Quatrième partie de L’Art d’être grand-père où Hugo aborde Dieu, l’enfance, l’infiniment charmant et l’infiniment grand :
« J’y vais étudier deux gouffres, Dieu, l’enfance,
Le tremblant nouveau-né, le créateur flagrant,
L’infiniment charmant et l’infiniment grand,
La même chose au fond ; car c’est la même flamme
Qui sort de l’astre immense et de la petite âme. […] »
01 :
Piotr Ilitch Tchaïkovski, The Nutcracker, Op 71a, interprété par The NBC Symphony Orchestra, dirigé par Arturo Toscanini (1951, domaine public).
02 :
Camille Saint-Saens, Carnaval des animaux, Marche du lion, interprété par Geza Anda et Béla Sik (solistes) et Philharmonia Orchestra, dirigé par Igor Markevitch (1954, domaine public).
03 Ce que dit le public :
Claude Debussy, Children’s Corner, Golliwog’s Cake-Walk Golliwog’s Cakewalk, interprété par Robert Casadesus (1950, domaine public).
04 À Georges :
Claude Debussy, Prélude à l’après-midi d’un faune, interprété par Philharmonia Orchestra, dirigé par Igor Markevitch (1954, domaine public).
05 Encore Dieu mais avec des restrictions :
Gabriel Fauré, Pelléas et Mélisande, Sicilienne, interprété par Detroit Symphony Orchestra, dirigé par Paul Paray (1954, domaine public).
06 À Jeanne :
Camille Saint-Saens, Carnaval des animaux, Aquarium, interprété par Geza Anda et Béla Sik (solistes) et Philharmonia Orchestra, dirigé par Igor Markevitch (1954, domaine public).
07 :
Wolfgang Amadeus Mozart, Piano Concerto Nº 23, Adagio, interprété par Arthur Rubinstein (soliste) et Orchestra della Radio-Televisione della Svizzera Italiana, dirigé par Otmar Nussio (1952, domaine public).
08 :
Edvard Grieg, Peer Gynt, Suite 01, Mort d’Ase, interprété par Royal Philharmonic Society et Beecham Choral Society, dirigé par Thomas Beecham (1957, domaine public).
09 :
Hector Berlioz, Symphonie Fantastique, Songe d’une nuit de sabbat, interprété par Boston Symphony Orchestra, dirigé par Georges Prêtre (1958, domaine public).
10 :
Richard Wagner, Parsifal, Prélude Acte 1, interprété par Orchester der Bayreuther Festspiele, dirigé par Hans Knappertsbusch (1951, domaine public).
Merci, Madame, pour cette belle lecture et ce beau choix musical.
Cher Nabuchodonosor ,
Merci infiniment pour ce gentil message qui me touche beaucoup.
Mais savez vous qu’il existe déjà sur ce site plusieurs contes des 1001 nuits lus par Jean-Luc Fischer ?
Je suis certaine que ces lectures vont vous séduire .
Très amicalement
Juliette
Je répond souvent avec retard aux messages très aimables que vous avez la gentillesse de faire sur mes lectures , ce n’est nullement indifférence de ma part , juste petit souci technique .
Cependant c’est de tout cœur que je vous remercie.
Juliette
Merci bien chere Juliette,les 2 sont adorables la poesie et la recitation.je n’ai jamais entendu de plus delicieux.
j’espere que tu raconte les 1001 nuit avec de la musique orientale.
Avec tout mon respet
Chère Juliette, je romps notre promesse de ne plus nous écrire de commentaire… car il me faut le dire, crier bien haut que votre exigence, votre désir de perfection, autant dans votre lecture que dans le choix et la mise en place des musiques, font de ce Jardin un lieu enchanteur dans lequel il est délicieux de se promener.
Avec toute mon admiration, Pomme.
Si tu as un peu de temps, essaie d’ecouter ce delicieux poeme de V.Hugo. Je me delecte!
Bisous
Jacqueline