Rodolphe, personnage mystérieux au début du roman, s’attelle à rétablir une forme de justice sociale dans le Paris du XIXe siècle. Il croise donc des travailleurs pauvres aussi bien que des criminels, voulant récompenser les bons et punir les méchants.
Le début de la deuxième partie : « La maison que possédait Rodolphe dans l’allée des Veuves n’était pas le lieu de sa résidence ordinaire. Il habitait un des plus grands hôtels du faubourg Saint-Germain, situé à l’extrémité de la rue Plumet.
Pour éviter les honneurs dus à son rang souverain, il avait gardé l’incognito depuis son arrivée à Paris, son chargé d’affaires près de la cour de France ayant annoncé que son maître rendrait les visites officielles indispensables sous les nom et titres de comte de Duren.
Grâce à cet usage fréquent dans les cours du Nord, un prince voyage avec autant de liberté que d’agrément, et échappe aux ennuis d’une représentation gênante.
Malgré son transparent incognito, Rodolphe tenait, ainsi qu’il convenait, un grand état de maison. Nous introduirons le lecteur dans l’hôtel de la rue Plumet le lendemain du départ du Chourineur pour l’Algérie. »
Je ne me serais jamais lancer dans cette lecture, alors quelle chance de profiter de votre voix !
J’y trouve beaucoup d’intérêt : l’argot y est truculent, les descriptions des quartiers de Paris, étonnantes…
Un vrai plaisir, merci.
Je ne pensais en écouter que le premier livre, eh bien, je continue. Moi qui n’aime pas les tâches ménagères, ça me motive.
Ah, une fois qu’on est lancé dans Les Mystères de Paris… Merci, Catherine, et bonne suite !
Transmettre pour partager, Véronique, est ma grande joie !
Un immense merci pour ces 43 heures de bonheur passées à vous écouter cher Daniel ! quelle belle et palpitante histoire.
Encore merci pour cette belle culture littéraire que vous nous transmettez de manière si agréable!
Très bonne continuation à vous et encore MERCI!