A la mort de monsieur Dariole, toute la ville de Montélimar apprit avec étonnement que le défunt léguait à un inconnu sa belle propriété de la route de Sauzet. L’héritier était un cousin de monsieur Dariole, mais les deux hommes, sans être fâchés, ne se voyaient plus depuis longtemps.
Monsieur Magloire se présente donc pour recueillir la succession. Il décide de mettre sa propriété en viager et, gai et aimable, ami avec tout le monde, il passe quelques années, dans la joie de vivre, à Montélimar.
Mais un jour, à la stupéfaction de toute la ville, monsieur Magloire est retrouvé pendu dans son salon. Suicide ? Un homme si visiblement très heureux ? Mais que signifie ce papier, trouvé dans la poche du mort, contenant ces simples chiffres : 131.313. Les doutes se précisent. Et le Parquet fait appel au génial policier, Monsieur Rosic, pour débrouiller cette affaire, qui apparaît comme de plus en plus complexe.
Couverture de l’édition originale de 1935.
Bonjour… COCOTTE
Réécouté et réapprouvé…
Cordial salut…
Bonjour, estimé Sautillant
Re – Re – Re Merci encore pour votre re – re – re – approbation.
Elle me touche vraiment.
Salutations distinguées
Cocotte