« Hum ! vous êtes un flatteur, maître Hermann, car cette escarboucle – un simple caillou cependant – jette des flammes que ma pauvre cervelle ne saurait jamais produire.
– Elle guérit de l’ophtalmie, reprit Hermann tout à fait calmé, et sa voisine, l’onyx, arrête les hémorragies ; voici le jade encore, pierre néphrétique, et le rubis par quoi l’on traite la mélancolie – Oh ! l’admirable pierre ! s’écria Benvenuto Cellini. »
Autre citation :
« Les trésors qui circulent des royaumes aux républiques, ceux que des argentiers jaloux conservent au fond des palais, les richesses englouties dans les océans et celles que la terre nous cache, tout cela joint à l’empire du monde ne serait pas un prix digne de mes rubis. […]
Et si j’avais mes vingt ans, je ne donnerais pas ces pierres en échange de votre amour. »
Conclusion étonnante, comme toujours chez Maurice Renard, garantie…
Je suis complètement subjugée par la beauté des textes de Maurice Renard.
Que c’est beau, que c’est beau !
Plus jamais je ne verrai une pierre précieuse comme avant.
Merci M. Depasse.
Retour d’expérience et avis perso : pas mal ; mais Gaston Leroux, c’est quand même supérieur.
Si c’est du Depasse, je prends et je conseille d’en faire autant. La signature Depasse est un gage de qualité qui n’est même plus à démontrer.
Merci, M. Depasse.