Au fil de ces dix nouvelles, nous retrouvons des personnages aussi pittoresques que Strickland ou Mulvaney ou l’antipathique Madame Reiver. Kipling raconte les rebondissements dus aux rivalités entre fonctionnaires ou militaires de l’Empire britannique. Il dresse aussi de beaux portraits attendrissants et émouvants avec en arrière-plan sa compassion pour la condition des femmes de son époque.
Voir aussi : Partie 1 ; Partie 2.
Lecture de l’ouvrage publié aux Éditions Sillage (ISBN 9782916266404).
Certaines de ces nouvelles ont déjà été lues par Saperlipopette dans d’autres traductions : ainsi Le Paria, lu sous le titre Bisesa, et L’amendement Tods.
William Strang – Portrait de Rudyard Kipling (gravure et aquatinte). Frontispice de l’ouvrage Thirty etchings, illustrating subjects from the writings of Rudyard Kipling (London: Macmillan and Co., 1901).
Merci à vous, chère Thérèse pour cette nouvelle série des “Petits contes des collines” de Kipling des plus intéressants.
Merci beaucoup Thérèse j’aime bien ces petits contes des collines. À bientôt