Le pays entre en guerre ; le pasteur prie :
« Le refrain de cette supplication était que notre Père à tous, éternellement miséricordieux et bienveillant, veillerait sur nos nobles et jeunes soldats, ; il les bénirait, les porterait en Sa puissante main, il les aiderait à écraser l’ennemi, leur accorderait, à eux, à leur drapeau et à leur pays, un honneur et une gloire impérissables. »
Un autre « messager de Dieu » présente la prière sous une autre version :
« Pour nous qui T’adorons, Seigneur, anéantis les espoirs de nos ennemis, détruis leur vie, fais durer leur amer pèlerinage, alourdis leurs pas, abreuve leur chemin de leurs propres larmes, souille la neige blanche du sang de leurs pieds blessés ! Nous le demandons, au nom de l’Amour, à Lui Qui est la Source de l’Amour, et Qui est le refuge de tous ceux qui sont accablés de maux et cherchent Son aide d’un cœur humble et contrit. »
L’humour « voltairien » de Twain est plus noir que de coutume dans ce texte dicté en 1904.
Je remercie de tout mon cœur les personnes qui sont à l’origine de ce travail, le résultat est formidable.
Merci M. Depasse.
Merci de tout cœur pour votre disponibilité, et pour tous les Twain que je vous ai “empruntés”; et dont j’ai particulièrement apprécié votre lecture,dans le ton.Merci beaucoup M.Depasse!
MERCI DE ME FAIRE DECOUVRIR SE VIEUX TEXTE.C EST TELLEMENT D ACTUALITE .POURQUOI NE PAS ENVOYEZ CE TEXTE A L ONU .MERCI MR RENE DE VOTRE MAGNIFIQUE ENGAGEMENT .VOUS ECOUTER ME TRANSPORTE DANS UN AUTRE MONDE QUI EST BEAUCOUP PLUS SEREIN ET PAISIBLE . ROGER