Paul Heusy, pseudonyme de Alfred Guinotte (1834-1915), est un écrivain belge de formation juridique. Critique d’art, chroniqueur politique, littéraire et judiciaire, voyageant entre la Belgique, les Etats-Unis et la France, il publie Un coin de la vie de misère en 1878, à Paris.
L’œuvre, proposée ici dans sa version plus courte, publiée à Bruxelles en 1886 par la Bibliothèque Populaire, se compose de trois parties d’inégale longueur : « Antoine Mathieu, étude de pauvre », « La marchande de plaisirs », et « Jean Benoît ». La thématique et le style, notamment dans le premier volet, ne sont pas sans rappeler le naturalisme zolien. À travers les portraits de trois personnages fort différents (un mineur, une marchande, un berger), c’est la préoccupation sociale qui prévaut et irrigue le récit.
Frédéric Chopin, Ballade N°1 en sol mineur, Op. 23, interprété par Frank Levy (domaine public).
Cher Monsieur Dousset : Je suis 100 % d’accord avec vous. Merci
Chère Francine, vous me voyez ravi de constater que ce choix de lecture ainsi que la forme retenue vous ont plu. S’il est vrai que nos conditions de vie n’ont plus grand-chose à voir avec celles des gens au 19ème et au début du 20ème siècles, on ne peut toutefois se défaire d’une certaine inquiétude lorsque tombent les statistiques de l’accroissement de la pauvreté dans le monde et le creusement ahurissant des inégalités, notamment depuis le début de la pandémie. Encore merci de votre fidélité et au plaisir de vous retrouver entre de nouvelles pages.
Bonjour cher Monsieur Dousset
Je suis contente d’avoir téléchargé ce roman de Paul Heusy. Je peux vous dire que j’ai adoré ce roman même si c’est triste de constater comment était la misère des familles pauvres à cette époque. Ces gens ont fait preuve de tellement de courage pour passer au travers de cela. Cela nous montre aussi comment on est chanceux à notre époque. Merci beaucoup moi j’ai adoré que vous avez respecter la structure du roman chapitre par chapitre. Toute mon admiration cher Christian.
Pour vous aussi, Christian, cette éclatante santé qui seule peut nous préserver de la plus grande nuisance sonore : le borborygme.
Merci, Jean-Pierre, d’avoir pris le temps du commentaire et de suivre mes petites productions. Je vous espère en bonne santé, ce qui, par les temps qui courent, ne tient pas seulement de la formule banale. Et puis, joyeuses fêtes à vous!
Petite précision technique: le micro est un Zoom H2n.
Un grand merci, cher Samuel, pour cet élogieux message. Néanmoins, au risque de vous décevoir, mes “secrets” techniques sont bien maigres; en effet, j’enregistre dans une ancienne chambre mansardée aménagée en bureau pour deux personnes dont les ouvrants sont certes doublement vitrés mais de façon tout à fait normale. Quant au micro, il s’agit d’un très simple Zoom 2, dont je transfère les fichiers sur mon vieil ordinateur HP. J’effectue le montage avec Audacity, casque AKG sur les oreilles. Il est vrai que je consacre beaucoup de temps à la correction car je souhaite un rendu le plus propre possible, sinon vous auriez droit à mes hésitations, aux bruits de moteurs divers et variés provenant de la rue et des airs, aux “sons” du chantier de rénovation de l’église à 30 mètres ainsi qu’au carillon de cette dernière, aux aboiements de mon chien, aux sonneries harcelantes du téléphone… sans compter le roucoulement des tourterelles au-dessus de ma tête! Voyez à quoi vous échappez!!
En tous cas, merci encore et au plaisir de vous retrouver entre de nouvelles pages. Bonne soirée. Christian