Dans ce bref texte paru en revue en 1926 et destiné au grand projet autobiographique inachevé Le Voyage intérieur, Romain Rolland ne cherche pas tant à résumer la pensée de Spinoza qu’à transmettre, avec le lyrisme qui lui est propre, le choc de la découverte de l’éthique durant son adolescence, « l’éclair » que fut pour lui la philosophie du grand Baruch.
Bien avant Gilles Deleuze, Romain Rolland esquisse en conclusion un surprenant parallèle entre Spinoza et Nietzsche, et achève son texte par un extrait de l’Ode à la joie du poète allemand romantique Friedrich von Schiller, subliminal clin d’œil à cette autre figure majeure de son panthéon personnel, Beethoven, qui immortalisa ce poème dans le finale de sa 9e symphonie…
Magnifique. Merci
Merci beaucoup
Très belle lecture ! Merci .
Fondamental! Céleste!
Merci cher Duvan Uzan pour votre mot !
Merci cher Cypien pour votre admirable lecture ainsi que pour le choix de ce texte que je ne connaissait pas .
merci aussi pour Plutarque que je viens d’écouter
bon courage
Merci à vous, Georje !
J’aime beaucoup votre lecture.