L'Organe et la Sonde - Pauline Pucciano (2021)

L’Organe et la Sonde

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Année terrestre 3416. Ce qui reste de l’humanité ?
Une diaspora militaire vivant à bord de vaisseaux et de stations. La Sonde, un vaisseau destiné à l’exploration et à l’exploitation de ressources, entre par hasard dans l’orbite de l’Organe, une exoplanète propice à la vie, où un foyer de peuplement humain a réussi à s’implanter plus de six siècles auparavant. Le major Strauss, jeune officier solitaire, est envoyé en mission au sol, et va découvrir les mœurs, l’organisation sociale et les pouvoirs étranges de cette communauté. Une jeune femme presque entièrement tatouée, qui ressent de mystérieuses et soudaines douleurs, et se prétend « la Clé de Voûte » de son clan, transformera peu à peu sa vision du monde…


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Références musicales :

Musique du Quo Vadis :
Richard Wagner, L’Or du Rhin, Prélude et entrée des Dieux au Valhalla, WWV 86A, interprété par l’ensemble United States Marine Band (domaine public).

Musique de l’Organe :
Claude Debussy, Arabesque n°1, Andantino con moto, interprété par Simone Renzi (licence Cc-By-Nc-3.0).

Musique de la Sonde :
Antonio Vivaldi, Les Quatre Saisons, Hiver (European Archive, domaine public).

Licence d'utilisation : CC BY-NC-ND : Attribution – Pas d’Utilisation Commerciale – Pas de Modification
Livre audio gratuit ajouté le 09/04/2021.

184 Commentaires

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  1. La remarque de Pauline, très juste en ce qui concerne le mécréant que je suis, ne fait que me confirmer la qualité de sa personne. J’aime ce qu’elle fait et la manière dont elle le fait.

  2. Loin de moi l’idée de vous décourager, chère Gaëlle, mais je ne pense pas que nos amis Sautillant et JPB aient réellement donné leur avis sur l’oeuvre… leurs considérations – ô combien sympathiques et facétieuses – portaient en fait d’abord, et à ce qu’il me semble, exclusivement, sur le titre !
    @Gilval : Merci beaucoup pour tous vos commentaires si encourageants.

  3. @Gaëlle
    « Il vaut mieux mettre son cœur dans la prière sans trouver de paroles que de trouver des mots sans y mettre son cœur. » Gandhi.
    N.B./ J’ai énormément apprécié votre interprétation dans: PÈNE, Annie (De) – Confidences De Femmes”

  4. Ah! si Messieurs Baillot et Sautillant dont on connaît la grand exigence en matière de choix littéraire, ont goûté cette oeuvre, c’est qu’il s’agit assurément d’une grande oeuvre! Allez, je me lance !

  5. Tout comme Sautillant, j’ai fait une omission.
    La mienne est d’avoir malencontreusement oublié de souligner l’excellente qualité de lecture de Mme Pauline PUCCIANO et celle de sa voix si envoûtante.

  6. @J.P.Baillot
    J’approuve tout à fait, cher Jean-Pierre, et vous remercie chaleureusement de ce retour très touchant.
    Gilval.

  7. @Gilval
    Bien que moins réjouissante dans l’absolu que la « montée de sève printanière » que me prêtait si aimablement Sautillant, votre “intégrité morale” m’honore également.
    Je note que l’on sait être courtois chez la Grande Pauline, le signe d’une très bonne maison !

  8. @Sylvie
    Bonjour Mme/Mlle
    Vous m’avez posé une question directe et c’est maintenant seulement que j’ai le vif plaisir d’y répondre.
    La langue française est riche. Heureusement d’ailleurs, car elle offre à l’esprit plusieurs canevas pour y broder ses desseins.
    Vous m’interrogez donc: Ne dit-on pas se méprendre sur quelque chose ?
    Je vous fais gentiment remarquer qu’on peut dire aussi, “se méprendre quant au sens” ce qui voudra dire “en ce qui concerne le sens”.
    Mais dans ce cas, la phrase en devient lourde et c’est ainsi que, sans porter préjudice à la justesse grammaticale, on peut tout aussi bien se passer de cette locution et employer cette figure de style qu’on appelle “ellipse”.
    Permettez-moi d’autre part de partager votre enthousiasme quant à l’intégrité morale de MM. J.P. Baillot et Sautillant auxquels me lie par ailleurs l’estime et la considération des cercles littéraires. J’en profite donc pour les saluer très cordialement.

  9. Bonjour,
    Me voilà enfin au bout de cette aventure!
    Il est vrai qu’au départ, pour bien me situer dans le cours narratif, il m’a fallu d’abord trouver le temps pour me consacrer entièrement à l’enregistrement et, plus d’une fois, écouter le 1er chapitre car cela a accentué mon désir de poursuivre l’audition.
    Roman de science-fiction? Possible. Ma perception d’auditeur/lecteur (chacun a la sienne) est que c’est un roman humain, très humain par sa sensibilité, son esprit pratique et l’atmosphère émouvante qui peuple d’énigmes
    cette virée interstellaire où nous nous sentons embarqués. Rien à voir avec les peuples de fourmis (mentionnés fort-à-propos dans le roman) ni autres arachnides.
    J’ai particulièrement apprécié aussi la manière dont l’auteure aborde et questionne certaines notions philosophiques telles que leader de groupe, clef de voûte d’un système, douleur (liée à la conscience), et encore bien d’autres
    qui interpellent et laissent pensif.
    J’adresse mes compliments les plus chaleureux à Mme Pauline PUCCIANO, du fond du cœur. D’ailleurs, ne s’honore-t-on pas en
    rendant un hommage spontané à qui le mérite ?
    P.S. A l’instar de Patsy, Nathalie et Léa, j’aurais été ravi d’acquérir un exemplaire de ce roman en librairie, pour le plaisir de savoir qu’il est à portée de main, et m’en servir au besoin.

  10. C’est moi qui vous remercie, Nathalie et Léa, du fond du coeur. Ce livre ne sortira pas en librairie, mais vous pourrez offrir à vos amies la version définitive de Paraddict qui sortira fin août…

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