Arsène Drouet, la quarantaine, enseigne la littérature dans un lycée de province, où il prend de plein fouet la baisse du niveau, le nouveau management technocratique de l’Éducation Nationale, la montée de l’extrême droite chez les élèves et leurs parents, la politique du « pas de vagues »… À la maison, il découvre que sa femme est en train de tomber amoureuse d’un autre et il s’ingénie à la reconquérir ; dans le cabinet de sa psychanalyste, il explore son rapport maladif à la fiction, aux lettres, aux textes, qui représente peut-être paradoxalement sa planche de salut.
Francis Picabia, L’Oeil Cacodylate
Franz Schubert, Piano Trio in E flat major, D. 929 – II. Andante con moto, interprété par European Archive (domaine public)
L’espace d’une année, j’ai été prof, dans un collège.
Il y a des mécanismes que j’ai retrouvés, des souvenirs qui me sont revenus en mémoire.
Merci d’égayer mes trajets en voiture.
Je vous en prie, Kakalake, tout le plaisir est pour moi !
Tout comme Claryssandre et Gaëlle, je ne comprends vraiment pas que les éditeurs vous boudent. Pauline Pucciano est de très loin la plus grande autrice contemporaine de ce site, les commentaires en témoignent allègrement. Alors, Messieurs les éditeurs, réveillez-vous, bon sang !
Merci Sylvie ! Votre combativité semble indiquer que mon Homme de Lettres ne vous a pas laissée indifférente… J’en suis ravie !
Tout comme JPB je suis resté BABA devant le génie de l’oeuvre et son autrice! Un grand merci à Pauline.
Un grand merci à vous, Luc, cette oeuvre m’est chère et je suis vraiment enchantée que vous lui trouviez assez de qualités pour laisser un si généreux commentaire…
L’Arsène est tout bonnement la terreur de Pauline la DVD.
Salut… JPB… et MAX…
Rien de neuf… du côté du petit MARCEL ?…
J ‘ espère que vous allez bien…
Baba… Tout simplement baba !
Cher JPB,
Je passe outre l’effet Larsen, et je note que vous vous réveillez toujours au parfum du baba… S’agirait-il de votre madeleine ?
Shilom à ce baba… et à ses siestes… APPUYÉES !…
Bonjou… chère PAULINE P. …
Art-scène ! … ” Bon sang… mais c ‘ est bien sûr ! ” ( pas FREUD… non… l’ inspecteur BOURREL !… 😎 )… Ca crève les yeux !… Et je ne l ‘ ai pas vu !… 🫣🧐🤓 !… Et sans voir… je vous ai ouvert les yeux !… Baba !…
Non non… j’ etais allé fureter… du côté de l ‘ etymologie…
Arsène… du grec…” arsen “… ” mâle “… Tiens tiens… l’ équivalent du mas , maris… latin… d ‘ où vient … mari !… Arsène DROUET… le mari…
Carine… du latin … ” carus “… ” aimée” , ” chère “… Carine DROUET… la femme…
Etait-ce hasard… ou petit jeu… de votre part ?…
D’ où la question que je vous ai posée…
Aussi ça… Arsène… Cyrano… sonnent à mon oreille… comme une contrepèterie !…
Je ne tire pas… par les cheveux… c ‘ est juste mon oreille… 👂…
STOOOP !… STOOOP !…
… mais je raffole de ces petits jeux…
Ovwa ovwa…
Ps…
” Cyrano de Bergerac ” et ” Rhinocéros “… si vous me dites… ” à l’ insu de mon plein gré “… je ne vous croirai pas !… 😛…
Erratum… tum… tum…
Le… commissaire !… BOURREL…
Mais… vous êtes trop jeune… pour avoir connu… ” Les 5 dernières minutes “…
Toute la famille… rivée à l ‘ ecran de television… ( noir et blanc… une seule chaîne… pas ouverte toute la journée … )… Toute la France… Une série culte… on dirait aujourd’ hui…
Aie Aïe Aie…
… l ‘ inspecteur !… BOURREL …
… et j’ apprends… que la série… ne s ‘ est pas arrêtée… avec la fin de mon enfance…
Jusqu’ en 1973… à la mort de Raymond SOUPLEIX… et… passée à la couleur…
Plus longtemps encore… avec d ‘ autres acteurs… jusqu’ en 1996…
Vous avez pu connaître… De mon côté… je ne regardais plus la television…
1) Le rapport à l’étymologie grecque est un hasard. 2) la contrepèterie est fort signifiante et je m’en réjouis, même si je dois avouer que je n’y avais pas pensé. 3) PS : Evidemment, la référence à Rhinocéros et à Cyrano est cousue de fil blanc…
Quant aux 5 dernières minutes, c’est un souvenir très vague 🙂
Bonjou… PAULINE P. …
Chapitre 14… 33mn 43 s… 🔨🔨🔨… 🙈🙉🙊… 🙄🙄🙄…
( JPB… BABA … )…
… c ‘ est noté…
Chère Pauline, je viens de termine l’écoute de ce roman, qui m’a accompagnée pendant plusieurs jours, et je quitte à regret Arsène, Laure et Karine, Idriss … Chaque personnage est touchant et très humain, dans ses doutes et dans ses désirs, sans être stéréotypé. La description des nouvelles orientations de l’Éducation Nationale (le proviseur est bien gratiné !) n’est pas très encourageante, j’espère qu’il reste possible de garder foi en cette indispensable institution … Bravo pour l’intelligence et la fluidité de l’écriture, ainsi que pour la lecture qui en restitue toute la subtilité. Comme Claryssandre, je ne comprends pas qu’un éditeur ne s’y intéresse !
Un immense merci, chère Gaëlle ! Cela me touche beaucoup de savoir que mes personnages prennent vie et qu’on puisse être triste de les quitter… Je suis contente pour Karine, qui n’était pas un personnage facile à écrire, ni facile à sauver.
Karine n’est pas au centre de l’histoire, mais ce que l’on en perçoit, en particulier quand elle prend la parole ou que ses pensées et tourments s’expriment, « sonne » juste. Elle m’a, je crois, plus émue même qu’Arsène, plus intellectuel et droit dans ses convictions. Peut-être simplement qu’elle me ressemble davantage …
@GAËLLE 🍓… Bonjour…
K arine… et non… C arine… comme je ‘ ai écrit… en ce lieu… où on est sûr de me trouver… à toute heure… A l’ insu de votre plein gré ( formule que j ‘ adore )… la couleur tagada… de votre intansigeant stylo… Merci !… Esperons… que PAULINE P. … finira par trouver un editeur… ou ( et )… un producteur de téléfilms… Alors que j’ image si peu mes lectures… … un téléfilm… s ‘ impose à mon esprit… au fil de celle-ci… S’ impose… oui… Curieux…
Bien à vous…
Cher Sautillant, c’est drôle, cette histoire de téléfilm… Et pourquoi un téléfilm, d’ailleurs ? Pourquoi pas un film ? Ne lésinons pas ! En ce qui concerne votre question sur les noms : ce n’est pas si réfléchi que ça. Je crois que l’inconscient nous propose des choses tout à fait intéressantes “à l’insu de notre plein gré”, et je serais curieuse de savoir ce que vous supposez comme intention derrière ces noms. Force m’est de constater, en y réfléchissant, que “Arsène” pointe vers l’art et la scène. Mais, mort de mon âme, je n’y avais pas pensé en choisissant ce nom ! En réalité, j’ai failli l’appeler Alceste, mais c’était trop rare, trop marqué, too much. Je me suis rabattue sur Arsène, qui reste assez proche d’Alceste par sa consonance.