Les Cadeaux inutiles est extrait du recueil New-York Tic Tac paru en 1906.
Le début : « Un dollar et quatre-vingt-sept cents. C’était tout. Là-dedans, il y avait soixante cents en petits sous. Des petits sous amassés un à un, arrachés péniblement, comme « sous du franc », à l’épicier, au boulanger, au boucher, réclamés âprement et le rouge au front – le rouge de la honte qui brûle les joues des pauvres lorsque de telles exigences risquent de les faire passer pour des pingres. Trois fois Della recompta. Un dollar et quatre-vingt-sept cents. Et c’était demain Noël… »
La mention « (Version 2) » à la suite du titre indique qu’il existe sur notre site un autre enregistrement de ce même texte, effectué par un donneur de voix différent. Voir aussi : Version 1.
Non, non, Thomas, zinquiétez pas, nous sommes très copains Le Barbon et moi ! Il a beaucoup d’esprit (un peu fantaisiste, certes…)
Le Barbon, le Barbu ou La Barbe….
Vous arrive-t-il de n’écrire que du positif ?
Je l’ai échappé belle, Le Barbon !
Dans l’édition, on dit « la première de couv »,
et, pour vous faire aimer « couverturiste », je vous propose l’horrible « primocouviste », également entièrement inventé par votre serviteur, mais c’est ma toute dernière offre.
On parle de graphiste, de maquettiste, mais ces mots sont imprécis.
Sinon il y a « couvreur », c’est l’ouvrier qui fait la couverture…
En tout état de cause, bonne continuation et encore merci.
On est d’accord, Le Barbon, “couverturiste” n’est pas le plus joli néologisme du monde, mais j’en profite pour avouer que j’ai la vanité d’être assez fier du style de mes dernières vignettes…
Henry est un lascar que j’apprécie beaucoup pour son humour, et certaines versions de cet auteur méritent en effet une deuxième lecture. Merci, Daniel Luttringer, couverturiste et donneur de voix.
Pertinente mini-chronique, Adam !
Qu’est-ce que je voudrais bien voir dans la vie courante des couples capables de faire preuve de tant d’altruisme et d’élan de générosité du cœur !
Malheureusement, il semble que la société moderne a transformé le rituel des cadeaux de Noël en une vaste foire commerciale générant plus de frustration et d’insatisfaction qu’elle ne crée de valeur.
Bravo encore pour votre délicieuse lecture.