’est du buzz. Du bon !!!
    On ne prête qu’aux riches …

  111. En effet, Jean-Luc, élever le standard n’est jamais un mauvais objectif ni au plan individuel ni au plan collectif. Je suppose que c’est une volonté commune vers laquelle chacun de nous progresse… mais, à partir de niveaux très différents.

    Etant un “petit nouveau” (ayant, effectivement, apprécié de produire un “superbe” premier essai), je pense qu’une des forces de ce site est sa grande diversité au sein des donneurs comme des receveurs de voix. Pour moi, c’est presque aussi fort que l’énigme de Givreuse 😉

    Cordialement,
    Jean-Pierre

  112. Eclatés façon puzzle ?
    Le peloton de LA est en émoi après une série d’incidents de course au sein de son top 10. On se souvient de Jules adressant récemment un geste ambigu à Arthur au moment de le dépasser et de le décrocher… en danseuse. René Depasse avait hésité à saisir la direction de course ! C’était avant que Howard Philips n’assène un violent coup d’assommoir au pauvre Emile. Victor fait désormais d’horribles grimaces à Gustave qui grossit dans son rétroviseur. Ce site serait-il tombé aux mains des tontons flingueurs ?

  113. Bouvard et Pécuchet de Flaubert est un texte formidable ! L’œuvre est bien servie par la lecture proposée par René Depasse. Pour autant, le souhait exprimé ci-dessus par André de disposer d’une version intégrale me parait légitime. Je vais donc m’y coller et préparer une version intégrale. Malheureusement, ne disposant pas de la puissance d’exécution de René Depasse (et ayant une première lecture – oui, je suis un débutant – en route), je demande à André d’être patient 😉

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