Livre d’or

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5000+ commentaires sur le livre d’or

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  1. P

    Bravo! vive les généreux qui pourront aussi se donner rdv sur les bancs de la liberté dédiés à Antoine de saint Exupéry. Pour écrire en liberté et la liberté d’écrire, la seule vérité est peut-être la paix des livres. Votre formule audio est un cadeau du ciel! Nous vous soutenons

  2. G
    Geneviève

    ” Et à la fin, ils s’en vont tous à la plage ..”
    ( Melina Mercouri, dans “Jamais le dimanche” , de jules Dassin ).

    Je crois que Jean Pierre y est déjà, non ?

  3. K

    D’abord pardon à Mlle Ling pour l’avoir appelée Ming. Pour ceux qui ne parlent pas le chinois, je précise que mon erreur involontaire est une espèce d’acte manqué, comme dirait Freud. Dans mon cas, c’est un signe d’estime, car j’aime le mot “Ming”, parce qu’en chinois il signifie Lumière, ou encore Intelligence. N’est-ce pas, Melle Ling ? 😉

    En fin de compte, le “coup de gueule” a été utile pour penser à cette proposition : la possibilité que les animateurs du site puissent trouver le moyen de soumettre à des correcteurs d’erreurs les textes contemporains proposés, ainsi il n’y aura plus de “coup de gueule” de ce genre. Ne serait-il pas possible de faire appel à des bénévoles et créer une rubrique “Correctrices-Correcteurs”, comme existe la rubrique “Donneuses-Donneurs de voix” ? Oui, bien entendu, ce genre de collaboration est problématique en ce qui concerne des romans, qui demandent trop de temps, mais l’est-il à propos de textes courts, comme les nouvelles ?
    Autrement, n’est-il pas utile de conseiller aux auteurs contemporains acceptés de vérifier scrupuleusement le texte qu’ils proposent. En outre,de demander à ceux qui les lisent pour décider de leur insertion, de faire attention, eux aussi, aux erreurs éventuelles?
    Quant à la nouvelle de Christine Treille, à mon avis, le plus raisonnable est de corriger les erreurs et de remettre le texte à la disposition des lecteurs et auditeurs.
    Enfin, ne serait-il pas utile d’établir une sorte d’introduction au livre d’or, en invitant les intervenants à faire preuve de courtoisie et d’équilibre dans leurs commentaires ? Cela pourrait éviter à ceux qui souffrent d’agressivité de se défouler dans cet espace, en y dérangeant la sérénité qui devrait le distinguer, et en blessant des bénévoles qui y consacrent leur précieux temps. Je crois que Christine Sétrin pourrait écrire cette présentation… Cela ne devrait cependant pas transformer, à mon avis, le livre d’or en un espace d’opinions conventionnelles insipides utilisant un “langage de bois”. S’échauffer mais en avançant des arguments valables et en se maintenant dans la courtoisie indispensable, n’est-ce pas utile ? Cela ne donnerait-il au livre d’or une vivacité bienfaisante, comme ce fut le cas à présent.
    A ceux qui souffrent de chaleur, je les invite en Chine là où je me trouve, à 1300 mètres d’altitude, au milieu de la merveilleuse province du Yunnan ! Ici la seule clim est l’atmosphère, gratuite et merveilleuse pour la santé 😉
    Kadour

  4. C

    Je suis vraiment peinée pour vous, Christine Treille .
    Je vous fais un gros câlin !

    Bizarre, cette façon de se défouler sur un site de DDV bénévoles.
    Quel branle-bas de combat pour si peu…
    Ou, comme le disait Shakespeare :
    “Much Ado About Nothing”

    Au fait, où est-il donc ce texte ?
    Je ne le trouve pas sur le site.
    J’aimerais bien le lire, moi, car j’ai beaucoup aimé “Des Amours Malades”.

    Vivement la brise fraîche pour aérer les esprits 🙂

  5. A

    À Christine Treille,

    Oh-la-la, quelles excuses à faire et à qui ?

    Retirez votre texte momentanément et …retour lorsqu’il sera revu. Anne Susini n’a pas parlé de la qualité de votre texte mais de l’agacement procuré par les erreurs de syntaxes -pour faire court- et autres coquilles. Je l’aurais dit autrement mais j’aurais sans doute eu la même réaction.
    Le style, c’est autre chose. Qui peut en juger, sinon les lecteurs ou les audio-lecteurs ?

    Si je ne suis pas toute seule, je vous propose de prendre en charge une partie de la relecture. Bien entendu seulement sur le plan orthographe /syntaxe.
    Nul n’est à l’abri d’une erreur mais je pense être fiable et j’ai déjà l’expérience de ce genre d’exercice.

    Avanti ! Si rallegri e al lavoro ! Agnès.

  6. A

    À Christine Setrin Chère Christine,

    Très respectueusement, je pense qu’adresser un message privé à Christine Treille aurait été plus approprié que d’exposer publiquement ce qui relève de vos modes de fonctionnement internes et d’en remettre une couche sur les imperfections de son texte.
    Christine Treille me paraît à la longue affectée par tout ce ramdam et c’est dommage.
    D’autant que ces débats -parfois réjouissants- ont eu le mérite de réveiller un livre d’or un peu ronronnant.

    Sur le fond, OUI au rappel à la qualité mais je continue à considérer le message d’Anne Susini comme agressif. Là était l’UNIQUE question. Rejointe sur ce terrain par “Melle Ling” et son étude comparée tout en nuances des systèmes d’éducation en France et en Chine.
    J’avais envie de dire à Kadour de ne pas tant s’échauffer mais… il faisait trop chaud.
    Comment ? Non, je n’ai pas la clim ! Merci à tous les DDV.

  7. Christine Treille
    Christine Treille

    Bonsoir à tous, bonsoir chère Christine Sétrin,

    Je suis navrée que mes erreurs aient occasionné autant de polémiques.
    Après avoir lu votre longue réflexion dont je vous remercie, Christine, je vous fais part à mon tour de ma pensée.
    Les DDV ont déjà beaucoup de travail et je ne sais pas si ils ont envie de se mettre à corriger un texte qui peut être long. Ma nouvelle était courte mais on nous propose aussi des romans et je pense qu’il est difficile qu’un DDV ait le temps de tout corriger, tant l’orthographe que le style. Dans ce cas me direz-vous cela vaut-il la peine de proposer des textes contemporains qui ne soient pas passés déjà par une maison d’édition ou corrigés par une personne de confiance? Je ne sais pas. S’il peut être aisé pour une personne qualifiée de corriger des erreurs orthographiques, est-il aussi simple d’évaluer un style? Personnellement je ne m’en sens pas capable.
    En outre je me rends compte que je n’ai pas le talent pour présenter des textes impeccables, n’écrivant qu’en amateur.
    Par respect pour nos auditeurs et pour nos lecteurs je comprends parfaitement cette recherche de grande qualité. N’étant pas capable de l’offrir ni comme correctrice ni comme “écrivain” je préfère donc tout d’abord retirer “La Bibliothécaire”, le texte incriminé, et ensuite me retirer comme critique d’autres auteurs.

    Lire pour les autres est un plaisir immense et je serai tout à fait satisfaite et comblée en ne faisant que cela.

    Je tiens à présenter mes excuses à tous les DDV qui m’ont fait confiance même si je ne la méritais pas ainsi qu’aux membres de L.A qui ont pu être blessés par ma faute.

    Je suis certaine que cet épisode ne diminuera en rien la joie qu’ont nos audiolecteurs à fréquenter ce site splendide et c’est à eux que je souhaite pour terminer un excellent séjour parmi nous!

    Christine Treille

  8. Christine Sétrin
    Christine Sétrin

    Ouf, quel long débat que voici et que d’idées sous-jacentes… en espérant que tout cela ne nous vaudra pas les foudres de l’Éducation Nationale, de la Chine, ou des habitants de l’Hérault !!!

    Avant de lire ce qui va suivre, chère Christine, ne le prenez surtout pas comme un sujet personnel: il s’agit d’une suite d’idées d’ordre général sur lesquelles j’ai réfléchi tout au long de la journée à la lecture des commentaires envoyés et que je souhaite partager avec vous tous. 🙂

    Je voulais signaler que, à mon avis, le coup de gueule d’Anne Susini n’est pas dirigé à Christine Treille, mais plutôt à nous tous, donneurs de voix qui, par confiance, camaraderie, amitié, sommes prêts à valider un texte « les yeux – ou la boîte 😉 – fermés(e) », surtout lorsque celui ou celle qui le propose est quelqu’un de « connu » sur le site (donneur de voix, auteur déjà lu en d’autres occasions…). Je crois que ce coup de gueule est une invitation à nous interroger sur notre démarche au moment de d’accepter un texte contemporain. Il est très rare que quelqu’un signale des fautes – coquilles, fautes de syntaxe… – et nous avons pris l’habitude confortable de valider un texte lorsque l’histoire nous plaît, mais sans trop nous attarder sur la syntaxe, la grammaire ou l’orthographe. (Seul notre camarade Aegidius le fait parfois, épluchant à la virgule près les textes soumis 🙂 ). Or nul d’entre nous n’est à l’abri de fautes de syntaxe ou de coquilles et je pense que ce serait rendre un service à l’auteur, que de lui faire parvenir – en public ou en privé – des suggestions de corrections. L’un d’entre vous, ci-dessous, a émis l’idée que Anne Susini aurait dû envoyer un message privé pour proposer des corrections. Mais, parmi les personnes qui ont voté « Oui » à ce texte, lesquelles ont entrepris cette démarche ? Ne serait-ce pas à nous, donneurs de voix qui allons valider un texte, de le lire avec attention et d’en signaler les éventuels défauts ? Après tout, lorsqu’une maison d’édition s’intéresse à un texte, elle va se livrer à tout un travail de relecture ou de correction avant de le publier. L’objectif du comité de validation sur notre site ne devrait-il pas être le même, afin d’une part d’éviter à l’auteur ce genre de situation désagréable, et d’autre part de garantir la qualité de l’écriture des textes que nous allons proposer sur le site, non seulement en audio, mais aussi en format écrit, car, nous le savons bien, de nombreux auditeurs souhaitent avoir le texte écrit sous les yeux pendant qu’ils écoutent. Parmi ces auditeurs, il y a des étudiants, des étrangers qui apprennent le français ; ne devons-nous pas leur offrir des textes impeccables du point de vue d ela langue française ?
    Je remercie donc Anne Susini pour son message qui, je l’espère, nous invitera à réfléchir et à prendre encore plus au sérieux – pour le bien de tous – notre tâche de validation de textes contemporains.

    Je remercie aussi Melle Ling pour son commentaire qui nous invite à accepter avec humilité la critique, en particulier lorsqu’elle vient de ceux qui en savent plus que nous. En tout cas, je ne suis pas trop sûre que ce commentaire, somme toute courtois, justifiait des réponses géo-historico-politiques sur son pays aussi enflammées… 🙂 J’espère, Melle Ling que vous continuerez à nous écouter avec plaisir, sans trop tenir compte de nos débats échauffés, (sport typiquement latin des jours de canicule 🙂 ) !!!

    Bonne soirée à tous,

    Ch.

    PS : Pour répondre à la question qui ne manquera pas de m’être posée : non, surtout pas de clim’. Juste ça. C’est plus traditionnel et c’est écologique 😛 !!!

  9. R
    Rodica Cretu

    Correction: vous pouvez le trouver…

  10. R
    Rodica Cretu

    À Jean-Pierre
    Je vous conseille, comme lecture sur la plage, un bon traité législatif sur les droits des personnes atteints par la maladie d’Alzeihmer de signer des papiers officiels ou concernant l’héritage des biens. Si vous ne l’avez pas dans votre bibliothèque, vous pouvez le trouvé dans une bibliothèque publique qui grâce à l’abnégation de la bibliothécaire reste ouverte pendant le weekend. Bonne lecture.

5 182 Commentaires

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  1. Bravo! vive les généreux qui pourront aussi se donner rdv sur les bancs de la liberté dédiés à Antoine de saint Exupéry. Pour écrire en liberté et la liberté d’écrire, la seule vérité est peut-être la paix des livres. Votre formule audio est un cadeau du ciel! Nous vous soutenons

  2. ” Et à la fin, ils s’en vont tous à la plage ..”
    ( Melina Mercouri, dans “Jamais le dimanche” , de jules Dassin ).

    Je crois que Jean Pierre y est déjà, non ?

  3. D’abord pardon à Mlle Ling pour l’avoir appelée Ming. Pour ceux qui ne parlent pas le chinois, je précise que mon erreur involontaire est une espèce d’acte manqué, comme dirait Freud. Dans mon cas, c’est un signe d’estime, car j’aime le mot “Ming”, parce qu’en chinois il signifie Lumière, ou encore Intelligence. N’est-ce pas, Melle Ling ? 😉

    En fin de compte, le “coup de gueule” a été utile pour penser à cette proposition : la possibilité que les animateurs du site puissent trouver le moyen de soumettre à des correcteurs d’erreurs les textes contemporains proposés, ainsi il n’y aura plus de “coup de gueule” de ce genre. Ne serait-il pas possible de faire appel à des bénévoles et créer une rubrique “Correctrices-Correcteurs”, comme existe la rubrique “Donneuses-Donneurs de voix” ? Oui, bien entendu, ce genre de collaboration est problématique en ce qui concerne des romans, qui demandent trop de temps, mais l’est-il à propos de textes courts, comme les nouvelles ?
    Autrement, n’est-il pas utile de conseiller aux auteurs contemporains acceptés de vérifier scrupuleusement le texte qu’ils proposent. En outre,de demander à ceux qui les lisent pour décider de leur insertion, de faire attention, eux aussi, aux erreurs éventuelles?
    Quant à la nouvelle de Christine Treille, à mon avis, le plus raisonnable est de corriger les erreurs et de remettre le texte à la disposition des lecteurs et auditeurs.
    Enfin, ne serait-il pas utile d’établir une sorte d’introduction au livre d’or, en invitant les intervenants à faire preuve de courtoisie et d’équilibre dans leurs commentaires ? Cela pourrait éviter à ceux qui souffrent d’agressivité de se défouler dans cet espace, en y dérangeant la sérénité qui devrait le distinguer, et en blessant des bénévoles qui y consacrent leur précieux temps. Je crois que Christine Sétrin pourrait écrire cette présentation… Cela ne devrait cependant pas transformer, à mon avis, le livre d’or en un espace d’opinions conventionnelles insipides utilisant un “langage de bois”. S’échauffer mais en avançant des arguments valables et en se maintenant dans la courtoisie indispensable, n’est-ce pas utile ? Cela ne donnerait-il au livre d’or une vivacité bienfaisante, comme ce fut le cas à présent.
    A ceux qui souffrent de chaleur, je les invite en Chine là où je me trouve, à 1300 mètres d’altitude, au milieu de la merveilleuse province du Yunnan ! Ici la seule clim est l’atmosphère, gratuite et merveilleuse pour la santé 😉
    Kadour

  4. Je suis vraiment peinée pour vous, Christine Treille .
    Je vous fais un gros câlin !

    Bizarre, cette façon de se défouler sur un site de DDV bénévoles.
    Quel branle-bas de combat pour si peu…
    Ou, comme le disait Shakespeare :
    “Much Ado About Nothing”

    Au fait, où est-il donc ce texte ?
    Je ne le trouve pas sur le site.
    J’aimerais bien le lire, moi, car j’ai beaucoup aimé “Des Amours Malades”.

    Vivement la brise fraîche pour aérer les esprits 🙂

  5. À Christine Treille,

    Oh-la-la, quelles excuses à faire et à qui ?

    Retirez votre texte momentanément et …retour lorsqu’il sera revu. Anne Susini n’a pas parlé de la qualité de votre texte mais de l’agacement procuré par les erreurs de syntaxes -pour faire court- et autres coquilles. Je l’aurais dit autrement mais j’aurais sans doute eu la même réaction.
    Le style, c’est autre chose. Qui peut en juger, sinon les lecteurs ou les audio-lecteurs ?

    Si je ne suis pas toute seule, je vous propose de prendre en charge une partie de la relecture. Bien entendu seulement sur le plan orthographe /syntaxe.
    Nul n’est à l’abri d’une erreur mais je pense être fiable et j’ai déjà l’expérience de ce genre d’exercice.

    Avanti ! Si rallegri e al lavoro ! Agnès.

  6. À Christine Setrin Chère Christine,

    Très respectueusement, je pense qu’adresser un message privé à Christine Treille aurait été plus approprié que d’exposer publiquement ce qui relève de vos modes de fonctionnement internes et d’en remettre une couche sur les imperfections de son texte.
    Christine Treille me paraît à la longue affectée par tout ce ramdam et c’est dommage.
    D’autant que ces débats -parfois réjouissants- ont eu le mérite de réveiller un livre d’or un peu ronronnant.

    Sur le fond, OUI au rappel à la qualité mais je continue à considérer le message d’Anne Susini comme agressif. Là était l’UNIQUE question. Rejointe sur ce terrain par “Melle Ling” et son étude comparée tout en nuances des systèmes d’éducation en France et en Chine.
    J’avais envie de dire à Kadour de ne pas tant s’échauffer mais… il faisait trop chaud.
    Comment ? Non, je n’ai pas la clim ! Merci à tous les DDV.

  7. Bonsoir à tous, bonsoir chère Christine Sétrin,

    Je suis navrée que mes erreurs aient occasionné autant de polémiques.
    Après avoir lu votre longue réflexion dont je vous remercie, Christine, je vous fais part à mon tour de ma pensée.
    Les DDV ont déjà beaucoup de travail et je ne sais pas si ils ont envie de se mettre à corriger un texte qui peut être long. Ma nouvelle était courte mais on nous propose aussi des romans et je pense qu’il est difficile qu’un DDV ait le temps de tout corriger, tant l’orthographe que le style. Dans ce cas me direz-vous cela vaut-il la peine de proposer des textes contemporains qui ne soient pas passés déjà par une maison d’édition ou corrigés par une personne de confiance? Je ne sais pas. S’il peut être aisé pour une personne qualifiée de corriger des erreurs orthographiques, est-il aussi simple d’évaluer un style? Personnellement je ne m’en sens pas capable.
    En outre je me rends compte que je n’ai pas le talent pour présenter des textes impeccables, n’écrivant qu’en amateur.
    Par respect pour nos auditeurs et pour nos lecteurs je comprends parfaitement cette recherche de grande qualité. N’étant pas capable de l’offrir ni comme correctrice ni comme “écrivain” je préfère donc tout d’abord retirer “La Bibliothécaire”, le texte incriminé, et ensuite me retirer comme critique d’autres auteurs.

    Lire pour les autres est un plaisir immense et je serai tout à fait satisfaite et comblée en ne faisant que cela.

    Je tiens à présenter mes excuses à tous les DDV qui m’ont fait confiance même si je ne la méritais pas ainsi qu’aux membres de L.A qui ont pu être blessés par ma faute.

    Je suis certaine que cet épisode ne diminuera en rien la joie qu’ont nos audiolecteurs à fréquenter ce site splendide et c’est à eux que je souhaite pour terminer un excellent séjour parmi nous!

    Christine Treille

  8. Ouf, quel long débat que voici et que d’idées sous-jacentes… en espérant que tout cela ne nous vaudra pas les foudres de l’Éducation Nationale, de la Chine, ou des habitants de l’Hérault !!!

    Avant de lire ce qui va suivre, chère Christine, ne le prenez surtout pas comme un sujet personnel: il s’agit d’une suite d’idées d’ordre général sur lesquelles j’ai réfléchi tout au long de la journée à la lecture des commentaires envoyés et que je souhaite partager avec vous tous. 🙂

    Je voulais signaler que, à mon avis, le coup de gueule d’Anne Susini n’est pas dirigé à Christine Treille, mais plutôt à nous tous, donneurs de voix qui, par confiance, camaraderie, amitié, sommes prêts à valider un texte « les yeux – ou la boîte 😉 – fermés(e) », surtout lorsque celui ou celle qui le propose est quelqu’un de « connu » sur le site (donneur de voix, auteur déjà lu en d’autres occasions…). Je crois que ce coup de gueule est une invitation à nous interroger sur notre démarche au moment de d’accepter un texte contemporain. Il est très rare que quelqu’un signale des fautes – coquilles, fautes de syntaxe… – et nous avons pris l’habitude confortable de valider un texte lorsque l’histoire nous plaît, mais sans trop nous attarder sur la syntaxe, la grammaire ou l’orthographe. (Seul notre camarade Aegidius le fait parfois, épluchant à la virgule près les textes soumis 🙂 ). Or nul d’entre nous n’est à l’abri de fautes de syntaxe ou de coquilles et je pense que ce serait rendre un service à l’auteur, que de lui faire parvenir – en public ou en privé – des suggestions de corrections. L’un d’entre vous, ci-dessous, a émis l’idée que Anne Susini aurait dû envoyer un message privé pour proposer des corrections. Mais, parmi les personnes qui ont voté « Oui » à ce texte, lesquelles ont entrepris cette démarche ? Ne serait-ce pas à nous, donneurs de voix qui allons valider un texte, de le lire avec attention et d’en signaler les éventuels défauts ? Après tout, lorsqu’une maison d’édition s’intéresse à un texte, elle va se livrer à tout un travail de relecture ou de correction avant de le publier. L’objectif du comité de validation sur notre site ne devrait-il pas être le même, afin d’une part d’éviter à l’auteur ce genre de situation désagréable, et d’autre part de garantir la qualité de l’écriture des textes que nous allons proposer sur le site, non seulement en audio, mais aussi en format écrit, car, nous le savons bien, de nombreux auditeurs souhaitent avoir le texte écrit sous les yeux pendant qu’ils écoutent. Parmi ces auditeurs, il y a des étudiants, des étrangers qui apprennent le français ; ne devons-nous pas leur offrir des textes impeccables du point de vue d ela langue française ?
    Je remercie donc Anne Susini pour son message qui, je l’espère, nous invitera à réfléchir et à prendre encore plus au sérieux – pour le bien de tous – notre tâche de validation de textes contemporains.

    Je remercie aussi Melle Ling pour son commentaire qui nous invite à accepter avec humilité la critique, en particulier lorsqu’elle vient de ceux qui en savent plus que nous. En tout cas, je ne suis pas trop sûre que ce commentaire, somme toute courtois, justifiait des réponses géo-historico-politiques sur son pays aussi enflammées… 🙂 J’espère, Melle Ling que vous continuerez à nous écouter avec plaisir, sans trop tenir compte de nos débats échauffés, (sport typiquement latin des jours de canicule 🙂 ) !!!

    Bonne soirée à tous,

    Ch.

    PS : Pour répondre à la question qui ne manquera pas de m’être posée : non, surtout pas de clim’. Juste ça. C’est plus traditionnel et c’est écologique 😛 !!!

  9. À Jean-Pierre
    Je vous conseille, comme lecture sur la plage, un bon traité législatif sur les droits des personnes atteints par la maladie d’Alzeihmer de signer des papiers officiels ou concernant l’héritage des biens. Si vous ne l’avez pas dans votre bibliothèque, vous pouvez le trouvé dans une bibliothèque publique qui grâce à l’abnégation de la bibliothécaire reste ouverte pendant le weekend. Bonne lecture.

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