Du côté de chez Swann est le premier volume de la Recherche.
« Un roman est comme une ville inconnue dans laquelle je déambule. Nous prenons connaissance de la littérature, d’un roman en particulier, en marchant, comme dans une ville où on est arrivé de nuit. Le bon lecteur est celui qui a du nez, tel un chien de chasse reniflant les indices et filant sa proie. » (Antoine Compagnon, professeur au Collège de France)
Je dédie cette lecture à Max, mon fidèle teckel à poil dur. J’espère ne pas avoir trop trahi les nombreux conseils qu’il m’a prodigués tout au long de l’enregistrement.
La mention « (Version 2) » à la suite du titre indique qu’il existe sur notre site un autre enregistrement de ce même texte, effectué par un donneur de voix différent. Voir aussi : Version 1.
Y ‘ a, que MAX qui puisse quelque chose !
Plutôt sévère !
Une épouse ! O !
J ‘ espère… qu’ elle est votre genre !
Votre « ne blaguons pas ! » me fait peur, Carole. Une vie sans blague ? Vous plaisantez !
… écouter en boucle proust… mais oui mais oui… ne blaguons pas… s’il y a un auteur qui s’y prête c’est bien cet immense-là!!!!
vous disiez que les commentaires étaient en panne … pour ma part j’ai trouvé vos bêtises de Combray du 26 mars délectables… sans vous en avoir cependant fait part… je l ‘avoue…
Bonjour à Max ( encore un que Proust a révélé à lui-même… vu les photos…)…
Merci beaucoup Carole pour votre compliment à une lecture qui était tristement en panne de commentaires.
J’en touche, tout de suite, un mot à mon épouse qui a (confinement oblige) le privilège de pouvoir m’écouter matin et soir (en boucle ou presque) sans pour autant sembler savourer autant que vous !
Cher Jean-Pierre,
Voici plus d’un mois que je vous écoute chaque soir.
Le bonheur, que votre voix, qui me fait déambuler de Combray à Méséglise, de la tante Léonie à la grand-mère sous la pluie, des Champs-Élysées au salon de Madame Verdurin…
je peux écouter et réécouter… en boucle… en savourant toujours autant…
un grand merci !
Retour de balade avec Max, ce matin. Je trouve ce mot de mon épouse : « Marcel Proust te rappelle ». Vive émotion !
« Allô, Marcel ? »… « Oui, ici… Musée Marcel Proust, Maison de la Tante Léonie… ». Ah, les bêtises de Combray !
Merci, Christian, pour ce gentil compliment.
J’y suis très sensible.
Cher Jean-Pierre, Proust a vraiment de la chance de vous trouver comme lecteur; le ton et la voix le servent parfaitement. Joyeuses fêtes à vous.