Rodolphe, personnage mystérieux au début du roman, s’attelle à rétablir une forme de justice sociale dans le Paris du XIXe siècle. Il croise donc des travailleurs pauvres aussi bien que des criminels, voulant récompenser les bons et punir les méchants.
Le début de la deuxième partie : « La maison que possédait Rodolphe dans l’allée des Veuves n’était pas le lieu de sa résidence ordinaire. Il habitait un des plus grands hôtels du faubourg Saint-Germain, situé à l’extrémité de la rue Plumet.
Pour éviter les honneurs dus à son rang souverain, il avait gardé l’incognito depuis son arrivée à Paris, son chargé d’affaires près de la cour de France ayant annoncé que son maître rendrait les visites officielles indispensables sous les nom et titres de comte de Duren.
Grâce à cet usage fréquent dans les cours du Nord, un prince voyage avec autant de liberté que d’agrément, et échappe aux ennuis d’une représentation gênante.
Malgré son transparent incognito, Rodolphe tenait, ainsi qu’il convenait, un grand état de maison. Nous introduirons le lecteur dans l’hôtel de la rue Plumet le lendemain du départ du Chourineur pour l’Algérie. »
Grand merci monsieur Luttringer.
Et vous dites dix tomes !
J’espère vivre assez longtemps pour pouvoir lire la fin. 🙂
Oui, oui, Fabien, la troisième partie dans quelques jours. Il y en a 10 en tout. A bientôt.
Merci pour votre lecture très agréable.
Mais, je crois que l’histoire n’est pas terminée, aurons-nous le privilège d’écouter la suite ?
Petite confidence, Marie, à tout hasard : le Livre premier (version solo) est disponible sur l’autre site…
A cœur vaillant… et vous l’êtes, sans aucun doute.
Super! j’attendais la suite du tome 1 depuis de longs mois. Merci!
Très bien, Marie, sauf que : puis-je lutter, tout seul comme un grand, avec le tonitruant collectif du Livre Premier ?
Quelle bonne idée de poursuivre la lecture des “Mystères de Paris” ! Je n’avais pas téléchargé le livre 1 faute de suite disponible sur LA.
Merci mille fois.
Marie
On va essayer de vous proposer la suite dans un délai raisonnable, Ceusette !
Merci pour cette lecture palpitante en perspective!