La Femme en blanc, roman à sensation (« sensation novel ») ou à suspense, dont le succès ne s’est jamais démenti depuis sa parution en 1860, conte l’histoire très romantique d’un bel amour contrarié, qui tient à la fois du « thriller » – le mot n’avait pas encore été inventé – et de l’intrigue policière.
Walter Hartright, jeune professeur de dessin, tombe amoureux d’une de ses élèves, la jolie Laura Fairlie, hélas déjà promise par son père à Sir Percival Glyde, qu’elle déteste et qui l’épouse dans le seul but de lui extorquer sa fortune. Il y parviendra, du reste, avec l’aide de son ami italien, le Comte Fosco, et par le biais d’une sombre machination fondée sur la ressemblance physique étonnante entre deux jeunes femmes : Laura, la malheureuse épouse, et Anne Catherick, la mystérieuse « femme en blanc » rencontrée naguère en pleine nuit et sur une route déserte, par le héros, alors qu’elle venait de s’échapper d’un asile d’aliénés, où elle affirmait avoir été frauduleusement incarcérée. C’est la scène la plus célèbre du roman.
Après bien des épreuves et d’innombrables péripéties et rebondissements – parfois mortels -, les efforts conjugués de Walter Hartright et Marian Halcombe, maîtresse femme toute dévouée à sa demi-soeur Laura, auront-ils finalement raison de la scélératesse et de la turpitude des deux « méchants », Percival et Fosco ? C’est ce combat sans merci et longtemps indécis, qui fait l’objet de la troisième et dernière « époque » du roman.
On raconte que Gladstone (1809-1898), chef de file du parti libéral et quatre fois premier ministre, renonça inopinément à une soirée au théâtre prévue de longue date, afin de pouvoir achever la lecture du roman et connaître la fin de cette passionnante histoire !
Un très grand merci pour cet immense travail, et le très grand bonheur qu’il m’a apporté. elisabeth
Merci de tout cœur, Marie.
Cher monsieur Rannou, vous m’enchantez, vous écouter me repose,grande relectrice, je ne peux me passez de lire, avec vous je ne me prive pas..merci.
Merci à vous, Dominique. J’ai enregistré ce roman voici deux ans et je commence déjà à l’oublier! Il me semble que ma voix ne s’est pas améliorée depuis!
Je tiens à vous remercier mille fois, votre voix m’a transportée au coeur de ce roman. En tant que “donneur” de voix, dans la vôtre il y a ‘don’ (de votre temps et de vous-même) et il y a ‘DON’ tout court … Merci, encore merci ..
Merci à vous, chère van den bogaert. Content de savoir que ma voix accompagne votre travail.
Un grand merci, vous participez à ma rêverie et à mon travail de dessinatrice…Quel plaisir de suspendre le temps avec vous. J’apprécie particulièrement votre voix posée, expressive et calme. MERCI !
Merci beaucoup, fasseli.
Merci infiniment pour ce colossal travail! J’apprecie particulièrement votre diction en français et votre très bel accent en anglais. a très bientôt ,j’éspère dans de nouvelles aventures!
A mon tour de vous remercier, Christine. les donneurs de voix connaissent des moments de fatigue et ont besoin d’être encouragés.