« Très bien, me dit mon ami. Admettons que ce que tu écris se réalise véritablement dans notre monde. Il faut tout de même admettre que les fantômes ne courent pas les rues. » (Les Golems)
Ici commence l’histoire qui montrera cela n’est pas si sûr…
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Illustration :
Figure du Musée de cire de Czeski Krumlov (photographie de Jerzy Strzelecki, licence Cc-By-Sa-3.0).
Licence d'utilisation : Réutilisation du livre audio soumise à autorisation préalable.
Livre audio gratuit ajouté le 20/09/2018.
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Pardon Rémi, je ne vois que ce soir votre message.
Cela m’a fait plaisir, je l’avais lu plusieurs fois avant de me décider à l’enregistrer.
Je vais aller voir vos autres textes.
Bonjour à tous et un immense merci à Domi pour avoir pris le temps de mettre en forme audio cette nouvelle. En effet, j’en suis l’auteur ! Il y a quelques années j’avais proposé ce texte à la lecture et depuis, le temps est passé et j’avais complètement oublié. Voilà qu’un peu par hasard, je découvre que Domi s’en s’en est chargée depuis peu.
N’hésitez pas à découvrir mes œuvres et me contacter via mon blog http://remi.pelzer.over-blog.fr/
Chère Domi, la force de l’écrit a le pouvoir de créer, au même titre que la parole. Comme disent les Psaumes : ” Par la parole de Dieu, les cieux furent accomplis. ” Le thème de la nouvelle n’est certes pas nouveau, mais le traitement du sujet l’est bel et bien, par contre. Une expression m’a un peu surpris : ” Le soleil était encore couché. ” J’aurais dit : “Le soleil n’était pas encore levé. ” Mais peut-être n’ai-je pas compris le sens profond de l’affirmation.
Merci Schmuel. Ce que j’ai aimé dans ce texte, c’est ce qu’il montre le pouvoir de l’écrit.
Merci Domi. Comme dit l’ami sublime, “intéressante histoire”.