Fin du 17e siècle. Le règne de Louis XIV touche à sa fin. Non loin des Pyrénées, à Caylus-Tarrides, Henri de Lagardère, jeune soldat écervelé mais virtuose de l’épée découvre un complot visant à attirer le duc Philippe de Nevers dans un traquenard et à le tuer ainsi que la fille qu’il a eue avec Aurore de Caylus, fille du seigneur local. Lagardère se range aux côtés de Nevers mais il ne peut empêcher un mystérieux individu masqué de frapper le duc à mort. Il réussit cependant à sauver la petite fille et s’enfuit en Espagne. Vingt ans plus tard, Lagardère est de retour à Paris, bien décidé à venger Nevers et à rendre à sa fille son nom et sa position dans le monde. L’assassin de Nevers, Philippe de Gonzague, est devenu un seigneur puissant et prêt à tout pour mettre la main sur l’héritage de Nevers. Il est entouré d’une cour d’hommes dévoués corps et âmes, dont un bossu bien énigmatique.
L’œuvre la plus connue de Féval est un pur roman de cape et d’épée empli de grands sentiments et d’actions chevaleresques, servi avec le style plein d’ironie et une galerie de personnages secondaires dont les pitreries donnent une vraie tonalité humoristique au récit.
Guillaume de la Chapelle, Le Tango des squelettes, avec l’aimable autorisation de l’artiste.
Merci, Ophélie, pour votre commentaire. Ravie d’avoir pu vous aider à trouver le temps un peu moins long pendant cette période pas évidente !
Bonsoir Plume,
Je vous remercie vivement de cette lecture vivante et pleine de poésie que vous avez faite du Bossu. Paul Féval et vous m’avez accompagnée drurant mes longues marches dans la nature pendant ce confinement d’avril 2021. Capédébiou ! C’est que je vous souhaite uneuh bonneuh soirée ! (Dixit Maître Cocardasse Junior 😀 )
Ophélie Vernay
Merci à tous pour vos chaleureux commentaires (je vois que je n’avais pas été prévenue de ceux de mai…). Le Bossu était mon premier enregistrement. Il m’a donné bien du mal alors je suis contente que, des années après, il continue à faire le bonheur des petits et des grands 🙂
Redécouverte de ce roman naïf, mais aussi riche de témoignages d’époque, que j’ai lu adolescente et relu à mes enfants.
Quel plaisir que d’entendre la lecture par cette belle voix… ou devrais-je plutôt écrire par ces belles voix.
Merci!