Voici une histoire qui vous rappellera Le Soleil noir. Ici, pas de réchauffement climatique, toutefois, mais une noirceur qui se répand sur la terre. À Meudon, les colocataires de Madame Gorgette tentent bien, le premier jour, de rejoindre leur travail à Paris. Mais, dans le noir absolu comment s’y retrouver ? Et comment un train peut-il circuler ? Heureusement Juliette et Jacques, deux jeunes colocataires, ne manquent pas de ressources… Car, au contraire d’un brouillard, ce sont des particules mystérieuses qui obscurcissent l’air. Et, une fois un lieu envahi, l’atmosphère devient et reste opaque. C’est tout le mode de vie moderne (de 1930) qui est bloqué et toute l’organisation sociale mise en péril.
Une fois encore René Pujol confronte notre civilisation si sûre d’elle-même à une nature pour laquelle l’humanité n’est qu’un jouet.
Étienne Léopold Trouvelot, Éclipse partielle de Lune (1874).
Merci. Je suis contente de vous accompagner.
Merci beaucoup pour cette lecture, qui me permets de pouvoir profiter de la littérature tout en me consacrant à mon ouvrage.
Merci chère Rosângela Rocha pour votre gentil commentaire. J’ai découvert cet auteur récemment et j’ai eu aussitôt envie de l’enregistrer.
Je suis contente qu’il vous plaise.
Cher Romain,
Votre message me rend très triste.
Je partage votre peine et pense bien à vous.
Essayez d’aimer deux fois plus la vie pour elle.
Merci de prendre toujours la peine de m’adresser un message.
Faites bien attention à vous.
Bonjour,
Bravo!je vous remercie infinement pour m’avoir faire découvrir un écrivain si magnifique dont le thème reste si actuel.
Et merci bien à la voix donneuse:elle est très belle… Claire et agréable…
Pendant ce temps si difficile, vos audios
Me donne de l’espoir et me soigne.
Chère Domi,
C’est une bonne nouvelle que de vous retrouver dans une autre belle lecture: c’est que votre santé est bonne. Pour ma part, tout n’a pas été rose ces dernières semaines: LE virus a emporté ma sœur jumelle, elle qui aimait tellement la vie.
Prenez bien soin de vous !
Merci pour ce surprenant roman.
Je suis désolée ; je viens de m’apercevoir que j’ai oublié de mentionner que le texte de présentation est celui de la bibliothèque numérique romande comme on peut le voir si on consulte si on consulte la version texte.