Trouvée dans le supplément littéraire du Figaro du 6 juillet 1907, cette amusante nouvelle de Mark Twain Une visite mystérieuse à la fin de laquelle l’humoriste vous suggère des trucs pour alléger les déclarations d’impôts qui fonctionnaient bien chez les richards américains.
Écoutez, Français imposables, l’ami fortuné de Mark Twain :
« S’il n’y avait pas, sous la rubrique « Déductions», ces onze libératrices exceptions, je me verrais réduit chaque année à la mendicité pour fournir des subsides « à ce détestable, maudit » gouvernement de tyrans et de voleurs ! »
« Cet homme compte parmi les meilleurs citoyens du pays, gens de haute moralité, d’intégrité en affaires, d’honorabilité au-dessus de toute attaque.
Des milliers de citoyens, parmi les plus fiers, les plus riches, les plus honorés, les plus réputés de l’Amérique n’agissent pas autrement chaque année. »
True Williams, illustration de Mark Twains’s Sketches, New and Old (1875)
Rien a dire sinon qui peut être intéressé par les impôts ?
Bien
Trop génial !!! Le casse tête de la déclaration des revenus à l’époque de Twain… Je ne suis pas sûr que cela ait tant changé….
Comme toujours, superbe lecture avec cette voix si particulière et attachante.
Merci !!!