Ce conte mythologique égyptien de Gustave Téry (1870-1928) est paru dans La Nouvelle Revue en 1894.
« Le soleil s’éteignait dans le fleuve. Au long des eaux, qu’empourprait son sang divin, des flamants rêveurs le regardaient mourir, immobiles sur leurs longues pattes roses. Le grand-prêtre songeait, étendu devant sa maison.
– Qu’importe le destin ! L’amour vaut bien qu’on l’achète au prix de la mort. Qu’Osiris me laisse quelques jours goûter aux lèvres d’Ahouri, et quand il m’ordonnera de partir, j’obéirai sans murmure, car, ainsi que l’a prédit Nephthys, j’aurai connu les joies de la terre.
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Livre audio gratuit ajouté le 11/10/2018.
Je n’avais pas pensé à çà, Adriana au magnifique prénom !
cher daniel: prenez en compte que je ne suis pas une francophone…merci pour les commentaires, bien sur que j’irais revenir. La musique de votre voix est très captivante
J’ai bien peur, Adriana, que ce soit à prendre ou à laisser : c’est mon style naturel, plus rapide certes, mais aussi, en tout cas je l’espère, plutôt allant ! Je vais essayer néanmoins de prendre note de votre (gentil) petit mot !
A bientôt (peut-être…).
l’histoire est intéressante, la voix a un ton mystérieux qui se mélange bien.
mais je ai trouvé le rythm un peu trop rapide.
merci!