Le début de la dixième (et dernière) partie :
« Le prince Henri d’Herkaüsen-Oldenzaal au comte Maximilien Kaminetz.
Oldenzaal, 25 août 1840.
J’arrive de Gerolstein, où j’ai passé trois mois auprès du grand-duc et de sa famille ; je croyais trouver une lettre m’annonçant votre arrivée à Oldenzaal, mon cher Maximilien. Jugez de ma surprise, de mon chagrin, lorsque j’apprends que vous êtes encore retenu en Hongrie pour plusieurs semaines.
Depuis quatre mois je n’ai pu vous écrire, ne sachant où vous adresser mes lettres, grâce à votre manière originale et aventureuse de voyager ; vous m’aviez pourtant formellement promis à Vienne, au moment de notre séparation, de vous trouver le premier août à Oldenzaal. Il me faut donc renoncer au plaisir de vous voir, et pourtant jamais je n’aurais eu plus besoin d’épancher mon cœur dans le vôtre, mon bon Maximilien, mon plus vieil ami, car, quoique bien jeunes encore, notre amitié est ancienne, elle date de notre enfance. »
Petite précision, Véronique : je reprendrai l’ouvrage depuis le début et le publierai Livre par Livre. A bientôt !
Ah, Don Quchotte!!!! Quelle merveilleuse nouvelle Daniel! Je m’apprêtais à vous demander si vous ne connaissiez pas quelqu’un dans votre proche entourage qui serait intéressé pour lire la suite de ce magnifique roman inachevé . Quelles longues heures de bonheur en perspective donc!
BRAVO et encore MERCI cher Daniel !
Irrésistible Claryssandre !
“A l’impossible nul n’est tenu” ! Mais “qui ne tente rien n’a rien”. Juste une proposition. Vous m’avez déjà tant gâtée, j’ai pris de mauvaises habitudes. Je suis (presque ?) confuse.
Stop ou encore, Claryssandre !?
Correction : Vies de deux chattes
Une petite suggestion en passant… La vie de deux chattes de Pierre Loti. Bon week-end.
Vous parlez d’or, Daniel !
Tant qu’elle est là, Jipébé !
En effet, Daniel. Quelle santé !