Le cadavre d’un parfait inconnu est retrouvé au matin dans un paisible immeuble parisien au n°13 de la rue Marlot. C’est la consternation dans cette petite communauté, gardée par les concierges Bernier et dans laquelle on trouve une jeune veuve qui vient d’accoucher, un militaire retraité et un employé mobile des postes… Qui est l’inconnu ? Comment a-t-il pu pénétrer dans l’immeuble ? Pourquoi et comment a-t-il été tué ? William Dow aidera à dénouer l’écheveau de cette énigme, où la passion amoureuse lutte contre les convenances de l’époque impériale. Et c’est comme toujours en plein procès et avec sa connaissance pointue de la médecine légale que l’habile américain fera triompher la vérité.
Le N°13 de la rue Marlot est le premier volet de Mémoires d’un détective, l’histoire de William Dow, légiste-limier, probablement le premier détective scientifique de la littérature.
Louis-René Delmas de Pont-Jest ou Rémy Léon Delmas, dit René de Pont-Jest ou Léon Delmas, est un écrivain et journaliste français, ancien officier de marine, né le 17 octobre 1829 à Reims et mort le 10 juillet 1904 à Neuilly-sur-Seine. Il est le grand-père de Sacha Guitry.
Autres épisodes : La Femme de Cire et Le Cas du docteur Plemen.
Giovanni Battista Pergolese, Concerto Armonico No.2 en Sol Majeur (European Archive, domaine public).
Bonjour Christine,
Merci d’avoir enregistré ce premier tome de la trilogie dont je vous avais parlé dans les commentaires de Todd Marvel. Je vais le lire avec plaisir et attendre avec impatience les 2 autres tomes.
Au sujet de Todd Marvel, vous parlez de lui redonner votre voix. Existe-t-il d’autres aventures que celles des 2 tomes déjà enregistrés ?
Alain
Si l’intrigue est simple, la justesse des commentaires judiciaires fait de ce roman un intéressant témoignage sur la justice de cette époque, effectivement. Je suis heureuse que vous aimiez cette lecture chère Elisabeth et suis très touchée par votre aimable commentaire.
Je suis en train d’enregistrer “La Femme de Cire” du même auteur, vous aurez donc un troisième roman de Pont-Jest dans quelque temps, si le coeur vous en dit ;). Bon audio!
Très beau moment judiciaire, et très belle lecture. Merci chère Christine. J’attaque le deuxième Pont-Jest
eisabeth
Cher Jean-Pierre, je suis toujours très heureuse de vous être agréable. Merci beaucoup d’être passé par ici!
Merci à vous Natalia pour votre fidélité! Todd Marvel reviendra lui aussi mais il me faudra un peu de temps avant de lui redonner la parole! Amitiés.
Chère Agnès vous avez tout à fait raison! Une horrible faute de frappe a transformé notre Pont-Jest en ultra centenaire. J’espère que la technologie va bien vite changer cet état de choset! Merci pour votre signalement et bonne lecture, je l’espère!
Claire Marie: vous avez tout à fait raison lorsque vous parlez d’actualité à propos des mots de Pont-Jest au sujet de la justice. J’ai été moi-même fortement surprise par la similitude des situations de la fin du 19ème siècle et de celles d’aujourd’hui. Cela est bien triste.
Vous avez aussi raison de me signaler ma prononciation erronée de “gentislhommes”, si elle est pardonnable pour Robert…elle ne l’est pas pour moi ! 🙂
J’ai effectivement prévu de lire les deux autres romans dont William Doe est le protagoniste. je vous demanderai toutefois un peu de temps!
Merci pour votre patience et pour vos commentaires!
Je vais de ce pas commencer ma lecture. Cet homme respectable (sûrement)ne s’est pas attardé si longtemps sur terre. Il semble qu’il soit mort en 1904 plutôt qu’en 1942.
Ah, Christine ! Depuis “Todd Marvel”, vous nous manquiez dans le genre policier !
Il est vrai que je vous ai quand même bien monopolisée avec “Méfiez-vous de vos rêves”… 🙂
Je m’en vais déguster ce gâteau sur-le-champ.
Amitiés
Nathalie
Ah , mon côté insupportable se réveille : je me permets d’attirer l’attention sur la prononciation de “gentilshommes”. On dit “gentizome” , donc différemment du singulier. Mais cette erreur était certainement voulue par vous puisque c’est un italien qui parle lorsqu’elle est commise.
Vous voyez? Je suis insupportable car je ne peux m’empêcher de le relever! Je demande votre indulgence…
Une très bonne interprétation, comme d’habitude!
Le chapitre 13 fait frémir: il commence par un plaidoyer contre ce qui se nommait à l’époque la détention préventive et devenue “provisoire ” de nos jours.
Ce plaidoyer peut malheureusement s’appliquer encore mot pour mot à la situation actuelle de la justice française. Point de politique partisane dans mon commentaire, juste une triste constatation…
J’espère, Mme Treille, que vous prévoyez de nous donner la suite de ces “mémoires d’un détective ”
Amicalement,
CM
Il est toujours bien agréable de vous écouter, Christine.