« Un ex-libris (du latin ex libris meis, « faisant partie de mes livres ») désigne en bibliophilie une gravure personnalisée qu’un collectionneur colle sur le contreplat ou sur la page de garde de ses livres, comme marque d’appartenance. L’ex-libris existe aussi sous forme manuscrite, de tampons, de cachets, etc. » (Wikipédia)
Un ex-libris mal placé est une nouvelle plaisante qui se moque de la passion pour l’antiquité d’un érudit qui un jour prit femme et la délaissa vite pour retrouver ses chers Hellènes…
Ce divertissement est une occasion de (ré)écouter la conférence prémonitoire d’Octave Uzanne (1851-1931), écrivain biographe et bibliophile, sur la future écoute de la littérature en se promenant dans la nature, enregistrée sur le site, La Fin des livres, où nous lisons ces lignes :
« Soit à la maison, soit à la promenade, en parcourant pédestrement les sites les plus remarquables et pittoresques, les heureux auditeurs éprouveront le plaisir ineffable de concilier l’hygiène et l’instruction, d’exercer en même temps leurs muscles et de nourrir leur intelligence, car il se fabriquera des phono-opéragraphes de poche, utiles pendant l’excursion dans les montagnes des Alpes ou à travers les Cañons du Colorado. »
Ex Libris Octave Uzane (1882)
Je suis tout à fait d’accord avec le transplan d’organes, à une condition, que le transplant soit fait au moment où on ne puisse plus sauver la vie du donnater. Que les gens mentent sur la condition de santé du donateur pour des gains matériels, c’est encore pire que d’implanter un couteau dans le dos d’un homme.