Ce récit (autre titre : Le Chapeau chinois ) amusant et tragique à la fois est à ajouter aux six Contes cruels déjà enregistrés du même auteur.
« Messieurs, reprit le chef d’orchestre, la France ne saurait prendre sur elle de tronquer, par une exécution défectueuse, la pensée d’un compositeur… à quelque nation qu’il appartienne. Or, dans les parties d’orchestre spécifiées par l’auteur, figure… un instrument militaire aujourd’hui tombé en désuétude et qui n’a plus de représentant parmi nous ; cet instrument, qui fit les délices de nos pères, avait nom jadis : le Chapeau-chinois. Je conclus que la disparition radicale du Chapeau-chinois en France nous oblige à décliner, quoique à regret, l’honneur de cette interprétation. […] »
Un des Contes cruels d’Auguste de Villiers de L’Isle-Adam…
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