Victor Segalen (Brest, 1878 – forêt de Huelgoat, 1919) fut médecin, poète, romancier, ethnographe, explorateur, à la recherche perpétuelle d’un « ailleurs » que la Polynésie et la Chine lui offriront en partie. Après une vie aussi courte qu’intense, il finira ses jours seul, mortellement blessé, dans la forêt de Huelgoat, Hamlet à la main.
René Leÿs, évocation imaginaire tirée de sa rencontre réelle avec un professeur de chinois pendant son séjour en Chine, tient à la fois du journal, du roman policier et du récit d’initiation. La narration repose ici sur le mystérieux tête-à-tête entre deux personnages – René Leÿs et le narrateur – dans le Pékin impérial du 20ème siècle commençant.
N.B. : Si le texte original est monobloc sous forme de journal, la structuration en 14 chapitres correspond simplement aux contraintes personnelles du donneur de voix.
Maurice Ravel, Menuet antique, interprété par Luis Sarro (domaine public).
quel plaisir
si je peux me.permettre votre voix est si marquante que meme dans le.palais de l empereur j ai l.impression qu un autre heros va intervenir et que l on va vous entendre dire
MANDRIN….
La lecture de Segalen constituait aussi pour moi la découverte d’un auteur et d’un univers; je suis ravi de pouvoir partager ce voyage littéraire avec vous et vous remercie d’avoir pris le temps du commentaire.
Merci Christian de cette belle lecture et de cette découverte si heureuse d’une belle écriture forçant l’exotisme et le rêve d’une Chine mystérieuse.
J’avoue y avoir trouvé de nombreuses fois la magie d’un rècit à la Joseph Kessel et même si celui-ci devient par moment peu plausible on reste dans une belle description d’une psychologie étrange entre passion intérieure et mythomanie.
Votre voix a donné beaucoup de noblesse à ce texte que j’ignorai ainsi que son auteur merci à vous pour ce choix de lecture et de. Votre parfaite diction
René-Pierre
Au plaisir, Le Barbon, de vous retrouver entre de nouvelles pages et merci encore.
Merci, Christian Dousset, pour cette lecture qui me semble prometteuse.
Vos qualificatifs, Pétronine, me semblent bien convenir pour le ton d’une oeuvre “déroutante” parfois et “addictive” par la suite, dont l’interprétation ne m’a pas toujours semblé évidente au premier abord, pour aller dans le sens de Laurent. En tous cas, merci d’avoir pris le temps du commentaire.
C’est dommage ; j’aime beaucoup votre René Leÿs. Lire Segalen n’est pas facile ; merci encore pour cette belle interprétation.
Merci pour ce très beau texte, passionnant.
J’avais essayé auparavant, à la médiathèque, 2 fois, de lire Victor Segalen et je ne comprenais rien …
J’ai aimé votre lecture, empreinte, à mes oreilles d’un ton un peu mystérieux, à part, déroutant et ensuite “addictif”. Je suis vraiment contente !
Bravo.
Merci, Laurent, d’avoir pris le temps du commentaire; je crains qu’il vous faille faire preuve d’un peu de patience à nouveau car j’ai de gros chantiers prévus cette année. Merci, néanmoins de votre fidélité.
Je l’attendais avec impatience, merci ! Nous donnerez-vous Les Immémoriaux ?