« Rome ! L’antique capitale du monde civilisé dormait, appesantie en une morne tristesse. Une sorte de terreur mystérieuse et profonde glaçait la superbe cité jusque dans ses moelles. Rome se taisait, Rome priait, Rome étouffait ».
« Le sombre et farouche despotisme des Borgia » qui pèse sur la ville va servir de cadre à ce roman fertile en rebondissements. Le jeu pervers du pape et de ses enfants avoués – Lucrèce et César – va être perturbé par l’irruption d’un chevalier bien français : Ragastens.
Cruauté, honneur, violence, loyauté, sorcellerie et bien sûr… amour, constituent un riche breuvage dont les notes de cape et d’épée pimentent la dégustation !
Compte tenu de l’ampleur du récit (76 chapitres), nous avons très arbitrairement divisé l’ensemble en 2 saisons. Saison 1: jusqu’au chapitre 37 ; saison 2 : du chapitre 38 à l’épilogue.
Cristofano dell’ Altissimo, Portrait du pape Alexandre VI (Rodrigue Borgia) (vers le milieu du XVIe siècle).
Ludwig van Beethoven, 5ème Symphonie, Op. 67, Allegro, interprété par l’ensemble Skidmore College orchestra (domaine public).
Richard Wagner, Siegfried, Marche funèbre, WWV86C, interprété par l’ensemble US Marines band (domaine public).
Claudio Monteverdi, Madrigaux, Livre VII (European Archive, domaine public).
Et bruitages personnels.
Chère Claire-Marie,
Vous allez à l’essentiel de l’oeuvre, laquelle ne souffre pas trop de boursouflures, comme vous le faites remarquer. Comme je l’ai dit précédemment, la lecture de la saison 2 est assez avancée mais ma correction prend du temps. Je n’ose pas fixer de délais d’autant que la période que nous vivons perturbe un peu les prévisions. Je fais au mieux pour retrouver audiolectrices et audiolecteurs dans le plaisir du partage littéraire. A bientôt.
Oh oui, c’est du bon, je suis d’accord avec les autres audiolecteurs!
Grand merci d’avoir choisi ce titre.
Votre excellente interprétation lui donne encore plus de valeur.
J’espère que vous reprendrez vite votre souffle pour nous offrir la suite.
Zevaco est particulièrement en forme dans ce roman . Les péripéties s’enchaînent sans trop laisser de place au pathétique et au romantisme larmoyant, ce qui est différent des ouvrages de la même époque.
Les Borgia sont particulièrement “soignés” et nous avons droit au pire de leur légende noire. Ils font un groupe d’excellents vilains.
Le personnage principal n’est pas un de ces héros caricaturaux de type jeune premier naïf.
Bref, tout cela est très bien et nous mène à une seule question: à quand la suite?
Bien cordialement
CM
Chère Esperiidae, votre encourageant commentaire me touche d’autant plus que j’apprécie la qualité de vos lectures.Je ne compte pas abandonner, la lecture de la saison 2 étant bien avancée, mais comme je suis assez pointilleux lors du montage et de la correction… Belle journée à vous.Christian
Ho! Une pépite supplémentaire sur LA!
Courage pour la suite, n’abondonnez pas Christian, votre voix et votre interprétation s’accordent si bien avec ce roman ! C’est décidé, c’est Borgia qui m’accompagnera lors de mes prochains trajets professionnels.
Cher Jean-Pierre, c’est sans doute chaud mais aussi particulièrement long, puisque je me suis arrêté à mi-chemin pour reprendre mon souffle! Néanmoins, je ne me suis jamais ennuyé.
Merci à Ceusette et à Le Barbon d’avoir pris le temps du commentaire. C’est du lourd mais le talent de M. Zévaco organise de tels rebondissements que l’action s’emballe aussi. Bonne écoute.
Chaud devant!
Note.
Du Christian Dousset, ça ne peut pas être mauvais, surtout si aucun héros n’a un nom anglais, nom que — comme certains auditeurs, je crois — je ne parviens pas à reconnaître d’une occurrence à l’autre, mon oreille étant résolument nationale (même si j’ai étudié nombre de langues, que je ne les compte plus).
C’est du lourd que vous nous offrez! Merci infiniment!
Courageux, merci !