Octave Mirbeau revêt son gilet jaune de 1900 et condamne les lois qui favorisent les riches et maltraitent les pauvres.
Il termine Les Abandonnés par :
« Il regarda la nuit qui enveloppait les champs, la forêt, les villages ; et il sentit s’élever en lui, du fond de son être, une pitié immense, et un immense amour, pour les pauvres voleurs et les pauvres putains, qui rôdent dans les ténèbres amies. »
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Livre audio gratuit ajouté le 24/07/2019.
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