Kervilahouen, un petit village sur la côte ouest de Belle-Île.
L’apparence riante des maison et des champs contraste singulièrement avec le deuil qui frappe le village.
« – C’est, me dit le conducteur, que Garrec est mort. Et c’était un rude gars que Garrec. On l’aimait ici, on en était fier. Ah! le pauvre diable! »
Dans Kervilahouen, comme dans la plupart de ses autres contes, Octave Mirbeau dépeint le tragique de la condition humaine.
Consulter la version texte de ce livre audio.
Illustration :
Licence d'utilisation : Réutilisation du livre audio soumise à autorisation préalable.
Livre audio gratuit ajouté le 27/03/2011.
@ Hervé
Un grand merci pour ce commentaire.
Le talent d’Octave Mirbeau est immense et il excelle dans l’évocation des humbles.
Je suis ravi que votre épouse et vous-même ayez apprécié cette lecture.
Merci encore.
Bernard
Qu’il est poignant de rendre hommage aux héros de l’océan sans passer par la grandiloquence faussement littéraire
Le timbre de voix est beau passionné sans excès
Souvent certaines risées sont cruelles pour les travailleurs de la mer
Respect pour ces actes de courage extrême souvent dans l’indifférence du monde
Je me promène le long de la cote et j’entends les mugissements des voix des trépassés oubliés
Continuez à lire de plus les termes techniques
Merci Bernard
Mon épouse en quasi cécité et vous remercie Bernard
Hervé
Merci Bernard pour votre belle lecture de cet auteur si plaisant. Lisez, lisez lisez encore !!
MF
Une voix à la hauteur de Mirbeau, toute en retenue avec un côté humble et vrai. Je vais vous suivre désormais 🙂
Et à moins que cela ne soit lié au thème maritime abordé ici, je retrouve un peu de la manière de Jean Giraudoux.
Séléné
Ainsi que lors de votre essai, je réitère mes compliments concernant le timbre de votre voix et votre lecture.
Poursuivez en ce sens!
Sophie
Comme Vincent, j’ai apprécié la sobriété de votre lecture, pleine d’une belle émotion retenue, surtout à la fin.
Votre voix est très agréable à écouter.
Bonne continuation!
Pomme.
Très bien lu, de façon sobre et avec une belle voix.
J’espère vous entendre à nouveau très bientôt.
Vincent