Après les terribles evenements de la deuxième partie, Van Helsing rencontre Mina et Jonathan, et comprend que le monstre qu’il a essayé de combattre n’est autre que le Comte Dracula, fraîchement débarqué à Londres. Tandis que tous les chasseurs de vampires, logés à l’institut du Docteur Seward, tentent d’enquêter et de s’organiser, le patient Renfield change étrangement de comportement, tentant de les avertir d’un danger qu’ils ne voient pas…
Dracula est un mythe littéraire, un roman épistolaire d’une incroyable diversité, qui fait peser, sur un univers victorien discrètement critiqué, la menace d’un mal archaïque et tout-puissant. Monstre gentleman, aussi cruel que raffiné, noble, protéiforme, entêté, inexorable, solitaire, amoureux à sa manière, Dracula exerce toujours la même fascination après plus d’un siècle.
Journal de Jonathan Harker et générique :
Hector Berlioz, Symphonie Fantastique, Op. 14, « Songe d’une nuit du sabbat », interprété par Colin Davis et l’ensemble London Symphony Orchestra (1963, domaine public).
Journal de Mina Murray :
Gabriel Fauré, Requiem, Op. 48 (European Archive, domaine public).
Journal du Dr. Seward :
Johann Sebastian Bach, The Well Temprerd Clavier, Book I, BWV 846-869 – Prélude in Fugue un C minor (European Archive, domaine public).
Merci Emilieemilie, je me sens beaucoup mieux, prête à mordre ma traduction à pleines dents…
Chère Murielle S, merci ! voici un compliment immérité mais qui me réjouit par son enthousiasme ! Quand j’étais petite, j’avais pour ma part la version française de Mary Poppins, qui chantait : “supercalifragilisticexpidelilicieux”… Vous m’avez remis la chanson en tête !
supercalifragilisticexpialidocious !!!
Vous êtes formidables tous les deux, c’est la meilleure lecture jamais lue sur le site !!
Pauline si vous avez un draculovirus c’est moindre mal et je vous conseille pour aller mieux de traduire et de traduire… c’est un très bon remède contre toute forme de langueur.
Merci Frederik !
Nous avons déjà attaqué la quatrième et dernière partie.
A bientôt
Toujours une merveille…
Merci à vous deux et à toute l’équipe de litteratureaudio, Merci !
Merci mes chers amis, pour votre sollicitude et votre esprit ! Comme je le disais à Vincent, mon état languide et légèrement hagard n’est pas sans rappeler celui des victimes du Comte… un draculavirus, en somme – je compte sur toute votre indulgence pour ce mauvais jeu de mots auquel seule ma fièvre pourra donner quelques circonstances atténuantes…
Ce n’est que ce bloody Saturday night fever chez Dracula. Je vous prédis 37,2 le matin, chère Pauline.
Prenez soin de vous !
Chère Pauline, je pense bien fort à vous en espérant qu’il ne s’agit que d’une fausse alerte et que tout ira bien pour vous ! Plein d’ondes positives ! Bien amicalement.
Merci beaucoup, Fabrice, emilieemilie et daniell ! J’espère que vous avez été sensibles aux dernières minutes du dernier chapitre… La traduction, l’accompagnement musical et l’interprétation de Vincent ont été particulièrement soignés pour votre plaisir !
Vos commentaires me réconfortent particulièrement car j’ai une fièvre bien suspecte… et je vais essayer de profiter de mon oisiveté doublement forcée pour avancer dans ma traduction…