Dans un passé imaginaire.
La Cité d’Albâtre est divisée en deux : dans la Ville Basse, les habitants exploités sont maintenus dans l’ignorance et la misère tandis que dans la Haute Ville, les habitants sont riches, éduqués, raffinés, et maîtrisent les pouvoirs de l’Esprit. Les Guildes toutes-puissantes se partagent l’économie et le pouvoir, et exigent une allégeance totale.
Trois personnages vont faire vaciller l’équilibre de la Cité : Elenor, une brillante enfant de la Haute-Ville qui reniera sa caste ; Keller, un bâtard révolutionnaire de Ville-Basse, et Sornar, Maître solitaire de la Guilde de l’Ombre, aux desseins occultes et sulfureux…
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Livre audio gratuit ajouté le 30/12/2013.
Bonjour Lattentif. J’ai immédiatement corrigé cette faute inexcusable, inexpiable, cet attentat contre la conjugaison… Merci pour votre vigilance !
À l’attentif:
Si vous êtes si attentif que cela, il n’est pas supposé vous déranger le fait que Keytel et Keller se ressemblent…??!
De plus si vous aviez fait attention au commentaire en haut du texte de présentation de Mme Pucciano vous auriez vu que c’est écrit ” dans un passé imaginaire”
Voilà. Et cessez de taper sur la tête d’une excellente auteure.
Dans Pauline_Pucciano_-_La_Cite_d_Albatre_Chap21 à 18:24, on entend (et on lit sur le PDF) : « notre but, en les ASSERVANT, n’est pas de les asservir ».
C’est bien sûr ASSERVISSANT qui conviendrait.
Les noms Keller et Keytel se ressemblent trop selon moi, je confonds souvent les deux. Quand j’entends « Keller », je pense parfois « Keytel » et vice versa.
« Tâche » ne se prononce pas comme « tache » (ni « albâtre » comme « albatre », mais là le distinguo n’est pas signifiant).
De bonnes choses dans les dialogues, bien tournées. En revanche des mots (deux ou trois) comme « emmerder » détonnent un peu dans le contexte.
Abstraction faite de ces défauts véniels, la lecture est bonne et l’histoire intéressante et assez originale.
J’ai cherché vainement des comparaisons avec la situation politique actuelle de la France. Dommage, ce n’est pas un roman à clé. La France n’a pas, trois fois hélas, son Aelenor.
Rien dans votre présentation –– genre quatrième de couverture –– n’indique que c’est un roman fantastique ; c’est peut-être regrettable, car c’est selon moi un gros atout du livre.
Merci Lucie pour ce commentaire chaleureux ! Je vais corriger au plus tôt le défaut du chapitre 18… Pour ce qui est de la numérotation, celle des fichiers audio ne correspond pas, en effet, aux chapitres du texte, et je vous demande de m’excuser pour cet inconvénient.
Y aura-t-il une suite ? Peut-être, car vos commentaires me donnent envie de l’écrire !
MAGNIFIQUE! Merci Mme Pucciano , quelle belle histoire. Y-aura-t-il une suite?
La lecture était imppécable. Un petit détail cependant. Au chapitre 18 (vous le commencez en disant chapitre 21), votre voix se double vers le 3/4.
Les chapitres détaillés ne correspondent pas à ceux que vous nommez.
Hormis ce petit détail, j’ai adoré ces délicieuses heures d’écoute.
Je vous remercie Véronique de ce commentaire qui me touche beaucoup… Le livre n’est pas publié et n’est disponible qu’au format numérique.
“la liberté est un luxe si cher que vous même ne pouvez vous l’offrir! Mais je ne regarderai pas à la dépense… ”
j’adore!
livre introuvable sur amazon,MERCI 1000 fois pour ce cadeau! bisous
De rien ! Merci à vous !
Litteratureaudio nous gâte pour cette fin d’année.
Merci beaucoup, Pauline Pucciano.