L’encyclopédiste, lexicographe archi-célèbre par les dictionnaires qui portent son nom Pierre Larousse (1817-1875) est aussi l’auteur de plusieurs ouvrages consacrés au français et à la grammaire.
Il a publié en 1862 Fleurs historiques des dames et des gens du monde, clef des allusions aux faits et aux mots célèbres que l’on rencontre fréquemment dans les ouvrages des écrivains français, dont nous vous présentons la Préface très originale et humoristique, sous forme d’un dialogue avec une jeune provinciale venant de visiter, sans grand intérêt, le musée du Louvre et celui du Luxembourg, de qui il comble l’ignorance en lui donnant les explications nécessaires, raison d’être justement des préfaces des livres… et Larousse en profite pour nous donner le contenu de ses Fleurs historiques (700 pages) que nous feuilletterons prochainement.
Préface : Comment on peut faire une préface sans le vouloir et sans le savoir, commence ainsi :
« puisqu’il est bien décidé que pas un lecteur qui se respecte ne saurait lire une préface, on se demande, aux premières lignes de celle-ci : pourquoi tant de préfaces, écrites avec tant de zèle et tant de soins par quantité de bons écrivains et d’honnêtes gens désireux de plaire au lecteur bénévole et de capter ses bonnes grâces ? »
Á Rodica Cretu,merci de votre message,de votre solidarité,de votre amitié.Cela est un vrai réconfort ,en ce jour de deuil national.MERCI INFINIMENT.
Merci,René,de vos belles lectures.Que la litterature aide à ouvrir les cœurs et apporte la paix.
Amities.Christiane-Jehanne.
Mes sincères condoléances au peuple français, aux familles qui, rassemblées autour de la table, ne verront jamais un ou plusieurs de leurs membres. Mes condoléances à la nation la plus tolérante, la plus accueillante, la plus libre, la plus éprise de la vie, de la gaité et de l’amour. Un de votre écrivain contemporain parlait de “peuple en vrac”. On est sensé de croire qu’une nouvelle époque d’obscurantisme commence.
Bonsoir chère Christine ,
Suis habitué à vos réponses et méthodes et/ou marches à suivre pour arriver à destination !
Merci infiniment et bon courage .
Bien cordialement ,
Ahmed
Bonsoir cher Ahmed,
Depuis quelques semaines, Gallica a fait peau neuve et il faut un peu de temps pour s’y habituer et parvenir à lire confortablement les ouvrages proposés, d’autant que la présentation par défaut des documents est absolument illisible :-(.
Voici quelques trucs…
1) Vous avez sur la gauche de la page une barre d’outils (i d’Information/la loupe pour rechercher dans le texte/la loupe avec un plus dedans pour zoomer… etc) qui vont vous permettre d’accéder à toutes les fonctionnalités du site.
2) Pour télécharger, placez votre souris sur le sixième outil (la flèche orientée vers le bas, avec un plateau en dessous). Le menu contextuel doit indiquer: «Téléchargement/Impression». Cliquez sur cet outil, et sur la droite de l’outil (entre la première barre et le document, donc), vous allez voir apparaître la fenêtre de renseignements pour le téléchargement que vous connaissez bien, si vous avez déjà téléchargé avec l’ancienne version de Gallica. Suivez les instructions et téléchargez… 🙂
3) Pour lire en ligne, j’en suis arrivée à la conclusion que le mieux (c’est une opinion…) c’est de choisir le mode défilement vertical : situez votre souris (SANS CLIQUER) sur le quatrième outil («Modes d’affichage») de la barre principale. Une deuxième barre va apparaître à droite de la première, vous proposant les différents modes d’affichage. Choisissez le troisième («Défilement vertical») en cliquant dessus. Automatiquement vous allez basculer en défilement vertical, dans lequel les pages sont vues «en plus grand»…
Voilà, je crois que vous avez là le B-A-BA de la lecture sur le nouveau Gallica…
J’espère que cela pourra vous aider…
Bonne soirée,
Ch.
Bonjour cher René,
Je vous demande comment vous arrivez à lire plus clairement ces pages ?
Y a t il un logiciel ?
Il y a des années en France , j ai vu des photocopieurs qui rendent la copie comme état neuf .
Merci pour l information ,
Bien cordialement,
Ahmed