Année terrestre 3416. Ce qui reste de l’humanité ?
Une diaspora militaire vivant à bord de vaisseaux et de stations. La Sonde, un vaisseau destiné à l’exploration et à l’exploitation de ressources, entre par hasard dans l’orbite de l’Organe, une exoplanète propice à la vie, où un foyer de peuplement humain a réussi à s’implanter plus de six siècles auparavant. Le major Strauss, jeune officier solitaire, est envoyé en mission au sol, et va découvrir les mœurs, l’organisation sociale et les pouvoirs étranges de cette communauté. Une jeune femme presque entièrement tatouée, qui ressent de mystérieuses et soudaines douleurs, et se prétend « la Clé de Voûte » de son clan, transformera peu à peu sa vision du monde…
Musique du Quo Vadis :
Richard Wagner, L’Or du Rhin, Prélude et entrée des Dieux au Valhalla, WWV 86A, interprété par l’ensemble United States Marine Band (domaine public).
Musique de l’Organe :
Claude Debussy, Arabesque n°1, Andantino con moto, interprété par Simone Renzi (licence Cc-By-Nc-3.0).
Musique de la Sonde :
Antonio Vivaldi, Les Quatre Saisons, Hiver (European Archive, domaine public).
Un grand merci à vous, Catherine (ou Pétale ?), pour ce retour enthousiaste ! En effet, le choix du nom n’est pas expliqué… et à en juger par les commentaires, c’est un choix qui questionne ! Le mot m’évoque quelque chose qui ne fonctionne pas seul, qui n’est que la partie d’un tout plus vaste, à l’inverse par exemple d’un atome. Et évidemment quelque chose de vivant. Le futur décrit dans Paraddict sera peut-être moins réconfortant… mais je vous donne malgré tout rendez-vous en 2071 !
Quel excellent moment j’ai passé avec votre roman, Pauline !
J’ai vraiment adoré l’Organe et la Sonde, et j’aurais aimé en avoir plus. C’est une jolie histoire, avec des personnages attachants et une vision du futur de l’humanité bien réconfortante. si seulement c’était vrai !
En revanche, (à moins que je n’ai pas écouté assez attentivement), on n’a pas l’explication du pourquoi du nom de l’Organe pour cette planète.
J’aime beaucoup le principe de prendre des noms organiques, et j’ai cherché un moment comment moi, j’aurais aimé m’appeler. J’hésite entre Tulipe (ma fleur préférée) et Pétale (pour la consonance sonore plus douce à mon oreille, tout en restant dans le floral). Je ne me suis pas encore décidée. On verra dans un millier d’années !
J’avais déjà lu (écouté), les trois tomes de La cité d’Albâtre et j’avais aussi beaucoup aimé, mais j’ai quand même une préférence pour Foudre et l’Organe.
Encore merci, et bravo, vous avez un réel talent de conteuse, dans les deux sens du terme. Votre voix, votre diction enchantent mes nuits.
Dommage que ce roman ne soit pas en version papier, je l’aurais offert à plusieurs personnes.
Mais je suis très heureuse, j’ai reçu Paraddict pour le chroniquer. J’ai hâte de le lire !
A très bientôt !
Merci Jean-Pierre !
Oui, en effet, Myril… C’est une version vraiment améliorée, avec une enquête enrichie (et un meurtrier différent!) et davantage de passerelles entre les trois histoires. Un ensemble toujours foisonnant mais avec plus de tenue il me semble !
Moi aussi, bravo Pauline !
Une nouvelle version de Paraddict est sortie ? Je suis en joie <3 🙂
Eh bien Patrick, je vous souhaite bon voyage ! Et si votre équipée ne vous plaît pas, vous n’aurez qu’à vous en prendre à Vincent… mais pas trop cruellement, si possible. 😉
Recommandé par Vincent de l’Épine en personne, un des administrateurs du site, je me lance, bien qu’habituellement la SF ne soit pas trop ma tasse de thé. De retour de vacances je me sens d’attaque, prêt pour de nouveaux horizons !!! 🙂
Chère Myril, vous battez à nouveau tous les records du nombre d’écoutes… Et je vous remercie de votre fidélité. Un grand et chaleureux merci à vous aussi, Marko, pour votre enthousiasme. Je suis vraiment heureuse que ce texte ait rencontré tant d’audio-lecteurs… Et je me permets de vous donner rendez-vous à tous les deux aujourd’hui même en librairie pour une version enrichie de Paraddict ! 😉
Ce chef-d’oeuvre mérite un grand éditeur. J’espère bientôt l’y trouver. Sans mentir, L’Organe et la Sonde n’a pas à pâlir d’une comparaison avec Le Meilleur des mondes d’Huxley ou Ravages de Barjavel. Mais il faut souvent du temps au chef-d’oeuvre pour imposer! Alors, laissons du temps au temps! 😉
Marko