La première partie du Fils de Pardaillan est le tome 7 du cycle.
Nous sommes à Paris, en 1609. Henri IV règne en France depuis plus de vingt ans. Il a dû faire face à plusieurs attentats.
L’un d’eux est une attaque de Jehan le brave, amoureux de Bertille de Saugis, qui veut empêcher le roi de s’introduire de nuit chez sa bien-aimée. Pardaillan, qui passait par là, intervient in extremis. Mais il trouve en Jehan un jeune homme fier, courageux, excellent bretteur, qui ressemble au jeune Pardaillan de vingt ans. Il se sent une irrésistible sympathie pour lui.
Pour protéger Jehan, Bertille, et Henri IV, Pardaillan entre en conflit avec tous ceux qui complotent la mort du roi. Ces ennemis sont nombreux, et certains puissants : Concini, Leonora Galigaï, son épouse, le Supérieur des Jésuites et un certain Jean-François Ravaillac…
Chère Plume
Vous ne pouvez pas savoir comme votre amical commentaire m’a fait plaisir. Surtout venant de vous, que j’apprécie tant!
Un très grand merci pour ce centième petit cœur, qui me touche beaucoup.
Amitiés
Cocotte
Chère Cocotte,
Je suis heureuse d’être celle qui vous attribue votre 100e coeur, à vous et à Michel Zévaco. J’ai vraiment dévoré ce tome. Une série qui se bonifie au fil des tomes ! Votre présentation pour l’oeuvre intégrale a renouvelé ma lecture des Pardaillan. C’est vrai que c’est bien plus qu’un roman de cape et d’épée. Pardaillan (père) est un héros qui m’est de plus en plus sympathique avec sa grande indépendance d’esprit vis-à-vis des puissants. Votre lecture rend bien les tons des différents personnages. Cela s’écoute tout seul ! Merci, Cocotte, de nous régaler ainsi. Vous transformez mes corvées de désherbage en régal littéraire 🙂
Excusez-moi. Rectification:
Vous et les fans serez heureux …
Cher seigneur Trollus
Je me sens, à vos mots, jusques au fond de l’âme
Couler je ne sais quoi qui fait que l’on se pâme.
Je me remets difficilement de ma pâmoison.
Je suis contente de voir que vous trouvez que je m’améliore. En effet, j’y travaille sans cesse car je me rends bien compte de ce qui ne va pas. De temps en temps, je trouve par ci par là, un petit conseil technique de l’un ou de l’autre, que j’adopte aussitôt.
L’enregistrement du tome 8 de Pardaillan débutera dans le courant de la semaine prochaine. J’espère que vous et les fans de notre chevalier seront heureux de constater qu’il a su, une fois de plus, vaincre tous les périls. Mais comment? Ah! Ne dévoilons pas le mystère tout de suite!
Je suis vraiment ravie de vous accompagner pendant vos heures de travail quelquefois difficiles, et je souhaite continuer à vous les rendre plus légères.
Amitiés
Cocotte
🙂
Ha ma bonne et très noble dame Cocotte au grand coeur, compagne inconnue d’un non-négligeable paquet d’heureS, me menant vers l’oubli du jour et le monde des rêves, égayant de laborieuses heures de travail pas toujours joyeuses…
Que répondre à un message si plein de charme?
Ne sachant que répondre, je vais opter sans gloire ni mérite pour la formule la plus simple.
Tirer, noblement et avec moultes respect, mon chapeau de la plus belle manière ainsi que de ma plus gracieuse révérence et me prosterner galamment devant vos louanges et devant vos mérites nombreux.
Attente-attente, attendre de mon mieux la suite de cette chute un brin brusquement brutale. 🙂
Cela dit, je trouve personnellement que votre lecture s’améliore. Non point qu’icelles fussent mauvaises ultérieurement, loin s’en faut, certain texte sont plus “”simple”” à lire(?)… Bref, point ne sais-je et loin de moi l’idée de décrier vos lectures passées, mais je trouve qu’il y a une amélioration.
Pour ma par toujours, je pense que votre accent,superbe au demeurant, lié à votre verve ainsi qu’un petit je ne sais quoi donne de mieux en plus;-) vie aux récits que par je ne sais quelle grâce divine vous faites vivre à mes oreilles.
Gente dame, chère lectrice, chère compagne auditive, je vous salue bien royalement tout en vous remerciant encore pour vos présents.
A très bientot,
Trollus
Ah! Cher seigneur Trollus, quel plaisir de vous retrouver! Vos commentaires sont toujours si aimables et si encourageants.
Vous avez raison, l’histoire s’arrête un peu trop net et laisse nos héros dans une situation qui demande impérativement une suite. Ce fils de Pardaillan est aussi sympathique que son papa.
Allez, je ne vais pas vous laisser longtemps dans l’attente. Vous aurez la suite le mois prochain! Dès que j’aurai terminé le tome 1 des Souvenirs de madame Vigée-Lebrun, à la demande de plusieurs audio lecteurs, je commencerai tout de suite le tome 8 de Pardaillan. Il est assez long, il faut compter un mois d’enregistrement.
Cher sire, que ne ferait-on pas pour vous être agréable!
Avec ma plus belle et plus amicale révérence de Cour.
Cocotte
Chère Lila
Un très grand merci pur vos encouragements.
Bien cordialement
Cocotte
Merci Noble dame…
Votre lecture était superbe et délicieusement agréable.
Maintenant que j’ai fini ce tome, il me reste à attendre la suite avec une certaine impatience!
Parce que l’histoire est prenante et aussi, qu’elle s’arrête un peu trop net.
Vivement la suite et TOUJOURS au plaisir ma noble dame.