À la fin du XIXème siècle, la misère pousse des hordes de va-nu-pieds sur les routes.
Dans ces trois nouvelles, Gorki peint une tranche de vie, parfois un simple épisode de la vie de ces vagabonds, victimes ou auteurs d’humiliations, de brutalités, mais aussi d’une profonde humanité pleine de mélancolie.
Tchelkhache :
Piotr Ilitch Tchaikovsky, Symphonie No. 5 en Mi mineur, Op. 64: II. Andante cantabile con alcuna licenza – moderato con anima – andante mosso – allegro non troppo – Tempo I, interprété par l’Orchestre Philharmonique de Leningrad, dirigé par Evgeny Mravinsky (1961, domaine public).
Mon compagnon :
Piotr Ilitch Tchaikovsky, Valse Sentimentale, Op. 51: VI., interprété par Nina Musinyan, Daniel Shafran (1953, domaine public).
Grand-père Arkhip et Lenka :
Piotr Ilitch Tchaikovsky, Sérénade mélancolique en Mi majeur, Op. 26, interprété par Leonid Kogan et l’Orchestre Philharmo, dirigé par Kiril Kondrashin (1961, domaine public).
Je vous en prie, Firad. Cela me fait réellement plaisir que vous ayez apprécié ces nouvelles.
Grâce à vous, je découvre les 2 commentaires ci-dessus auxquels je n’avais pas répondu, j’en suis confuse. Mais ces 2 fidèles audio-lecteurs m’excuseront peut-être…
Bonjour.
Merci pour ces 3 nouvelles.
Bonne description de Pascalette et Fabien.
Merci pour cette lecture.
Comme Tolstoï ou Tchekhov, Gorki “aime” montrer dans ces écrits les humiliations, les brutalités que subissent les “petites gens” face aux nobles et aux “autorités” tsaristes.
La mission est accomplie.
Mission accomplie aussi pour la talentueuse Pomme.
Ce n’est à chaque fois que du bonheur. Merci.
Des nouvelles terribles qui montrent un visage bien misérable de la Russie d’alors… Et quelle force dans les images !!! Et comme toujours une belle lecture. Merci Pomme