Voici trois poèmes de Thierry Cabot, poèmes pleins de joie et d’espérance :
« Les vents clairs s’étoilaient de lunes magnifiques
L’aurore en se voilant s’enivrait de douceur ;
L’azur qui s’avançait avec des mains de sœur
Se délectait pour nous d’incroyables musiques. »
L’Âge d’or
Pierre-Auguste Renoir, Torse, effet de soleil (1876).
Confidence automnale :
Wolfgang Amadeus Mozart, Concerto 03 pour violon et orchestre en sol majeur, interprété par Jacques Thibaud et l’Orchestre Lamoureux sous la direction de Paul Paray (1947, domaine public).
La Reine de Beauté :
Wolfgang Amadeus Mozart, Quatuor 10 en do majeur pour deux violons alto et violoncelle, interprété par le Quatuor Barchet (1950-1955, domaine public).
L’Âge d’or :
Franz Liszt, Poème symphonique 03, Les Préludes, d’après un poème d’Alphonse de Lamartine, interprété par l’Orchestre Philharmonia sous la direction de Herbert von Karajan (1959, domaine public).
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