Boulevard Haussmann, Monte Carlo, Toulouse, Clermont-Ferrand… Quatre meurtres, un suicide… D’odieux bandits. Une jeune fille énigmatique… criminelle ou innocente ? Un commissaire de police aux mœurs singulières ridiculisé par un Arsène Lupin plus séduisant et plus amoureux sauveur que jamais.
« Demoiselle aux yeux verts, je sais maintenant que vous possédez, en dehors de vos anciens complices, un secret qu’ils veulent vous arracher, et que vous gardez farouchement. Ce secret m’appartiendra un jour ou l’autre, parce que les secrets c’est mon rayon, et je découvrirai celui-là, de même que je dissiperai les ténèbres où vous vous cachez, mystérieuse et passionnante Aurélie. »
La Demoiselle aux yeux verts (1927) est l’élucidation d’un secret gardé par une petite fille de six ans…
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Enormément merci à Mr Depasse pour sa façon d’animer radieusement les romans de M Leblanc. AL semble pris, au fur des aventures, dans l’étau fatal des amours impossibles, car s’opposent, inévitablement et impitoyablement, la passion amoureuse de femmes vertueuses au deestin solitaire de son âme prodigieuse d’aventurier insasriable.