Ecrits sur son lit de mort, ces textes sont le dernier souffle poétique de Ronsard. La maladie, la douleur et la mort y sont magnifiquement évoquées.
Consulter la version texte de ce livre audio.
Illustration :
Albrecht Dürer, Portrait d’un homme de 93 ans
Licence d'utilisation : Réutilisation du livre audio soumise à autorisation préalable.
Livre audio gratuit ajouté le 30/11/2023.
Lu par Pauline PuccianoVoir plus
2 h 19
17.8K
37 min
1.7K
3 h 35
12.1K
2 h 59
5.3K
Les plus aimés ❤️ (sélection)Voir plus
6 h
8.8K
26 min
623
23 min
18.9K
14 h
15.9K
… ” Amelette Ronsardelette… “… Un dernier sourire… ( la chanson de NOUGARO… “… je suis sans doute un animal… doué de pouvoirs anormaux… je peux echapper au mal… en jouant avec les mots… “…) …
J ‘ écoute et réécoute… et je lis… et relis… j’ ai retrouvé le texte…
J ‘ aime beaucoup votre lecture…
Une belle découverte que vous m’ avez fait faire… et à beaucoup d ‘ autres… j’ espère…
Je vous confie quelque chose sur…” Le bar “…
Hum… je n ‘ en suis pas bien sûr… finalement…
Bien cordialement…
Avec une touchante sobriété et une lucidité sans concession, Ronsard exprime ici toute l’essence de la condition humaine. Un magnifique chant du cygne, dans un crépuscule apaisé. Merci Pauline pour votre belle et poignante lecture.
Merci beaucoup Alain, j’aime beaucoup ces quelques poèmes, et je suis heureuse qu’ils vous aient touché.
PAULINE P. … Bonjou …
Que voici une belle manière de s ‘ en aller… Faire de son… ” mourir ” … un acte poétique…
Ah ! RONSARD … je te salue…
Et vous aussi … bien vivante PAULINE P. …
En espérant que vous continuerez votre salutaire… ” mission “… de passeuse de poesie…
Ps… Me revient un haïku… de mon estivale villégiature à l ‘ hopital et en maison de repos…
La peau sur les os
amplement suffisant
pour suivre les nuages
… des dispositions bien proches de ce RONSARD s’ eteignant…
Un grand merci à vous, chère âmelette Sautillelette… 🙂 Savez-vous que j’ai pensé à votre poème en lisant les derniers mots “Je dors” ? Mais puisse cette estivale villégiature n’être plus qu’un mauvais souvenir, car je vous rappelle que vous êtes absolument obligé de souffler vos 101 bougies dans quelques décennies sur Litterature Audio !