« Ceci est l’histoire de mes amours de l’hiver dernier, et la raison pourquoi je suis admirateur des romans chinois. » est la conclusion de ce Conte humoristique que Gautier s’amuse à écrire et qu’il appelle Histoire perplexe.
« L’hiver dernier, je rencontrais assez souvent dans le monde deux sœurs, deux Anglaises ; quand on voyait l’une, on pouvait être sûr que l’autre n’était pas loin ; aussi les avait-on nommées les belles inséparables.
Il y en avait une brune et une blonde, et, quoique sœurs jumelles, elles n’avaient de commun qu’une seule chose : c’est qu’on ne pouvait les connaître sans les aimer, car c’étaient bien les deux plus charmantes et, en même temps, les deux plus dissemblables créatures qui se soient jamais rencontrées ensemble. »
James Sant, Ida et Ethel (1884).
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