Un poème d’une simplicité apparente.
D’un lyrisme contenu et efficace.
Entre le corps et le sentiment.
Rimbaud n’a que seize ans.
Rupture avec l’ingénuité enfantine.
Du paysage extérieur au paysage intérieur.
Une ascension spirituelle et contemplative
qui transcende l’espace et le temps.
Illustration :
Maison des Ailleurs, 7 quai Arthur Rimbaud, à Charleville-Mézières.
La famille Rimbaud l’habita de 1869 à 1875. Musée depuis 2004.
Ambiance musicale :
Félix Mendelssohn, Romances sans paroles, Livre VII,
Andante espressivo en fa majeur, op. 85 n° 1, interprété par le pianiste
Daniel Gortler. Avec l’aimable autorisation de l’artiste.
La mention « (Version 3) » à la suite du titre indique qu’il existe sur notre site un autre enregistrement de ce même texte, effectué par un donneur de voix différent. Voir aussi : Version 1, Version 2.
Merci !
Je découvre votre site, je le trouve fabuleux. Quelle émotion d’entendre ce poème de Rimbaud et de voir son écriture. Merci aux concepteurs !
C’est très bien lu, la musique est très bien choisie,merci car c’est très beau !!!
lire et écouter le poème chose sensatinnelle.
Très jolie interprétation pour un très beau texte, sur une musique extrêmement bien choisie. Merci !
Merci merci pour cette belle interprétation du poème de Rimbaud que vous nous donne. Nous somme dans l’ete de nouveau, pour un petit istant dans votre notes and votre musique.
..Quelle belle surprise que vous avez inclus la version texte du poème écrit par main de l’auteur aussi 🙂
Alessandra