Les Mystères de Paris est le roman fleuve d’Eugène Sue, publié sous forme de feuilleton dans Le Journal des débats entre juin 1842 et octobre 1843. Le récit suit le personnage de Rodolphe, le grand-duc de Gerolstein, venu à Paris à la recherche de sa fille disparue, accompagné par ses amis Sir Walter Murph, un Anglais, et David, un médecin noir doué, ancien esclave. Déguisé en ouvrier, il découvre les rues de la capitale et de ses environs permettant à l’auteur de dresser un inventaire géographique et social de la région parisienne du XIXe siècle. Mais cette exploration se prolonge d’une réflexion sur le Bien et le Mal et les manières d’inciter au premier tout en combattant le second.
La mention « (Version 2) » à la suite du titre indique qu’il existe sur notre site un autre enregistrement de ce même texte, effectué par un donneur de voix différent. Voir aussi : Version 1.
Je suis bien d’accord avec Claryssandre Luttringer: quel fabuleux lecteur ce Daniel!
Ludivine
je désirerais avoir l’audio car je ne
peux plus écrire ni LIRE
merci d’avance
La générosité de vos commentaires, Claryssandre et Louison, me laissent sans voix (enfin, sans voix, vaudrait mieux pas…!)
Je suis tout à fait d’accord avec vous Clarissandre! quelle fabuleuse lecture! et quel divin lecteur ce Daniel!
MERCI MERCI MERCI
Un immense Bravo
L’oeuvre existe depuis près de 190 ans, et voyez, Manon, comme elle poursuit tranquillement son existence !
Merci Monsieur Luttringer ! Grâce à vous je découvre Eugène Sue et les Mystères de Paris. Merci de nous faire partager les romans que vous aimez. L’écoute en est très agréable.
Merci à vous, Florette, et, notamment, de na pas dévoiler la fin. Marie la découvrira le moment venu, probablement non sans une certaine stupeur…
Quel courage Monsieur Luttringer d’avoir lu ce “pavé”. Je l’ai lu il y a trente ans et j’avoue que je n’avais pas trop le courage de m’y remettre. Avec vous, c’est chose faite. De longues heures d’écoute pendant que je taillerai les vignes.
Mais contrairement à Marie, je connais la fin et je m’en souviens. Hé hé !!! Merci beaucoup.
Le début est captivant. C’est sombre bien sûr, mais sans complaisance dans la noirceur, comme on le fait beaucoup trop aujourd’hui à mon goût.
On pressent une fin heureuse. J’adore.
43h de pur délice.
Grâce à vous Monsieur Luttringer.
Avec toute ma reconnaissance,
Marie