La Femme aux deux sourires est un roman de Maurice Leblanc, paru dans Le Journal en 46 feuilletons, du 6 juin au 20 août 1932, puis publié pour la première fois chez Laffite en volume in-12, en juillet 1933.
L’inspecteur principal Gorgeret est sur la piste de Clara la Blonde, fichée comme la maîtresse du grand Paul, sur la trace duquel elle est susceptible de mettre les policiers qui l’ont prise en filature. Jolie, tournure élégante, cheveux blonds ondulés, yeux bleus, entre 20 et 25 ans, voilà un signalement qui ne pourra pas laisser indifférent un certain monsieur Raoul. Par une chance extraordinaire, cette demoiselle vient sonner à son domicile. Par erreur puisqu’elle voulait voir l’habitant de l’étage au-dessus, le marquis Jean d’Erlemont.
Extrait : « Les gens du village essayèrent vainement de le faire parler : leur curiosité fut déjouée. Il montait la garde âprement. Tout au plus remarqua-t-on que, à diverses reprises, peut-être une fois par an, et à des époques différentes, un monsieur arrivait le soir en automobile, couchait au château, et repartait le lendemain dans la nuit. Le propriétaire, sans doute, qui venait s’entretenir avec Lebardon. Mais aucune certitude. On n’en sut pas davantage de ce côté. Onze ans plus tard, le gendarme Lebardon mourait. Sa femme demeura seule dans la tour d’entrée. Aussi peu bavarde que son mari, elle ne dit rien de ce qui se passait dans le château. Mais s’y passait-il quelque chose ? Et quatre ans encore s’écoulèrent. »
La mention « (Version 2) » à la suite du titre indique qu’il existe sur notre site un autre enregistrement de ce même texte, effectué par un donneur de voix différent. Voir aussi : Version 1.
Couverture d’une ancienne édition de La Femme aux deux sourires, de Maurice Leblanc.
Puissiez-vous, Dominique, à l’avenir continuer d’être enchantée !
Je suis enchantée de cette lecture ,nouvelle sur ce site j’apprécie beaucoup c’est le deuxième livre que j écoute je ne peux plus lire longtemps car je souffre de deux dystrophies cornéennes et pouvoir continuer la lecture de cette façon est géniale merci beaucoup
Je suis votre obligé, Hirondelle !