Le Couteau du boucher relate une erreur judiciaire, non encore réparée quand Nadaud et Pelletier nous la font connaître dans leur ouvrage paru en 1926.
« Devrons-nous attendre encore vingt ans ? Un délai d’un demi-siècle, est-ce la durée suffisante et nécessaire à la révision d’une erreur ? », s’indignent les auteurs.
« Le premier souci d’un juge d’instruction aurait dû être celui-ci : « Il y a eu crime. J’ai une dénonciation. Mais émanant de qui ? On me dit que Pacotte est le criminel. Mais un autre que lui n’aurait-il pas commis le crime ? »
Un lecteur dijonnais historien aurait-il aujourd’hui des éléments pour nous renseigner sur la réhabilitation de Pacotte, la conclusion de Le Couteau du boucher et « pour faire triompher l’idéal humain le plus élevé : le Droit » ?
Bonjour mes chers amis,
Depuis que j’ai changé d’ordinateur ( j’ai maintenant un Mac Book Apple, je n’arrive plus à écouter pouvez vous mieux me renseigner s’il vous pl:ait??
vous me manquer beaucoup