Nous sommes à Union Square ou à Manhattan.
Le Pendule est un regard ironique sur la vie quotidienne et répétitive d’un couple. Hésitations, dégoût de la routine… Finalement la routine sera la plus forte.
Le héros, Hastings Beauchamp Morley de On ne peut pas tout avoir est un débrouillard, pauvre, certes, mais qui affirme : « Il n’y a personne qui apprécie le clair de lune autant que moi. »
« Morley n’avait pas un sou en poche ; mais il souriait d’un air de pitié en considérant une centaine d’infortunés, sales et barbouillés, qui n’en avaient pas davantage et qui n’en auraient pas davantage non plus lorsque les premiers rayons du soleil commenceraient à dorer le grand bâtiment qui se trouvait du côté ouest du square. Mais Morley, lui, en aurait suffisamment à ce moment-là. Ça n’était pas la première fois que le crépuscule l’avait surpris les poches vides ; mais toujours l’aurore les avait trouvées bien garnies. »
Deux nouvelles extraites du recueil New York Tic Tac.
Consulter les versions texte de ce livre audio : Le Pendule ; On ne peut pas tout avoir.
Ajoutez un commentaire !
C'est la meilleure manière de remercier les donneurs de voix.