Fin du 17e siècle. Le règne de Louis XIV touche à sa fin. Non loin des Pyrénées, à Caylus-Tarrides, Henri de Lagardère, jeune soldat écervelé mais virtuose de l’épée découvre un complot visant à attirer le duc Philippe de Nevers dans un traquenard et à le tuer ainsi que la fille qu’il a eue avec Aurore de Caylus, fille du seigneur local. Lagardère se range aux côtés de Nevers mais il ne peut empêcher un mystérieux individu masqué de frapper le duc à mort. Il réussit cependant à sauver la petite fille et s’enfuit en Espagne. Vingt ans plus tard, Lagardère est de retour à Paris, bien décidé à venger Nevers et à rendre à sa fille son nom et sa position dans le monde. L’assassin de Nevers, Philippe de Gonzague, est devenu un seigneur puissant et prêt à tout pour mettre la main sur l’héritage de Nevers. Il est entouré d’une cour d’hommes dévoués corps et âmes, dont un bossu bien énigmatique.
L’œuvre la plus connue de Féval est un pur roman de cape et d’épée empli de grands sentiments et d’actions chevaleresques, servi avec le style plein d’ironie et une galerie de personnages secondaires dont les pitreries donnent une vraie tonalité humoristique au récit.
Guillaume de la Chapelle, Le Tango des squelettes, avec l’aimable autorisation de l’artiste.
Merci Plume.
J’avais lu ce roman vers… 1960.
Grâce à vous, je viens de rajeunir d’un demi-siècle !
Je ne sais pas si, après 23 heures 40 passées en votre compagnie, je vais savoir me passer de votre voix. Alors, c’est décidé, demain, je vous retrouverai dans Mademoiselle Fifi.
Voilà ! J’ai fini de réenregistrer les chapitres du Bossu que ne me convenaient pas. Ils ont été renvoyés sur le serveur. J’espère que vous apprécierez cet enregistrement. Certains chapitres contenant des scènes différentes, j’ai ajouté un (court) intermède musical pour les séparer. Ne vous laissez pas surprendre : ce n’est pas la fin du chapitre !
Bonne écoute.
Plume
Cher Bengali007,
Si vous voulez bien patienter quelques temps encore, je vais bientôt recharger sur le serveur l’archive zip avec les chapitres ré-enregistrés. Je suis actuellement en train de les vérifier et je dois encore en ré-enregistrer un. Je posterai un commentaire dès que le remplacement sera fait.
Cordialement,
Plume
Cher(e) Bengali007,
Merci pour votre message !!!
L’archive ZIP reconstituée est en cours de ré-envoi sur le serveur – le remplacement sera effectif dès 21 h 30 ce jour.
Excellente écoute !!!
Carole
Le fichier zip ne se décompresse pas normalement.
Vous voudrez bien faire le nécessaire.
Merci d’avance.
Le réenregistrement partiel du Bossu est terminé. Les chapitres dont je n’étais pas satisfaite sont en cours de ré-import sur le site. Ils devraient être au complet (fichiers mp3 et archives zip) à partir du 15 juillet.
@Robert : il reste encore quelques mauvaises prononciations par ci, par là, mais je n’ai pas eu le courage de ré-enregistrer un chapitre entier pour un mot ! Vous voudrez bien me pardonner.
Bien cordialement,
Plume
Merci Michael mais vous allez me faire rougir ! Je ne trouve pas ma lecture si sensationnelle, notamment sur les 3 premières parties. En tous cas, je suis heureuse qu’elle vous ait fait passer un bon moment.
J avais vue le film il y a très longtemps, je n’avais jamais lu le livre, c’est pour moi une découverte et un plaisir, votre lecture est sensationnelle, les dialogues des personnages sont parfaits, c’est pour moi l’un des meilleures lectures de livre de se site, avec les mysteres de Paris, et j’en ai écouté plus de 40, Merci
Merci à votre bossu, la corvée de bricolage que je remettais depuis 2 ans s’est transformée en agréable recréation grâce à lui. Au vu des quantités de travaux qu’il reste à réaliser chez moi, je vous supplie de bien vouloir enregistrer encore plein de ces délicieux romans de cape et d’épée que j’ai dévorés enfant et qui me ravissent encore aujourd’hui.
Entièrement d’accord avec vous, Milane. J’ai vu récemment le téléfilm “Lagardère” avec Bruno Wolkowitz. Je n’en suis toujours pas revenue. Capédébiou ! Et je ne parle pas du film avec Daniel Auteuil qui malgré toute la pétillance des acteurs (Vincent Perez en tête) piétine allègrement l’esprit du roman d’origine.