Année terrestre 3416. Ce qui reste de l’humanité ?
Une diaspora militaire vivant à bord de vaisseaux et de stations. La Sonde, un vaisseau destiné à l’exploration et à l’exploitation de ressources, entre par hasard dans l’orbite de l’Organe, une exoplanète propice à la vie, où un foyer de peuplement humain a réussi à s’implanter plus de six siècles auparavant. Le major Strauss, jeune officier solitaire, est envoyé en mission au sol, et va découvrir les mœurs, l’organisation sociale et les pouvoirs étranges de cette communauté. Une jeune femme presque entièrement tatouée, qui ressent de mystérieuses et soudaines douleurs, et se prétend « la Clé de Voûte » de son clan, transformera peu à peu sa vision du monde…
Musique du Quo Vadis :
Richard Wagner, L’Or du Rhin, Prélude et entrée des Dieux au Valhalla, WWV 86A, interprété par l’ensemble United States Marine Band (domaine public).
Musique de l’Organe :
Claude Debussy, Arabesque n°1, Andantino con moto, interprété par Simone Renzi (licence Cc-By-Nc-3.0).
Musique de la Sonde :
Antonio Vivaldi, Les Quatre Saisons, Hiver (European Archive, domaine public).
Bonjour à la joyeuse troupe !
Commençons par la fin…
” Au commencement était le Verbe…”
… et à la fin… le verbiage !
Commençons donc par la fin… sans promettre le moins du monde que nous conclurons par le début… la plus belle fille du monde… et je ne suis pas la plus belle fille du monde !
Après tout PAULINE P. est ici chez elle et elle fait ce qu ‘ elle veut de sa page !
Donc… avec sa benediction plénière…
Tout d’ abord… deux citations que j ‘ ai d’ ailleurs annoncées à LÏAT ( qui a retrouvé son tréma !… ce qui fait toute la différence… des terres des oceans… avec les LIAT d ‘ autres contrées)…
” Celui qui va au fond des choses, il y reste ”
( Jean COCTEAU )
” Quiconque a sondé le fond des choses devine sans peine la sagesse qu’ il y a à rester superficiel. C ‘ est l’ instinct de conservation
qui apprend à être léger hatif et faux “…
( NIETZSCHE)
( l ‘ instinct de conservation… pas de… conversation !… et pourtant et pourtant…)…
Non chère PAULINE… Mais avant… que je vous dise… les démoniaques petits lutins qui hantent mon antre s’ acharnent à m ‘ empêcher de lire
” L’ Organe et la Sonde “! Je vous ai dit l ‘ autre jour toutes les peines du monde éprouvées pour réussir enfin à telecharger… J’ ai écouté… deux fois comme vous le savez…
ce premier chapitre écrit sous la dictée d ‘ un inconscient peu du goût du mécréant JPB… eh bien… figurez-vous… que je n’ ai pu aller plus loin ! Le livre a tout d ‘ abord disparu de ma collection de téléchargements… volatilisé dans je ne sais quel univers parallèle… puis… plus moyen de le télécharger de nouveau !
Ce qui est proprement sidéral… euh… sidérant
car j’ ai pu télécharger dans le même temps d ‘ autres titres sans la moindre anicroche !
Bizarre ? Non… je n’ ai rien dit…
JPB peut-être… dans sa grosse moustache…
Nouvelle tentative cet-apres-midi…
Non PAULINE… rien de sybillin dans cette pascuane et même pascalienne évocation qui ne repondait en rien aux vertigineuses interrogations de compère JEAN-PIERRE sur le mystère de la vraie-fausse GAËLLE… sur lequel j ‘ ai d’ ailleurs ma petite idée… il doit en aller… je pense… comme avec l ‘ episode de la fausse GUENIEVRE dans le roman de LANCELOT… De la sorcellerie !
À ce propos j’ ai grand besoin des services d ‘ une d’ entre elles retour de son honteux sabbat de Walpurgisnacht ! Je veux être transformé en éléphant d ‘ un coup de baguette magique d’ un seul! Quant à la devanture de LA j ‘ ai vu apparaître l’ elephant blanc de Judith GAUTIER ( la fille du grand sociologue … universellement connu pour sa magistrale étude… ” Homos et camés “)… bien que plus familier des elephants roses… je suis allé mettre mon oreille à l ‘ ecoute de l’ extrait de Veronique RONCHI… une jolie voix et une lectrice pleine de promesses !… mais là n ‘ est pas mon propos… qu’ entends-je d ‘ entrée… que chez les éléphants… 60 ans est la fleur de la jeunesse ! D’ où mon desir immediat de changer de peau ! Secourable sorcière entends ma plainte…
Je suis si decrepit
que même devant l ‘ épouvantail
j’ ai honte
Aah… d ‘ ou vient cette rumeur lointaine… chut… il me semble reconnaître les paroles d une chanson… attendez… tout un choeur dirait-on…
oui oui…
Les MOAI !!!
” C’ est le plus beau jour de ma vie
j ‘ ai retrouvé mon chapeau… ”
Après Pâques, sans nouvelles de Gaëlle on est comme sans nouvelles de Gurb !
Retrouver son humanité perdue, ne serait-ce pas la clef de votre œuvre ? En tout cas, un grand merci pour ce chef-d’œuvre de profondeur salué à juste titre par les lecteurs.
Justamon
Sibyllin Sautillant… Je devine que vous n’avez convoqué les Moaï que pour répondre à JPB…
MATA KITE RANI
Pas de nouvelles de notre vraie fausse Gaëlle ?
Pourvu qu’elle ne se soit pas pris une météorite !!!
Merci infiniment, Marc : votre compliment me touche beaucoup car la profondeur est une des qualités que je prise le plus chez les autres, et dans les livres en particulier. Quant au nombre de commentaires, divisez-le par deux (pour le moins!) pour les nombreux messages qui ne parlent pas du tout du texte, et encore par deux pour mes propres réponses… Et nous reviendrons à une quantité plus modeste !
Une réflexion d’une grande profondeur qui rend cette dystopie addictive. Je le recommande chaudement à tous les auditeurs. 72 commentaires en 15 jours, tout est dit.
Marc
Bonjour !
@ JPB
L ‘ avez-vous vue… cette nuit…
LA LUNE ROSE !?
Ici… un ciel d’ une humeur des plus sombres
nous a privés de ce charmant spectacle promis par les astronomes !
Big Brother ne l ‘ entend pas ainsi !