Voici la fin de l’histoire du Capitan.
Le Capitan est un roman de l’auteur français Michel Zévaco paru en 1907 après une première publication en feuilleton dans le quotidien Le Matin dès 1906.
Résumé :
En 1615, à l’époque de la régence de Marie de Médicis, Adhémar de Trémazenc de Capestang, gentilhomme gascon désargenté, monte à Paris pour chercher fortune. Sur le chemin, il déjoue une tentative d’enlèvement de la fille du duc d’Angoulême par le sinistre favori de la régente, Concino Concini, futur maréchal d’Ancre, que le jeune homme blesse au bras. Gisèle d’Angoulême, dont le père est à la tête d’une conspiration de Grands du royaume visant à renverser la Régence, de chasser Concini et son épouse Léonora Galigaï et de remplacer le roi. Muni des rubans de Gisèle d’Angoulême, Capestang, qu’on surnommera le Capitan, parvient à infiltrer une réunion des factieux, qu’il tente de gagner à la cause du jeune Louis XIII, puis à se faire admettre à la cour où il s’attire la haine de Richelieu. Devenu l’ami du roi, il déjoue plusieurs complots, échappe aux diverses tentatives de Concini de le faire disparaître, sauve le roi et le royaume. (Source : Wikipédia)
Cher Joni
Merci pour votre beau message. Votre analyse du Capitan est très juste. Je suis ravie de constater que vous aimez les romans de cape et d’épée. Bien sûr, Zévaco n’est pas Bumas, mais ses romans sont très agréables tout de même.
Vincent de l’Epine va peut-être publier un autre roman de Zévaco, s’il lui convient. Ce sera le cas, bien sûr, et cette lecture sera une nouvelle pépite dans la bibliothèque. L’année prochaine, j’envisage de me lancer encore dans un Zévaco.
Vous voyez que votre enthousiasme provoque des projets bien sympathiques. Il y aura encore quelques romans de cape et d’épée.
Merci pour votre fidélité et pour vos commentaires qui me font un très grand plaisir. A bientôt pur un Conan Doyle, qui est en cours et que vous aimerez, je l’espère.
Amitiés
Cocotte
Cocotte, merci beaucoup pour la lecture de l’audio livre “Le Capitan’.” J’ai vraiment réjouit des histoires, intrigues, mystères et évènements imprévus qui ont ajouté beaucoup d’heures de plaisir à écouter les chapitres de cette histoire. Au debout et encore vers la moitié de l’histoire, Le Capitan n’était pas mon héros préféré. Parfois j’ai trouvé son caractère surprenant, fatiguant et même un peu incompréhensible. Au même temps, j’ai compris que la noblesse du coeur de ce Matador est une qualité rare et magnifique. Les deux chapitres de la fin du tome 2 sont extraordinaires, surtout les images d’un Colosse devoué à sauver Giselle à tout prix. J’aime bien la scène avec le Roi au Louvre et la “condition” royale imposée au Duc D’Angoulême qui reconnait le pouvoir incalculable de l’amour. J’admire aussi la loyauté du Capitan vers Cogolin, c’est la preuve d’une vrai amitié n’importe les circomstances, riches ou pauvres. Vive Le Capitan! Vive Cocotte qui lit des ouvrages comme celui ci de Michel Zevaco! Mon seul regret c’est que Le Capitan n’est que deux tomes… Hélas! Les histoires de cape et d’épée sont merveilleuses. A bientôt encore, prête à une autre lecture … 🙂
Cjer l’Antoine
Quel magnifique commentaire! J’en suis vraiment très, très touchée!
Des audio lecteurs comme vous donnent envie de continuer à vous offrir des lectures susceptibles de vous plaire. Tous les genres se retrouvent dans la bibliothèque de Littérature audio. Vous avez vraiment le choix.
Merci pour votre indulgence, cher l’Antoine, merci pour votre analyse… et pour vos mots qui me vont droit au cœur.
Je vous souhaite d’autres belles découvertes et vous envoie toutes mes amitiés
Cocotte